Eclipse Maderkenn

Informations

▬ Année de Naissance : An 20. (30 ans) ▬ Genre :  ♂ ▬ Race : Loup de la Toundra (Markav Krigare)

▬ Statut : Libre (Ancien asservi) ▬ Métier : Mercenaire/homme à tout faire, avec une certaine "fidélité" pour l'un des gérants du marché noir des inexistants. (Ancien "chien de garde")

▬ Don(s) : Liaison lupine || Eclipse peut obtenir une certaine connexion télépathique avec les loups, particulièrement les loups de la toundra. Plus l'animal en question est proche de son code génétique, plus la connexion est puissante, le contraire est aussi vrai. De même, obtenir une connexion télépathique avec plus d'un individu, diminue la puissance du don. Pour ainsi dire, Eclipse peut asseoir son autorité sur l'animal ou les animaux en question, voir à travers leurs yeux mais aussi obtenir une certaine "conversation". Il peut en échange d'autre chose, obtenir leur aide, et ainsi avoir moins besoin d'asseoir son autorité, il peut aussi chercher à écraser l'esprit en question, ce qui demande bien plus de contrôle. A vrai dire, le don est complexe dans son entièreté : les loups n'ont pas de langage, ni une notion de bonté, ou d'intelligence humaine. Pour ainsi dire, Eclipse doit envoyer des images, des émotions à l'animal, et ce dernier lui répond ainsi. Ce contrôle est fatiguant, car voir à travers leurs yeux, comprendre, se lier spirituellement pour qu'ils obéissent n'est pas sans danger. Il ressent ce que le loup ressent, et ce dernier ou même plusieurs, peuvent très bien chercher à dominer à leur tour ou même à refuser la présence d'Eclipse. On peut décrire cela comme de fortes morsures cérébrales. L'Ainoko en ressort avec des maux de tête légers comme terribles, et en dernier recours des saignements, des vertiges, des tremblements et une conscience qui peine à revenir. Eclipse peut donc contrôler un loup, pour autant cette liaison lupine l'atteint de façon tout autre, par la dépendance. Voir à travers les yeux d'un loup, ressentir ce qu'il ressent devient fascinant au fur et à mesure du temps. Eclipse peut se laisser happer par cette connexion, il lui reste ensuite une envie de recommencer s'il en ressort. Il s'agirait d'un rêve dont il ne voudrait jamais se réveiller. Et ce manque, au fur et à mesure des années, devient important. De ce fait, Eclipse se "drogue", à partir de plantes dites mortelles, il choisit une autre dépendance pour cacher la première. Car s'il a le malheur d'utiliser cette liaison trop longtemps, Eclipse serait capable de perdre sa conscience. NB : Ce don n'a absolument aucun effet sur les Ainokos. Loup de la Toundra : Ici & Ici Réflexes hypersensibles || N'ayant guère des capacités de moine shaolin ou d'un certain Neo, Eclipse possède une facilité notable quant aux sports de corps à corps ou nécessitant un rapprochement physique. L'Ainoko possède des réflexes musculaires un peu plus avancés que la normale, sans aller dans le sixième sens. Il a seulement plus de chances de dévier un coup de poing, ou bien de rattraper un objet en pleine chute. Seulement, du à son usage de "drogue", ce don ci à tendance a être inhibé.

Psychologie & Physionomie

La première fois que je t’ai vu, tu étais couvert du sang d’innocents. Pourtant, ton pelage n’avait guère de couleur rouge sang. Tes yeux, tes yeux se baignaient de ce fait, de cette violence naturelle, que certains pourraient trouver belle. Une douce violence. C’est étrange comme parfois, certains mots ne semblent pouvoir s’associer, mais dans certains cas, ils se marient de la plus atypique façon pour donner un geste extraordinaire. Car tes yeux avaient beau semblé salis de brutalité et d’horreur, tu restais l’Ainoko le plus doux qui m’ait été donné de connaître.

Tu diffères dans la foule, par ta grande taille, par ton visage inflexible. Deux mètres de hauteur pour une finesse musculaire à toutes épreuves. Tu n’as pas l’air accueillant, ni des plus charmants. Tu sembles même menaçant. Une menace aux allures plus canines qu’humaines. Ton corps est d’un blanc grisé, recouvert d’un fin pelage. Tes pattes arrières semblent immenses de part leurs longues griffes noires cliquetant sur les pavés. Quant à tes mains, elles restent calleuses et nerveuses. Ta gueule de loup en revient à plus d’un, par ses deux yeux perçants d’un bleu olympien et aux contours noirs se prolongeant sur ton museau, et par ces crocs menaçants qui n’ont guère besoin de voix pour se faire entendre.

