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Miyabi - My life is a mess [Terminée]
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(#) Sujet: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty24.07.16 15:26
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Miyabi

Informations
Année de Naissance : An 27. (23 ans)
Genre :
Race : Chat Bengal [Meiroo Renié]
Statut : Asservi
Métier : Ancien Trésorier des Ankoku
Don(s) :

Hypersensibilité Tactile (sous contrôle) : Miyabi ressent les choses quatre fois plus intensément que la moyenne. Cette capacité est limitée au sens du toucher. Ses quatre autres sens fonctionnent tout à fait normalement. Il a appris à contrôler ce don qui, pour lui, est davantage un handicap qu’un soutien dans son quotidien. Le jeune garçon se contente simplement d’en réduire l’intensité pour qu’il puisse vivre normalement. Les réactions de son corps varient en fonction de l’endroit où la pression est effectuée. La douleur, le plaisir, tout comme le chaud et le froid sont des sensations qu’il ressentira plus intensément si le contrôle de ce don lui échappe. En hiver, il le contrôle afin que la température extérieure ne le glace pas jusqu’aux os et ressent donc le froid comme tout autre personne. Il répète l’action en été, lorsque le soleil lui brule la peau. Toutefois, dans un état de stress intense ou d’une puissante émotion comme la peur, Miyabi perd tout contrôle et son don reprend le dessus. Il lui est difficile de retrouver un état normal et en fonction de l’intensité de ce sentiment, il peut avoir besoin de plusieurs heures pour retrouver le contrôle.

Pyrokinésie : Miyabi ne peut créer le feu par sa propre volonté. Cependant, si des flammes sont dans son périmètre, il peut les contrôler dans une certaine limite. Il peut éteindre toutes les bougies d’une pièce instantanément. Cette énergie récoltée est ainsi concentrée en lui et il peut décider de la recycler en faisant apparaître une flamme au-dessus de sa main ou tout simplement décider de la détruire, la fumée sortira alors du bout de ses doigts. Généralement, il l’utilise en tant qu’éclairage, faisant voler une boule de feu au-dessus de sa tête ou dans son dos. Néanmoins, si une grande quantité de flammes se trouve autour de lui, il peut se décider de canaliser cette masse pour la manier à sa guise. Cette capacité est très fatigante s’il en abuse. Plus l’amas qu’il centralise est important, plus il lui sera difficile de le retenir et de le contrôler. Son don l’épuisera alors jusqu’à ce qu’il n’ait plus la force de retenir l’énergie ou qu’il perde connaissance. Son temps de régénération dépendant de l’effort peut prendre de plusieurs heures à plusieurs jours.


N.B. : Ce qui suit sera écrit du point de vue de la joueuse. Vous pouvez sauter directement au chapitre « Your Personality » si vous avez pas envie de lire du blabla…


Psychologie & Physionomie


~ Set the scene ~

Tu sais, Miyabi… J’étais bien avant que t’apparaisses. Ils étaient quatre dans cette cavité qui leur sert de foyer. Ils sont tous tellement différents. En tous les cas, c’est ce que je pense. Un soir, j’ai entendu quelques coups sur la porte et lorsque je l’ai ouverte, une ombre s’est immiscée, s’est faite une place entre eux et s’ils t’ont tous accepté dès la première seconde, il m’a fallu du temps pour te laisser une place. Tu me tournais autour. Parfois, tu m’empêchais même de réfléchir correctement. T’étais vraiment là. Tu voulais tout simplement être créé. Tu me soufflais des mots qui auraient dû me donner des idées et puis, finalement, j’ai cédé. Je me suis tournée vers toi et je t’ai regardé. Tu n’étais qu’une masse noire flottante dans l’air mais je savais que tu souriais. Je t’ai demandé d’attendre que je m’occupe des quatre autres mais je te sentais dans mon dos. T’étais impatient, tu ne voulais vraiment pas me laisser de répit. J’ai vraiment eu envie de te frapper ! Alors quand j’eus enfin terminé avec eux, j’ai levé la tête vers toi. Parce que, ouais, t’étais encore de face de moi. Je t’ai lancé un regard exaspéré, je me suis adossée à mon siège et je t’ai dit : « Très bien. Commençons donc ! »