Tes oreilles sont aussi fines qu’attentives, elles bougent, au moindre son, à la moindre de tes émotions. Elles sont un peu grandes et arrondies, percées et naissant dans tes cheveux d’un roux si sombre qu’il en paraît purpurin. Des cheveux longs, fins, que tu attaches parfois à l’arrière de ton crâne en une queue de cheval mal faite. Ils sont décorés, comme tes oreilles, de perles et autres bijoux en fer. Lisses, cela ne les empêche pas de ressembler à un étrange monstre sur ta tête, au réveil. Tu les aimes ces cheveux, je m’en suis rendue compte à force. Tu as l’air de te foutre de ta coupe de cheveux, et pourtant, tu les as laissé pousser, tu les as brossé, tu vérifies leur présence, comme s’ils pouvaient du jour au lendemain, disparaître sous le désir d’une paire de ciseaux.

Tu ne t’habilles pas de brocards et d’or, ton corps est de lui-même une peinture de cicatrices et de morsures, comme si tu étais une de ces bêtes grondante faite seulement pour le combat. Manteaux longs, pantalons abimés, rien pour te faire remarquer. Parfois même une capuche pour cacher ton identité, elle si précieuse désormais. Quelques couteaux sont disséminés sur tes hanches. Ce qu’on remarque surtout - après ta longue queue touffue de loup - c’est ton collier, un collier de chien, épais, en cuir noir, avec quelques longues plumes s’en extirpant, preuve de ton ancien asservissement. Alors, pourquoi ne pas l’avoir jeté ? Tu as brisé tes chaînes, tu as jeté cette vie à la seconde où on t’en a donné l’occasion, pas ce collier. Il te rappelle ce que c’était, il te rappelle à quel point il t’a sauvé de mâchoires cherchant ta gorge. Sans lui, tu te sens en danger, la peau de ton cou à la merci du moindre couteau. Il te rappelle à quel point la barrière est infime entre asservi et libre, et que ta liberté est plus précieuse que toute autre chose.

C’est étrange, à quel point j’en sais sur toi. Il faut l’avouer, tu es un livre ouvert. Derrière ce visage effrayant et sauvageon, cette impassibilité chronique, il se cache bien des émotions. La première impression d’effroi passée, il est facile de te deviner. Jalousie, colère, curiosité, méfiance, et tant d’autres. Tu auras beau tourné le dos, le miroir de tes pensées ne pourra se briser. Tu es facile à cerner, Eclipse.

Au premier abord, tu sembles le parfait mercenaire, garde du corps, homme à tout faire. Un professionnalisme extrême s’extirpe de tes actions et paroles. Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, tu n’aimes t’engager dans des situations dont tu ne connais tous les tenants et aboutissants, tu hais les pièges comme les regards trop pesants. Tu ne parles pas sans réfléchir aux conséquences de tes mots, tout est pensé et réfléchi encore et encore. Ce n’est guère de la manipulation, il s’agit de survie. Ton mentor te l’a appris.

C’est ainsi qu’on aperçoit ton égoïsme, franc et dur, piquant et froid. La solidarité, la bonté, la générosité, des mots qui te sont étrangers et attisent ta méfiance naturelle. Une méfiance étrangement plus développée envers ta propre race que les humains ; car ils ont les ressources sur cette île, les ressources pour te faire chuter. Si tu te méfies des uns, tu vois les autres comme des objets plus que des anciens confrères d’un destin aussi sordide que commun. Les humains libres, eux, ont aussi ta méfiance, mais tu ne les différencies que peu des esclaves. On est jamais mieux servi que par soi-même est ta rengaine, ta leçon, le prologue de l’épais livre comptant tes autres règles.

Alors pourquoi, si tu ne veux revenir à cet état d’asservi, frôles-tu autant la loi par ton métier ? Car tu ne sais rien faire d’autre, Eclipse, on te l’a dit, appris et ancré dans ta petite cervelle. Tu n’es bon qu’à servir contre paiement, attraper, frapper, protéger, et prendre les coups pour autrui. Au fond, il reste une part de toi encore asservie. Il suffit d’être assez charismatique pour la dévoiler. Il suffit d’élever le ton pour remarquer dans un bref instant ton hésitation et ton regard se baisser. Toi, celui qui n’hésite pas, revient à cet état de soumission animale : garder le silence et ne dire mot. Un petit secret bien gardé, bien détesté aux tréfonds de tes entrailles.

Eclipse, sans attaches, Eclipse, sauvage et brutal, contradictoire et direct. Enfin, quand ta liberté et ta vie ne sont pas sur la balance, tu dis ce que tu penses, ce qui te semble juste. Tu es désagréable, est-ce du à ta dépendance aux drogues ? Qu’en sais-je. Tu es désagréable, chiant et têtu, et terriblement susceptible en état de manque. Ta méthode est la meilleure, qu’importe le reste, tu rumines et même lorsque tu as tort, tu as raison. Possessif, jaloux et territorial, trois défauts bien trop ancrés entre tes poils. Tu suis souvent ton instinct, comme si tu étais plus animal qu’humain. Peut-être tiens-tu cela de ton don, qu’en sais-je ? Oh, je le sais. Car tu sembles plus doux avec ceux ne pouvant te faire du mal, et les animaux semblent partie intégrante de cette équation. J’ai remarqué ta solitude extrême, ton envie de meute, j’ai remarqué tant de choses, comme ta douceur dans tes gestes. Tu me repousses, d’un mouvement de patte, sans chercher à me blesser. Car tu connais l’ampleur de chaque blessure infligée, tu ne les souhaites à personne. Et tu ne souhaites jamais te montrer en état de faiblesse face à autrui, ni avoir de dettes envers ceux-ci.

Au fond, tu aimes la présence d’autrui, tu aimes les mains cherchant à te protéger et tu en ris de ces paumes, car tu es celui qui protège et le plus à même de le faire. Un rire cynique. Tu ne l’avoueras jamais, mais tu aimes ces attentions, cette affection, je crois que c’est pour cela que tu détournes le regard en grondant. Par nervosité de te laisser aller, par méfiance de te faire poignarder en plein cœur. Désormais, ces trois choses sont tes biens les plus précieux : ta liberté, ta vie et ton cœur. Tu es certainement le plus violent physiquement, je me surprendrais pourtant toujours de la délicatesse avec laquelle tu m’as aidé à me relever, et à me soigner, dans ton silence coutumier. Au fond, Eclipse, tu es une lune en demi-teinte, tantôt noire, tantôt grise, jamais blanche.

Physique (sans les ailes):

Biographie

« Tu m’as fait du mal, après tout ce que je t’ai offert… Tu as voulu me blesser, me doubler. Laisse-moi te rendre la pareille. Tu te rappelles Yomata ? Si, tu t’en rappelles. Il gère une partie des mines… Une partie des criminels travaillent sous sa coupe. Tu te souviens, n’est-ce pas, de ce qu’il fait ? Alors laisse-moi t’expliquer ce qui va se passer : je ne te vendrais pas à lui. Mais cette chose entre tes bras, je vais lui vendre. Je vais même lui donner, un simple cadeau. Tu sais à quel point il les aime aussi animaux. Non, ne pleure pas, je n’ai pas encore fini. Lorsqu’il apprendra à ramper, il sera son bouffon. Lorsqu’il commencera à marcher, il lui apprendra à se mettre à quatre pattes, à genoux pour ses autres mineurs. Lorsqu’il pourra porter des charges, il travaillera jour et nuit dans les mines. Qu’il parle, et il lui coupera la langue. Qu’il se rebiffe, et il lui coupera la queue. Qu’il ait seulement l’idée d’espérer s’en sortir, et il lui rappellera la faute de sa mère, celle qui l’a poussé dans cet enfer. Il ne sera qu’une bête de somme, et il mourra dans l’amertume et les blessures, seul. Voilà ta punition pour avoir osé me tromper. Profite de cette minute avec lui, car tu ne le reverrais plus jamais. »

Et elle pleurait, de lourds sanglots s’accentuant tout au long de son discours. Ses bras serraient l’enfant endormi contre elle, tous ses membres tremblaient de détresse et de peur. Elle le serrait, avec l’espoir peut-être de l’étouffer. Mais elle était faible, une faible avec une telle imagination qu’elle mourut quelques mois plus tard. Seule, blessée, et amère.

Pour autant, si certaines choses se font dans un ordre bien défini, d’autres ne sont guère obligées de s’y soumettre. Le loup, aussi asservi fût-il, ne sembla pas soumis à un destin érigé par de simples mots. Sur le papier officiel, Yomata le nomma Inu. Chien, cabot, clebs, assis, viens là, couché, des mots qui n’ont jamais atteint sa conscience. Car il s’agissait bien de sa seule possession : sa conscience.

Un Ainoko s’occupant d’une partie des mines, un lémurien, c’était certain. Pour autant, il n’était guère un sublime commerçant, plus porté sur l’animation, les esclaves et le bel air. Inu était son chien, car pour lui, un Ainoko aussi animal, ne pouvait être qu’animal. Allaité par une nourrice, il le jeta ensuite dans la cage de ses propres chiens, loups, et tout autre animal canin du même acabit, dont il adorait la compagnie et les carnages. Lorsque les cheveux d’Inu se mirent à pousser, il les rasa. Lorsqu’il se mit à babiller, il le somma d’aboyer. Lorsqu’il voulut marcher sur deux pattes, il le força à rester sur quatre. Inu fut élevé comme un animal, mangeant dans une gamelle, se battant avec les autres canidés pour un morceau de viande, et parfois un autre asservi avait pitié, lui offrant de quoi se sustenter. Pour lui, c’était très simple : il était un chien, son monde se résumait à obéir, à grogner, et à faire le beau pour un peu de bonne nourriture.