~ Premises ~

Déjà, il a fallu te trouver un nom mais ce n’était pas le plus compliqué. T’étais satisfait de ce que je t’avais choisi alors j’ai pu passé à autre chose parce que je ne savais pas encore à quoi t’allais ressembler. T’étais tellement heureux que je m’occupe de toi et surtout excité de finalement faire ton apparition sur Migoto que j’ai dû aller chercher de l’aide. Finalement, t’es une vraie co-création puisqu’à force de t’entendre me susurrer des mots doux, je n’arrivais vraiment oas à réfléchir à ce que t’allais devenir. Alors, ta co-créatrice m’a aidée. Heureusement, d’ailleurs. Je regardais les autres et je voulais que tu sois différent. Ils vaquaient tous à leurs occupations. L’une à signer des parchemins, l’autre un pinceau à la main devant une toile immaculée, l’ainé à goûter les boissons qu’il venait de mélanger et puis, le plus perdu de tous en ce moment, roulé en boule parce qu’il sait qu’il a foutu la merde. Pour te faire taire, j’ai commencé à écrire.



~ Your personality ~

Ouais, ça a été le plus compliqué alors j’ai décidé de commencer par ta personnalité. Je te lançais des coups d’œil pour être sûre de ne pas me tromper et surtout, pour savoir si ce que j’écrivais te convenait mais tu n’as pas vraiment bougé parce que finalement, j’ai repris les grandes lignes que tu m’avais soufflées et j’ai juste ajouté les détails parce que si t’es vraiment un chieur avec moi, tu ne l’es pas vraiment dans la vraie vie.

De part ton éducation, chaque personne qui te croise pense que tu as une réelle confiance en toi mais si elles savaient ce qui se trame dans ta tête, elles changeraient sans doute d’avis. Il suffit de te connaître un peu plus pour se rendre compte que tu es un peu perdu. Tu doutes de tout ce qui t’entoures mais surtout tu doutes de toi, de ce que tu as fait de ta vie et de ce que tu aurais pu devenir si tu avais choisi un autre chemin. Dans ta jeunesse, la pression sur tes épaules était continue alors tu caches ce que tu penses vraiment sous cette assurance, parce que tu veux que les inconnus t’apprécient et ne remarquent pas ton trouble intérieur. Tu essayes d’être le plus avenant possible, parle de ton parcourt parce que bien que tu ne sois pas sûr d’avoir pris la meilleure décision concernant ton avenir, tu en es fier parce que tu as réussi à monter les échelons, de la simple gestion des finances familiales à trésorier des Ankoku. Mais ce que tu as fait… La raison pour laquelle tu es devenue asservi t’a retiré cette histoire que tu racontais avec superbe. Tu sais que tu passeras cet épisode sous silence, surtout la raison pour laquelle tu as décidé de passer à l’acte. Puisqu’elle est stupide, Miyabi. Vraiment stupide.

Quand tu es à une table remplie de personnes que tu ne connais pas, tu ne parles pas. Tu écoutes ce que les gens disent et ajustent ton comportement à ce qui les ferait t’apprécier. Tu n’ouvres la bouche que lorsque l’on te pose une question ou lorsque tu en poses une toi-même. Tu détournes toujours l’attention des gens, tu fais en sorte d’en savoir plus sur eux mais tu fais attention à ne rien dire de trop personnel dès que les regards se tournent vers toi. Dans le pire des cas, tu parles de choses superficielles, comme ton travail, ta famille. ‘T’as des frères et sœurs ? T’as quel âge en fait ? Tu fais quoi dans la vie ?’ sont des interrogations auxquelles tu réponds vaguement. Rougissant un peu, tu déblatères les paroles à une vitesse hallucinante en espérant fortement qu’ils ne demandent pas davantage de détails. Tu n’es pas stupide, Miyabi, tu sais que les gens aiment parler d’eux alors tu leur rends leurs questions et tu fais l’intéressé.