Pourtant, il avait une conscience. Il le sentait, qu’il n’était pas comme les autres de la cage, qu’il avait cette pensée, au fond de son crâne. Et Yomata y vit quelque chose à développer. Le lémurien aimait les risques, il aimait jouer, et il était plus qu’instable comme porté sur le commerce. Son infime partie des mines revint à la famille qui s’en occupe aujourd’hui. Quant à lui, il garda Inu, quelques autres de ses acquisitions, et se porta pour les combats de chiens, d’esclaves, des deux en même temps. Inu était les deux. Il mordit, se débattit corps et âme, et réfléchit, espéra, se rebiffa. Sa langue ne fut jamais coupée, pas même sa queue. Seuls ses cheveux preuve de son humanité, lui étaient volés.

Sa vie se résumait à cela. Il apprit quelques mots, jusqu’à ce que le marché des Inexistants prenne naissance. Yomata trouva un associé, un autre Ainoko, plus calme, plus… Intelligent. Tout du moins, Inu le voyait ainsi. Et il se méfiait de ces deux yeux le fixant en silence. Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que le bras droit était le cerveau et Yomata le bouffon. Ils profitèrent du développement de ce marché illégal pour s’y faire une place, faisant concurrence à Yoirou Inken, que Yomata exécrait d’ailleurs pour sa malice notable.

Inu, il restait le chien de garde, celui qui grondait, celui qui surveillait les arrivages de ses yeux de loup, celui qu’on jetait sur les possibles fuyards, celui qui revenait en sang, essoufflé, sans comprendre, juste pour un morceau de viande. Puis, Yomata partit, ou plutôt, il fut attrapé par la loi. Et même, fut livré. Son bras droit avait certainement vu en lui un possible danger pour le marché, ou bien s’était simplement agacé de son comportement. Il était intelligent, assez pour se faire passer pour un témoin marchand, assez pour recueillir avec la plus humble des innocences ses rares possessions, Inu en faisait parti.

Inu regarda avec curiosité et méfiance mêlées, le petit rouleau de papier entre les mains de cet Ainoko. Tu es libre, avait-il dit. Seulement Inu n’avait nulle part où aller, il ignorait tout, et resta immobile, ces papiers dans ses pattes tendues.  Le "libérateur" le savait très bien. Alors, il le prit sous sa coupe, ou plutôt, sous la coupe d’un de ses employés. Un mercenaire, qui avait été là depuis le début, ses yeux aussi étrangement semblables que ceux d’Inu. Il n’a jamais connu son nom, juste ses pensées, ses regrets et son apprentissage. On lui proposa d’être mercenaire, pour ce que cela avait comme importance… C’était comme sa liberté, sur le coup, il ne comprenait ce mot. On lui apprit à parler, on lui apprit à marcher, on lui apprit à être Ainoko, à mettre une valeur sur les choses. Ce mercenaire le traitait bien, autant que son chef. Il ne cessait de lui répéter avec gravité ces mots : N’oublie pas ta gratitude envers cet homme, car il t’a libéré du crime de ta naissance.

Inu n’a jamais répondu, mais il comprenait, à force d’apprendre. Il comprenait à quel point sa vie était maudite, et il chercha la vérité au sein d’un mensonge. Ce mercenaire n’était pas qu’un mercenaire, il ne fallait pas être futé, pour remarquer cet air de famille. Mais il voulait attendre l’humanité d’Inu, avant de lui raconter le crime de sa naissance. Après tout, il n’avait aucune raison de lui cacher leur lien. Son mentor n’était autre que son père, un père impassible, silencieux, qui avait tant vu, tant aperçu. Inu écouta en silence, l’histoire de sa sentence.

Sa mère, se nommant Calinkuna, était une ancienne prêtresse d'Arano. Elle était Ainoko loup de la toundra, tout comme le père d'Inu. Elle était asservie, elle lui a toujours caché la hauteur de son crime l’ayant déchue de ses fonctions. Il fut engager par le maître de Calinkuna, le long d'une affaire sensible, et c'est ainsi qu'ils se sont rencontré. A vrai dire, lui-même possédait une histoire semblable. Il était soldat durant la guerre, il avait vu et participé à la bataille de Gargobergo, qu’il raconta aussi à Inu. Les batailles, et la démission de son poste, pour mieux devenir prêtre de Kage. Il en devint même le grand prêtre, par la force de ses poings et par l’expérience du terrain, puis il partit tel un fuyard et devint mercenaire. Mais il ne lui disait pas tout, il n'a jamais prononcé le mot "chimère", jamais raconté ce qu'il a vu de ses propres yeux vus, jamais ce que Kage lui a montré : Inu avait décelé de la peur dans son regard.

Deux histoires peu reluisantes donc, son géniteur n’en cacha rien : ils étaient attirés l’un par l’autre, mais il ne savait si amour avait eu lieu. Inu était le fruit de leur rapprochement, lorsque Calinkuna lui raconta la profondeur de son histoire, il comprit la détresse dans son regard.