Si tu ne parles pas vraiment lorsque tu te trouves dans un groupe d’inconnus, tu n’aimes pas vraiment le silence. Une fois que tu te retrouves seul avec une personne à peine rencontrée mais que tu apprécies pourtant, tu as tendance à combler les blancs, tu parles trop, beaucoup trop et plus tard, tu le regrettes. Tu te demandes pourquoi tu as déblatéré autant de détails sur ta vie. Tu repenses constamment à ce que tu as pu dire, ce que tu aurais dû dire et finalement, ton cœur se serre parce que tu ne sais pas ce que ces personnes feront de ces informations. Toutefois, dès qu’un ou une inconnue t’aborde, tu as l’air froid et arrogant parce que tu choisis tes amis. Tu as besoin de conversations profondes. Tu ne fais pas confiance aux gens parce que tu as peur qu’ils te brisent, qu’ils se jouent de toi alors tu regardes chaque inconnu avec suspicion. Avec tes amis, tu es doux, tu te laisses aller et tu leur parles de tout ce qui peut te tirailler de l’intérieur. Ce sont les seuls à savoir qui tu es vraiment. Les étrangers ne savent pas toujours que penser de toi. Les avis divergent d’arrogant à aimable, de fier à drôle. Parce que parfois, tu perds le contrôle de tes émotions et tu ne sais plus qui tu es réellement. Comment le pourrais-tu… ?

D’ailleurs, tu ne supportes pas que les gens te touchent. Tu n’aimes pas les caresses, tu évites tout contact parce que tu as peur. Tu as peur de perdre le contrôle de ton don et de perdre pied. Un accident est très vite arrivé, n’est-ce pas ? Si on ose venir trop près, tu n’hésites pas à réagir violemment pour finalement t’excuser dans la seconde qui suit. Tu n’es pas méchant, Miyabi, juste un peu craintif de ce que les autres pourraient faire de toi. Surtout maintenant que tu es asservi, tu ne peux pas choisir ton maître, ni ta maîtresse. On t’achètera et tu vas devoir t’adapter. Que tu le veuilles ou non.

Je relève la tête et te regarde. Toi, masse noire. Tu n’as pas bougé alors je considère que tu es satisfait de ce que tu es devenu.



~ Your appearance ~

Une fois que je savais enfin ce que tu allais être, il allait falloir que tu deviennes plus réel et que tu cesses d’être une ombre. Ça a tendance à me stresser. Là encore, il y a tellement d’images que même si je souhaite te donner une apparence spécifique, il serait difficile d’en trouver une qui te correspondrait à la perfection. Après de nombreuses recherches, nous avons finalement trouvé ce qui finirait par devenir ce que tu es maintenant. Peu à peu, cette masse noire que tu es, devient un personnage tangible sous mes yeux.

Tu es assez grand, Miyabi. Tu dois approcher le mètre quatre-vingt mais tu es fin, très fin. Peut-être un peu trop maigre à mon goût mais c’est ce que tu es. C’est étrange de t’avoir nu devant moi mais soit ! S’il faut te décrire, alors faisons-le… Ta peau est blanche, tu as très peu de muscles mais ils restent légèrement dessinés sur ton torse menu. Tu n’es pas androgyne mais tu as les traits doux, te rendant aimable lorsque tu souris. Tes iris sont d’un bleu pur qui ressortent sous ta chevelure d’un noir bleuté. Légèrement asymétrique, ta coiffure te donne cet air rebelle que tu n’as pas en réalité. C’est un peu ta petite lubie du moment mais tu l’as adoptée et tu continues de la porter avec fierté parce que malgré tout, tu essayes d’être différent à ta manière. Même si ce n’est qu’un détail, ce détail fait, pour toi, toute la différence. Tes lèvres sont fines, ton nez est légèrement en trompette, ton visage refléte ta jeunesse.

Contrairement à la plupart de ton racial, tu n’as pas d’oreilles sur la tête mais dans ton dos, un peu plus haut sur ton postérieur, il est possible de remarquer une longue queue de chat tachetée à l’extrémité arrondie. Tes poils courts remontent de tes fesses à tes épaules, recouvertes de cette fourrure caractéristique de ta race. Elle est brune, voire un peu feu, et est parsemées de rosettes ouvertes et fermées dont le contour est prononcé par le noir. Ces taches se font de plus en plus pointues en s’approchant de ta marque animale. Ton poil est doux au toucher et reste une partie très – trop – sensible de ton corps. Tu ne sais pas ce qui arriverait si on te caressait à cet endroit tout en perdant le contrôle de ton don. Tu ne veux même pas y penser. Tes ongles sont un peu longs d’ailleurs, faudrait penser à les couper… Tu ronronnes, feules, miaules pour faire part de ton humeur. Tu réagis ainsi sans vraiment y réfléchir et cela a tendance à te gêner lorsque tu ronronnes près d’un inconnu.

Tu t’habilles selon la tradition. Souvent, il s’agit de kimonos d’un bleu uni. Comme tu pratiques le kyūdō, tu gardes souvent le même style de tes kimonos de cérémonie pour ceux de tous les jours, accompagné d’un hakama et de tabis. Tu les aimes beaucoup puisqu’ils montrent une certaine grâce et humilité. Tu n’arrives toujours pas à te faire à la mode humaine, tu la trouves assez compliquée à dire vrai et tu préfères te confiner dans un style qui te correspond et dont tu as l’habitude. Je sais que tu doutes de ta beauté, tu n’es pas sûr de pouvoir plaire et tu ne cherches pas non plus à séduire les autres. Tu préfères rester seul, loin d’un possible dérapage, loin des personnes qui pourraient profiter de toi.

Je t’observe. Je te trouve bien silencieux pour quelqu'un qui n'a cessé de m'obséder ces dernières semaines... Tu tournes sur toi même, tu regardes tes mains, touches ta joue. Je soupire, me lève et viens poser un miroir en face de toi pour que tu puisses t’observer entièrement. Je lèvre un sourcil et j’attends. T’as l’air content. Je vais te tapoter la tête et retourne à l’écriture.




Biographie


J’ai enfin réussi à te décrire. J’ai bien cru que je n’en verrais jamais le bout. Je me demande pourquoi tu te comportes ainsi et surtout, je n’arrive pas à m’expliquer la raison de ton asservissement. Je ne sais vraiment pas ce que tu as pu faire comme connerie pour te retrouver dans un tel merdier. Toi qui appartiens à la Branche Principale des Meiroo… Mais maintenant que nous rentrons dans les choses sérieuses, tu n’oses plus me regarder ? Tu voulais être créé alors assumes-en les conséquences. Viens foutre tes fesses sur ce foutu canapé et parles moi de ce qui s’est passé ! Comment veux-tu que je te joue si tu ne me racontes pas ton histoire ? C’est alors que t’as commencé à parler. Je t’écoutais expliquer, divaguer, aller à droite, à gauche, te lever, rire et pleurer mais je ne sais pas quoi te dire, Miya. Que tu l’as mérité peut-être ? Je ne sais pas vraiment comment je vais leur expliquer tout ça mais je ferai de mon mieux.

Lorsque tu es né ce petit matin du mois d’Arano en l’an 27, l’air était doux et tu étais le premier fils de la famille, l’espoir démesuré. Ils avaient déjà tellement de projets pour toi, tu serais la perle de la famille, tu ferais perpétuer le nom, tu deviendrais fort et important. Ce fut ce qu’on avait prévu. Asuma Meiroo, ton grand père, était le Conseiller Meiroo, un homme au rôle conséquent pour la totalité de ta famille. Tu aurais dû suivre ses pas, tu aurais dû faire tellement de choses de ta vie. Tu vivais dans le luxe et tu ne manquais jamais de rien afin que tu deviennes celui que tes parents attendaient de toi. Ton père, fils d’Asuma Meiroo, était un magnifique lynx roux, tandis que ta mère avait hérité de la race du Chat des Sables, comme ton oncle d’ailleurs, de onze ans ton ainé. Toi, tu es né Chat Bengal, menu, une longue queue sortant du haut de ton postérieur. Tu criais à leur en transpercer les tympans mais bien vite, tu retrouvas ton calme dans les bras aimants de ta mère.

Elles furent belles tes premières années. C’est ce que tu pensais alors que tu étais encore haut comme trois pommes. Le kyūdō fut le premier sport que l’on t’imposa, tu n’étais pas très grand, tu étais léger mais il te fallait pratiquer une activité qui te permettrait d’apprendre à contenir cette boule d’énergie que tu avais en toi. Tu devais avoir trois ans, si je me souviens bien, lorsque ta famille t’assigna un enseignant pour que tu puisses t’imprégner de toutes les connaissances possibles : de la géographie complète d’Aochikyu à la finance de Migoto, sans oublier bien sûr les nombreuses langues humaines. On se fichait de ton âge, il te fallait être parfait. Il te fallait réussir à épater le reste du clan, leur montrer de quoi tu étais capable et surtout, qu’ils sachent que tu pourrais succéder à ton grand-père. Même à ton âge. Même aussi jeune.