Calinkuna était une bâtarde Kaijuu, conception de quelques nuits entre le père d'Honoka Kaijuu et sa mère louve de la toundra, ce qui faisait de son propre fils un bâtard Kaijuu. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Inu n’aima guère cette idée. Le maître de Calinkuna n’avait apprécié sa grossesse, cette trahison, elle était sienne. Quant au mercenaire, il ne cacha pas sa lâcheté : ce maître aurait pu le dénoncer et le faire pendre via ses contrats, pour avoir engrossé son esclave. Inu vit un certain regret s’extirper de ses yeux glacés, un zeste qu’il cacha aussitôt devant son fils. Je ne saurais dire si tu es puni pour nos erreurs, moi pour avoir abandonné le temple de Kage, et elle celui d’Arano, ricana-t-il. Inu lui-même rit. Sa conception était des plus grotesques, il se sentait grotesque. Calinkuna morte, son père devenu mentor après l’avoir abandonné, sa vie elle-même… Oui, tout était grotesque. Il lui parla du collier qu’elle voulait lui offrir, sa défunte mère, et qui disparut, certainement jeté. Elle voulait te donner un nom commençant par C, pour que son collier te convienne aussi, c’est stupide. Mais je l’aimais bien, sa stupidité, confia-t-il.

Son passé avait désormais une explication, Inu n’était pas qu’un loup, ou un chien. Il ne ressentait guère de rancune envers son mentor. Peut-être de la pitié. En tout cas, il garda ses origines pour lui-même, secret bien gardé. Il aurait fallu remonter jusqu’aux origines de sa mère pour comprendre les siennes, pour cela, il fallait son nom, qu’il enfouirait dans toute son horreur, il était sûr. Jamais Inu ne donna son véritable nom.

Mercenaire devait-il devenir, mercenaire il devint. Son père, toujours payé par le tenant d’une partie du marché illégal et "libérateur" d’Inu, le forma. Il lui apprit à se battre, comme un soldat, comme un animal, comme un Ainoko libre, comme un prêtre de Kage. Le second don d’Inu le servit dans ces tâches, moins dans l’apprentissage de l’Himerien, de l’Emerald et du Zanshi. Un mercenaire cultivé est un mercenaire qui peut sauver la peau de son cul plus facilement, lui rabâchait-il. N’oublie pas, on cherchera toujours à te rouler, alors fais en sorte d’avoir trois coups d’avance. Il lui apprit à lire le Yamato, pas à l’écrire, ou alors maladroitement. Il lui apprit ces trois langues étrangères seulement à l’oral, n’ayant aucun livre pour lui apprendre autrement.

Puis, son père mourut. Il n’y eu aucun accident, seulement la vieillesse, le poids des années, et aucune larmes versées. Inu devint Eclipse Maderkenn, pour cacher ses actions, il reprit le propre nom d’emprunt de son géniteur. Son employeur lui offrit un cadeau. Pour te prouver ma bonne foi, s’était-il justifié. Ce geste n’amoindrit guère sa méfiance du phénomène. Cet Ainoko connaissait sa vraie identité, il était plus que calculateur, et il lui devait en plus, fidélité… Eclipse se rendit compte qu’il n’était pas tant libre que cela : la loyauté envers cet Ainoko était un nouveau collier. Quant au cadeau, il s’agissait d’un véritable loup de la toundra, importé de Markav Krigare. Tu pourras utiliser ton don dans sa totalité ainsi, susurra-t-il.

Eclipse observa son comparse, car lui aussi s’était tenu à quatre pattes, lui aussi avait été sauvage, alors il comprenait. Il pratiqua son don en compagnie de ce loup, sans lui donner de nom, en lui accordant sa liberté. Le loup vivait dans la forêt de l’île, ce n’était pas pour autant qu’ils ne se virent plus jamais. C’était un compagnon en qui Eclipse pouvait avoir facilement confiance, il le pressentait. Le loup lui-même semblait l'apprécier. C’était aussi, le début de sa décente dans la drogue. A force de vouloir contrôler cette liaison lupine, Eclipse en ressentait les effets de la dépendance, lors de ses diverses missions, quelque peu illégales, autant sous la coupe de son grand patron, que pendant d'autres contrats. Et son père n’était plus là pour arrondir les angles, le guider. Eclipse se procure depuis quatre ans, des composés de plantes plus intenses les uns que les autres. Il travaille même en échange de ces décoctions. La vie d’Eclipse s’achève ainsi, sans gigantesque geste héroïque, mais dans la boue, la méfiance, et le désir insatiable de survivre. Il ne redeviendrait asservi pour rien au monde. Néanmoins, il n'est pas fait pour un travail honnête. Il le sait, il est trop tard pour le faire changer. Il est fait pour grogner, mordre, griffer, arracher, frapper, étouffer, garder, intimider, protéger, faire saigner, torturer, attaquer, défendre, et dévorer. Au fond... Eclipse reste le loup ayant grandi dans sa cage, une simple bête. Une monstrueuse bête.