Plus tu grandissais et plus la pression sur tes épaules s’agrandissait. Les théories que l’on t’imposait devenaient de plus en plus sophistiquées. Alors que tu apprenais ta quatrième langue, ta première sœur est née. Un magnifique bébé. Tu l’as aimé dès la première seconde, tu la chérissais mais tu n’étais pas souhaité à ses côtés. Tu devais te confiner dans le bureau de ton père et t’instruire. Il n’était pas question de jouer, tu devais rester assidu, concentré sur la tâche que l’on t’avait confiée. Le kyūdō t’apportait les seuls moments de calme et de récréation. Tu voyais ta sœur grandir, souriante, magnifique, ses longs cheveux volant derrière elle alors que tu relevais les yeux de ton parchemin. Son rire résonnait à tes oreilles et tu souriais. Quelques années plus tard, ta seconde sœur vint au monde. Elle était beaucoup plus capricieuse que la cadette mais tu te glissais dans sa chambre pour la bercer lorsqu’elle s’écriait la nuit. Tu appréhendais qu’elles souffrent de cette même pression que l’on t’avait imposée mais elles furent gâtées de tous les côtés. Elles s’émerveillaient de tout et de rien et riaient à s’en casser la voix. Malgré que ton éducation diffère de la leur, tes sœurs étaient la prunelle de tes yeux et tu aurais tout fait pour les protéger.

Ta mère et ton père ne savaient comment te montrer leur amour. S’ils t’ont pris dans leur bras lorsque tu étais un bambin, les marques d’affections se sont raréfiés au fil du temps pour finalement disparaître. Tes parents n’ont jamais récompensé tes bonnes actions, ils ne t’ont jamais regardé en face pour te dire qu’ils étaient fiers de toi. Toutefois, dès que tu osais commettre une erreur, tes punitions étaient conséquentes. Il te suffisait simplement de te tromper sur une question de géographie. Mais s’ils ne t’ont jamais frappé, il t’arrivait souvent de devoir rester confiner dans l’immense demeure familiale. Dans ta chambre, tu restais assis sur le sol. Parfois, il t’arrivait de frapper la porte à maintes reprises pour que l’on t’ouvre mais ils étaient sourds à tes pleurs. Tu ne comprenais pas pourquoi tu devais subir un tel traitement. La solitude t’écrasait parfois et même tes sœurs n’étaient pas autorisées à te tenir compagnie. Tu détestais être seul, tu détestais n’avoir personne avec qui parler et plus on t’enfermait, plus tu doutais. Tu te posais constamment des questions sur la légitimité de tes actes. Tu n’étais plus sûr de rien, du pourquoi du comment, alors tu acceptais ton sors et attendais. Tu attendais patiemment que l’on te libère de ce calvaire.  

Pourtant, tu n’as pas vécu coupé du monde. De ton temps libre, tu en faisais ce que tu souhaitais alors tu sortais et essayait de rencontrer tes semblables. Ces adolescents qui vivaient avec la même pression sur leurs épaules. Il t’était cependant difficile de créer des liens d’amitié. Il y eut ce soir où tu vis ton père s’effondrer. Lui, cet homme si fort et si sûr de lui, cet homme dont personne ne savait ce qu’il pensait, tu l’as vu se renverser dans les bras de ta mère, pleurer, crier mais alors que tu les observais dans l’entrebâillement de la porte coulissante, les domestiques ont posé les mains sur toi pour te faire reculer. Tu ne devais pas assister à cette scène des plus surprenantes. Ce que tu as vu ce soir-là, t’es resté gravé dans la mémoire. Tu t’en souviens encore aujourd’hui comme si cela s’était passé la veille puisque c’était bien la première fois que tu voyais ton géniteur dans cet état lamentable. Tu fis alors de plus en plus attention à ce qui t’entourait et tu remarquas bien vite que ce n’était pas la première fois que tes parents avaient été trahis par une personne à qui ils auraient offert leur vie. Tu as donc commencé à dresser une certaine barrière entre les inconnus et toi. Tu ne voulais pas qu’ils se jouent de toi. Ta confiance était difficilement acquise alors, tes amis, tu les comptais sur les doigts d’une main.

En l’an 44, alors que tu venais d’avoir dix-sept ans, tu faisais force d’une facilité avec les chiffres. On te confia donc les finances de la famille. Tu aimais gérer, compter, analyser les dépenses, conseiller les membres de ton clan pour optimiser la gestion de l’argent familial ou proposer des opportunités d’investissement. Tu savais y faire, c’était un fait. Tu étais bien plus libre maintenant que tu prouvais que l’éducation que l’on t’avait attribuée portait ses fruits. Tu sortais davantage. Tu allais boire dans les bars prisés de Yuufuku, tu te laissais aller. Ta pyrokinésie s’était réveillée depuis plusieurs années maintenant et tu l’utilisais pour amuser la galerie. Tu aimais voir le sourire sur le visage des gens, les étoiles dans leurs yeux et ton cœur se réchauffait à chaque fois que l’on te complimentait. Puisque l’on avait beau te dire à quel point tu étais doué, Miyabi, tu ne croyais toujours pas en tes capacités. Tu ne connaissais d’ailleurs toujours pas le plaisir de la chair, ce ne t’avait encore jamais intéressé. Et puis un jour, il y eu cet homme. Un homme si grand et dont l’assurance t’écrasait. Tu fus subjugué. Tu le regardais de loin, lui lançant des coups d’œil tout en riant avec tes amis alors que seule sa prestance te faisait perdre pied. Mais… Il s’en alla et tu ne le revis plus.

Plus les jours passaient et moins tu comprenais quel était le but de ta vie. Tes pensées se perdaient dans les méandres de ton âme mais tu continuais de sourire. Les personnes que tu rencontrais te racontaient leurs histoires et leur devenir et tu les écoutais avec intérêt. À chaque fois que l’on tentait d’en savoir plus sur ta vie, tu détournais la conversation. Tu ne voulais pas parler de toi puisque au fond de ton être, tu ne savais toujours pas ce que tu deviendrais. Tu as suivi le chemin que tes parents avaient tracé pour toi au pied de la lettre. Tu es devenu ce qu’ils voulaient que tu deviennes. Qui es-tu vraiment ? Aujourd’hui encore, tu te le demandes. Tu n’es pas perdu, non. Tu sais que ce que tu es, se dissimule encore profondément en ton sein mais pourtant, bien là. Alors tu enfouis ces questions existentielles dans ton subconscient et avance du mieux que tu peux.

Une année passa et l’on te confia les finances du Marché des Esclaves. Tu observais les asservis être vendus d’un air froid puisque tu considérais que la plupart d’entre eux avaient mérité ce qui leur arrivait. Ta plume à la main, tu écoutais les enchères et notait les entrées de pièces. Tu comptais, vérifiais, analysais pour que tout soit parfait. Ta vie était presque monotone. Tu te levais, tu travaillais et tu retrouvais les copains au bar. Lorsque tu retournais dans celui où tu avais vu cet homme, tu levais la tête et espérais l’apercevoir. Sans succès. Sauf cette unique fois où tu finissais ton verre seul et qu’une ombre t’approcha, te surplomba et lorsque tu relevas le visage de ton vin himérien, ton cœur manqua un battement. Ce sourire, cette assurance, tu pensais ne plus jamais les revoir et tout ton être s’emballa. Il t’offrit un verre de saké, ce que tu acceptas. Les heures passèrent et cet homme continuait de t’attirer plus que de raison. Et puis… il posa la main sur ton bras. Ton corps fut parcouru d’un frisson incontrôlable. Alors qu’il s’approchait de tes lèvres, tu te sentis défaillir. Sa main sur ta joue, il caressa la courbe de ton visage et tout s’évanouit autour de toi. Les sensations qui t’assaillaient à cet instant précis étaient curieuses. Tout t’éclatait en pleine figure mais tu aimais étrangement cette sensation. Tu t’y serais enroulé, noyé si tu avais pu. Ton corps tremblait, d’un tremblement incontrôlable et tu ne pus plus tenir. Tu le repoussas violemment et t’enfuis. Dans les rues sombres de l’hiver, tu enfermais ton corps de tes bras, continuant de trembler comme jamais. Tu t’es longtemps demandé ce qui avait bien pu provoquer une telle réaction mais dans ta course, le froid te glaçait la peau à t’en brûler, t’empêchant de réfléchir. Cette tornade de sensations te fit perdre pied et tu t’évanouis dans les rues bondées du quartier Yuufuku.