Informations IRL

▬ Pseudo : Jabber
▬ Âge IRL : 22 ans
▬ Comment avez-vous connu le forum ? : Via Ahmes
▬ Code du Règlement : On est là pour s'amuser !
▬ Qui a créé les Ainokos ? : Taisha, la déesse.
▬ Autres : J'ai bien remarqué que les habitants se doivent d'avoir un pseudo à consonance japonaise, mais je pense avoir trouvé une explication quant à son identité, bien sûr c'est à vous de voir si elle est plausible et acceptable ! éè Quant aux drogues, je préfèrerai avoir votre avis sur la question, j'ai bien lu les annexes contextuelles à ce sujet, mais je ne me sens pas encore assez "certaine" sur celui-ci éè Excusez-moi

bienvenue monsieur le garde du corps

*a envie de caliner*

Oh?! Un nouvel ainoko, avec plein d'animalité en lui; excellent et bienvenu confrère!

Au cas où, niveau nom, selon ce que dira Master, tu pourras toujours avoir cela comme surnom. Avoir un vrai nom bien Yamato (japonais) mais l'avoir abandonné ou ne pas l'utilisé. Quant aux drogues, toujours à Master des décider, mais on a pas mal de perso qui s'y connaissent en plante, donc tu devra trouver ton compte, et bien t'amuser avec eux^^

*se penche et fait un câlin à Aï* Merci monsieur le chef !

Merci à vous pour cet accueil ça fait plaisir *^* !! L'animalité c'est le bien

Merci pour les idées Habane ! J'avais pensé justement à quelque chose comme ça pour le pseudonyme, et comme tu dis, c'est le Grand Manitou qui voit si c'est possible ! Merci vraiment de l'aide et de l'accueil

Je te souhaite la bienvenue parmi notre joueuse bande de plus ou moins fous.

Il me semble que les pouvoirs de transformation totale sont interdits sauf pour les prédefs, pour l'instant (précédente petite annonce), mais il faut que master/Nailah confirment =X


Bon courage pour ta fiche !

Bonjour et bienvenue sur Migoto^^

Pour le nom, comme tu l'as remarqué, il nous faudra une petite explication pour son origine^^

Et comme l'a dit Yami, à ce jour, les pouvoirs de transformations sont fermés. Ces pouvoirs sont sensés être très rares et nous en avons déjà trop sur le forum. Sincèrement désolé vu ton travail de recherche d'image mais je crains qu'il ne faille trouver autre chose :/

Si tu as des questions, le staff est là pour t'aider^^

Bonjour et Bienvenu ^^

Sinon, pour les drogues, comme l'a dit Makyura...Vu le nombre de PJs liés aux plantes : Tenaël notamment, et bientôt l'ambassadrice d'Hynafol qui s'y connait. Et certains autres PJs ayant des "contacts" dans ce genre de milieu, tel que Jaïa : ancienne "dealeuse". Bon, en fait, y'a de quoi trouver

Et après ben euh, tout a été déjà été dit lol.
Je confirme aussi qu'un surnom pris à la place d'un nom est viable. C'est le cas de Tancho "White"...de Pussy "Duchesse" Galore dont tous ignore son prènom de Koneko lol...etc.et y'a sinon la possibilité d'une fantaisie de son parent ou maître s'il est né asservi...tant qu'il a moins de 50 ans, c'est plus facile de le justifier que s'il était plus vieux

Bonjour et bienvenue,

J'adore ton avatar XD.

Nya ton perso à l'ai trop cool et so badass *_*
Sur qu'il s'en tendrait bien avec Tampopo en plus héhéhé

Welcome en tout cas.

Même si ma fiche est en cours de validité, j'espère ne pas faire de boulette, mais j'te souhaite quand même la bienvenue ♥
Parce que c'est plus fort que moi et que tu me suis encore dans une aventure folle sur forum x)

Courage pour la fiche ♥

WAHO ça c'est de l'accueil qui en jette !

Merci Yami, Nailah et Master pour les informations, cela fait plaisir de voir un staff et des membres à l'écoute comme ça Je comprends que ce soit impossible vue la rareté. C'est effectivement dommage vu que les images étaient liées, mais tant pis o/ ! Je pose la question au cas où, on ne sait jamais hein éè Je voulais demander ceci : est-ce possible que, lorsque l'interdiction sera levée, rendre la transformation possible ? Ou bien il doit automatiquement le savoir dès son enfance/adolescence ? Je proposais en fait que cette découverte de don actuellement interdit se fasse dans l'évolution du personnage. Mais dites-moi si ce n'est pas possible, mon idée est un peu/beaucoup bancale !

Shang : Merci ! J'adore l'artiste qui a fait l'image, et je crédite l'ava Ahmes *le montre du doigt* Gentil petit inexistant princier :troll: *le poupoute*

Tampopo : Merci ! Et j'adhère la phrase dans la signature xD Ils vont bien s'entendre, lel

Ahmes : tu sais bien que le mot "folie" m'a toujours attiré comme un papillon par la lumière du lampadaire *sors* Merci *^* *câlinou et poupoutage*

Alors, master confirmera mes dires après mais voilà comment ça se passe pour moi.