Ce n’est que bien plus tard que tu compris la raison de ce malaise. Ta convalescence fut longue. Plusieurs semaines s’écoulèrent avant que tu ne puisses retourner au Marché. Ton hypersensibilité était toujours instable mais tu arrivais à la gérer. Tu as appris à méditer pour ne pas te laisser submerger par les émotions mais ta vie a repris cet air monotone et tu te demandes toujours si tu n’aurais pas dû désobéir à tes parents et suivre un autre chemin. Mais tu étais trop doué pour partir, Miyabi, ils n’allaient pas te laisser t’en aller aussi facilement. Ce fut d’ailleurs lors de tes vingt-et-un ans que l’on te proposa le poste de Trésorier des Ankoku. Il a fallu te le répéter cinq fois pour que tu puisses finalement comprendre ce que l’on t’annonçait. Tes parents étaient fiers de toi ! Oh non, ils ne te l’ont pas dit… Mais tu pouvais le voir sur leur visage. Ce que tu ne sais pas, Miya, c’est que ce poste… tu le dois à ton cher oncle, Momiji Meiroo.

Tu fus impressionné par la majesté des lieux alors que tu posais le pied pour la première fois dans la Tour des Sept. Tu avais ton propre bureau et même une secrétaire ! Tu étais si jeune pour une telle position, Miyabi… Cela ne t’a vraiment pas mis la puce à l’oreille ? Tu peux être d’une naïveté quand tu veux… Les finances des Ankoku étaient bien plus complexes que celles de ton clan ou même celles du Marché des Esclaves. Il te fallait être bien plus attentif mais tu y arrivais d’une main de maître. En plus d’être un Meiroo, les pièces d’or que tu récoltais auraient pu faire vivre même tes enfants jusqu’à la fin de leurs jours. Enfin… si tu en avais eu. Mais l’ennui t’accablait. C’était toujours la même chose. Tous les jours. À répétition. Aurais-tu pu vivre ainsi toute ta vie ? N’était-ce qu’une épreuve difficile à passer ? Tu tournais en rond. Ta vie était beaucoup trop simple, tu avais besoin de quelque chose d’excitant, à défaut de ne pas avoir une vie sexuelle riche en rebondissement. De ce que tu entendais de tes amis, tu devrais ‘sortir ton balai des fesses et finalement, passer à l’acte’ ! Mais cela t’était impossible. À chaque fois que tu repensais à cette soirée, des frissons réapparaissaient sur ton corps et ton cœur se remettait à battre violemment dans ta poitrine.

Ce jour-là, tu réfléchissais seul dans ton bureau à l’avenir et à ce que tu en ferais. Momiji était depuis plusieurs années le conseiller Meiroo et cette position lui allait comme un gant. Il était impensable qu’il abandonne ce poste. Alors qu’allais-tu devenir ? Continuerais-tu à gérer les finances des Ankoku ? Finirais-tu par gérer celles de toutes les Grandes Familles ? Mais après… Une fois que tu aurais atteint cet objectif, que te resterait-il ? Tu n’as que vingt-trois ans et tu t’ennuies déjà… Un coude posé sur ton bureau, tu faisais tournoyer une pièce d’or entre tes doigts. Tu l’observais briller, dorée, magnifique. Alors que les questions continuaient de tergiverser dans ta tête, une autre bien différente des autres te traversa l’esprit.

Et si tu… Non… C’est absurde

Mais cette pensée s’encra dans ton esprit.

Et si tu… la volais ?

Et si tu… volais l’argent des Ankoku ?

Les battements de ton cœur s’étaient accélérés et tu t’étais redressé sur ton siège. Doucement, ta main s’était refermée autour de cette pièce que tu dissimulas dans le Obi de ton kimono. Personne ne s’en apercevrait. Tu es celui qui s’occupe des finances après tout et on te faisait confiance. Si tu avais commencé avec une unique pièce, l’adrénaline qui montait jusque ta gorge à chacun de tes vols te poussa à en prendre davantage, de plus en plus. Chaque jour, toujours plus. Tu avais perdu la tête, Miyabi. Tu avais complètement perdu la tête. Ta vie était devenue tout à coup très excitante. Tu savais très bien que tu pouvais être découvert un jour ou l’autre mais c’était ce qui rendait tes actes si jouissifs. Tu aurais dû réfléchir… Les Ankoku ne sont pas stupides et voler leur argent était une très mauvaise idée. Tu aurais dû écouter le conseil de tes amis et te tirer le balai du cul plutôt que de risquer ton avenir… La vie n’est pas un jeu et tu le découvris bien vite car, quelques semaines plus tard, on s’aperçut de ta supercherie.