-Les pouvoirs ainokos se manifestent généralement à l'enfance ou l'adolescence. Il arrive en de rares cas que des pouvoirs se manifestent sur le tard, suite à un évènement déclencheur quelconque.

-On accepte des ainokos avec un pouvoir latent, il suffit de le préciser dans la fiche. En revanche, tous les pouvoirs, même latents doivent être défini à la création du personnage selon les interdictions en cours.

-Le staff ayant déjà plusieurs choses à gérer (et étant composé de très grosses feignasses XD), nous ne pouvons pas commencer à faire un système dit de "réservation de pouvoir", c'est défini dès le début.

-Les joueurs ayant ces dons n'ayant visiblement pas l'envie de quitter le forum de sitôt, tu risquerais d'attendre loooooongtemps ><

Voilà, désolé pour ton idée car je suppose qu'elle comptait une bonne partie de la construction du perso mais il faut se rabattre sur autre chose je le crains :/

Arf, tant pis, je comprends bien le soucis, c'est dommage ! En effet ça comptait pas mal mais je retomberais sur mes pattes. Merci de ton aide Du coup, j'ai une autre idée de don, je préfère demander voir si ça irait : liaison animale. Un peu comme la boussole d'or, ou un livre de SF que je connais "Druides", ou encore Eragon, j'avais comme idée celle-ci : Eclipse peut se lier à un animal un seul, et juste les loups, lorsqu'il se lie, c'est à vie. Il serait donc lié à un loup de la toundra, mais avec tous ses inconvénients bien sûr. Serait-ce possible comme don psychique ? éè

Vu la nature des pouvoirs ainokos (qui ne sont pas magiques), ce qui s'en approche le plus serait un pouvoir de télépathie, un contrôle mental qui ne fonctionnerait que sur les loups. Un "lien à vie" je ne crois pas, mais la capacité de se faire obéir des loups est déjà amusante ^^

Nickel, je vais faire avec cela dans ce cas Je vais écrire tout cela, avec inconvénients et conséquences, merci beaucoup Nailah !

Excusez-moi du double-post, mais c'est pour dire que j'ai fini ma fiche éè Elle n'est guère reluisante due à la fatigue @@ Bonne lecture malgré tout !

Je te dis bravo pour cette fin de fiche \o/

Et j'en profite pour demander des infos aux gentils modos sur ton premier don, par rapport à l'interaction du don avec les ainokos loups (si interaction il y a)

Edit : merci 'driss-chan ><
J'suis bête parfois ....

Si tu avais lut tout Mymy tu aurais vus la petit nota béne qu'il a noter a la fin de son explication

joli perso j'aime beaucoup

Hum...
Il y a bien des petites choses à corriger je le crains ^^'

Citation :

Sa mère était prêtresse d’Arano, une Ainoko de loup de la toundra, tout comme lui. Son maître l’avait engagé lui tout le long d’une affaire sensible, il avait alors fait connaissance avec cette Ainoko, qui se nommait à cette époque Calinkuna. Elle était asservie, elle lui a toujours caché la hauteur de son crime l’ayant déchue de ses fonctions.

J'avoue que la tournure de la phrase fait que j'ai dû la lire plusieurs fois, et je suis pas toujours certaine d'avoir compris ^^'
Mais de ce que je lis :
▬ Maman de Eclipse : Prêtresse d'Arano qui était asservie ?
▬ Papa de Eclipse : Ainoko asservi qui a rencontré la future maman en suivant son maître.

Alors, la maman ne pouvait pas être prêtresse ET asservie en tout cas. Ancienne prêtresse, oui. Et au mieux, selon son crime, on lui aurait permis de garder un statut de Prêtresse-Servante. Mais on ne peut être prêtre/prêtresse et asservi. Donc, j'avoue que je suis un peu incertaine de ma compréhension de ce passage (ok, clairement, je suis dans le flou oO)
Ensuite, et là non plus cela ne passe pas c'est ce passage :

Citation :

A vrai dire, lui-même avait une histoire semblable. Il était soldat durant la guerre, il avait vu et participé aux batailles de Xuan Lîn et Gargobergo, qu’il raconta aussi à Inu. Les batailles, les chimères, et la démission de son poste, pour mieux devenir prêtre de Kage. Il en devint même le grand prêtre, par la force de ses poings et par l’expérience du terrain, puis il partit tel un fuyard et devint mercenaire.