Ce qui suivit fut bien trop rapide. Tu n’eus pas le temps de réfléchir, ni de te justifier. Lorsque l’on t’amena chez toi, ta famille avait évidemment déjà eu vent de ta bêtise. C’est le visage grave qu’ils t’accueillirent. Ils s’inclinèrent devant les Ankoku qui t’accompagnaient et se pourfendirent d’excuses. Ces derniers te laissèrent là et tu dus faire face à tes parents. Seul. Le silence était de plomb. La claque que ton père t’infligea résonne encore aujourd’hui à tes oreilles.

« Tu es la honte de la famille ! Tu n’existes plus à mes yeux. »

Ce furent les derniers mots que tu entendis de la bouche de ton père. Ta mère, quant à elle, resta silencieuse et si tes sœurs auraient voulu comprendre la raison de tes actes, vos parents ne leur en laissèrent pas le choix. Seul, dans le hall de ta demeure, le choc te vient finalement en pleine figure. Tu te demandes comment tu as pu être aussi stupide mais il est trop tard pour faire marche arrière. Tu attendras ce qu’il adviendra de toi. Tu n’as plus ton mot à dire.

« Votre sentence est tombée. » Pause. « Asservissement. » vient t’annoncer l'un de tes domestiques. Tu sors de ta méditation qui n’aura servi à rien puisque les battements de ton cœur reprennent un rythme affolant. Tu baisses la tête. « L’on viendra vous chercher demain matin. »

Je me redresse sur mon siège mais je ne peux te regarder. Tu es sensé être intelligent, Miyabi, mais tu es assez bête pour commettre une erreur aussi stupide. Je ne te comprends pas. Ta vie changera du tout au tout, en es-tu conscient ? En fait… Je m’en fiche. Peut-être que tu découvriras enfin qui tu es réellement et où tu veux aller dans ta vie d’asservi.



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Âge IRL : Je suis vraiment obligée de le redire ? XD
Comment avez-vous connu le forum ? : Miya est ma cinquième lubie… Il s’est fait une petite place entre les quatre autres o/
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Qui a créé les Ainokos ? : Taisha-sama !
 

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Miyabi
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty24.07.16 15:33
Re bienvenue J'aime bien le choix du vava XD
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty24.07.16 17:00
Salut beau gosse ! On se fait une bouffe on s'appelle Wink
Ainoko Libre
Botan
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty24.07.16 17:33
Merci Ushio o/ J'sais toujours pas si je dois le garder ou en prendre un autre xD Y en a trop @_____@

Nan mais Botan ! XD <3
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty27.07.16 17:17
Bienvenue ou re ?

Ouuuuuuh miam miam What a Face joli petit chaton que voilà XD
Ainoko Libre
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty28.07.16 13:47
C'est un "Re", Nagisa Wink C'est Aedan, Hayate, tout ca o/

Boooooon, bah voilà, j'ai fini mon histoire... J'espère que je n'ai pas trop fait d'erreurs T_T
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty02.08.16 16:57
Bonjour,

Ton personnage m'intéresse beaucoup et je t'ai envoyé un mp pour en discuter avec toi.

A bientôt
Invité
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty03.08.16 21:18
Les pouvoirs sont bons pour moi^^
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty05.08.16 11:20
Pardon du retard ^^
Tout est ok ! Je valide ^^

Fiche Validée
"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. De plus, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. Les langues que parlent ton personnage, tes autres comptes si tu en as, tes périodes d'absence, l'âge et autres petites informations utiles rapidement aux joueurs, et qui concernent ton personnage !
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup Embarassed ...

Sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci.
Nous avons aussi les Dépôts de Missives pour les rps de type "épistolaires". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage ^^
A noter que les modèles proposés de codage ne sont pas obligatoires, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.


Le staff te souhaite la bienvenue!
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(#) Sujet: Re: Miyabi - My life is a mess [Terminée] Miyabi - My life is a mess [Terminée] Empty
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Miyabi - My life is a mess [Terminée]
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