De un, Gargobergo et Xuan Lin ont eu lieu a trés peu de temps d'écart. Si on compte le temps de soigner les blessures, le fait qu'ils ont été rapatrié pour les survivants et contraint à ne jamais révéler la vérité. Il est impossible d'avoir fait les deux batailles. L'une, ou l'autre. Mais pas les deux.
Ensuite, deux choses. De un, on leur a bien fait comprendre que s'ils parlaient de la Chimère à quiconque, on les ferait éliminer. Eux et ceux à qui ils en parleraient. Les survivants ont longtemps été suivit/espionné tant par les Kakon et Hikyaku (dont seul une poignée de personne savent la vraie fonction pour cette famille)...sans parler de d'autres extérieurs. Ensuite, en devenant Grand-Prêtre de Kage, le père aurait eut le message divin sur la Chimère dans son intégralité. Comment on doit s'y prendre, la force et la vaillance, l'objectif et le côté sacré. En tant que Grand-Prêtre, il aurait reçu toutes les portes de ce secret naturellement, en même temps que son Don Divin. Et même une fois qu'il aurait "rendu" son titre : il n'aurait jamais put en parler. Car il connait la valeur et la portée de ce secret...ce secret des dieux eux-même.

Ensuite, autre passage je le crains :

Citation :

Calinkuna était une bâtarde Kaijuu, conception de quelques nuits entre Honoka Kaijuu et sa mère louve de la toundra, ce qui faisait de son propre fils un bâtard Kaijuu.

Euuuuh....De un, Honoka Kaijuu est une femme hein. Donc euh....Honoka et une ainoko louve = un enfant ? oO Mais mais...euh...deux femmes ? Un enfant ? Oo En plus, pour ce genre d'affiliation : Honoka est-elle au courant ? ^^'

En fait, pour le coup, je pige plus du tout.
Inu c'est le fils d'une louve Toundra, Calinkuna, et d'un homme devenu mercenaire et ancien Grand-Prêtre de Kage ? C'est ça ? Alors, comment la prêtrise d'Arano c'est greffé sur Calinkuna si elle était native asservie d'ailleurs ? @_@
Bref, je suis larguée...

Merci de corrigé tout ça de façon à ce que je puisse comprendre car là...c'est formulé ben euh...je suis toute embrouillée @_@

Bonjour, merci d'avoir veillé à la correction de ma fiche ~ Et merci Idriss et Miyu !

Alors, j'ai reformulé, car je n'avais absolument pas l'intention de faire une prêtresse asservie, ni même de mettre Honoka Kaijuu comme papa. On sait tous qu'elle est super forte, mais ne rendons pas Chuck Norris jaloux quand même ! A vrai dire, ce dernier point, mon word aime visiblement les miracles pour ne pas avoir mis "le père d'" juste avant.

De plus, j'avais précisé à la suite du premier passage que tu cites ceci :

Eclipse a écrit:

Elle était asservie, elle lui a toujours caché la hauteur de son crime l’ayant déchue de ses fonctions.

Néanmoins, pour plus de compréhension, j'ai changé le passage en question pour qu'il soit visiblement, plus clair, puisque tu as eu du mal à comprendre. De même que j'ai enlevé l'explication de la chimère, j'ai seulement mis la bataille de Gargobergo, j'ai rajouté ce que tu m'as dit, bref.  Tout est dans la citation ci-dessous :

Eclipse a écrit:

Sa mère, se nommant Calinkuna, était une ancienne prêtresse d'Arano. Elle était Ainoko loup de la toundra, tout comme le père d'Inu. Elle était asservie, elle lui a toujours caché la hauteur de son crime l’ayant déchue de ses fonctions. Mercenaire, le géniteur d'Inu fut engager par le maître de Calinkuna, le long d'une affaire sensible, et c'est ainsi qu'ils se sont rencontré. A vrai dire, lui-même possédait une histoire semblable. Il était soldat durant la guerre, il avait vu et participé à la bataille de Gargobergo, qu’il raconta aussi à Inu. Les batailles, et la démission de son poste, pour mieux devenir prêtre de Kage. Il en devint même le grand prêtre, par la force de ses poings et par l’expérience du terrain, puis il partit tel un fuyard et devint mercenaire. Mais il ne lui disait pas tout, il n'a jamais prononcé le mot "chimère", jamais raconté ce qu'il a vu de ses propres yeux vus, jamais ce que Kage lui a montré : Inu avait décelé de la peur dans son regard.

J'ai changé l'erreur de mon word que je n'avais pas décelé à la relecture, j'ai mis le père d'Honoka Kaijuu, comme j'en avais convenu avec la joueuse en mp, donc oui, elle est au courant ^^ (j'aime bien mettre les gens au courant d'un demi-neveu en fait ; ça paraît peu optionnel) Et voilà, je pense avoir éclairé les zones d'ombre. ^^

J'avoue que là, ça faisait sacré miracle XD
Mais en effet, parfois, le copier-coller de word fait sauter des mots ^^' On l'avait constaté avec Nailah...Quant on copiait-collait le contexte du forum et même pour nos rps ^^'

En tout cas, j'y vois beaucoup plus clair ! Grand merci.
J'avoue que je m'étais perdu à un moment dans les liens familiaux, et là, c'est tout OK
Aussi :

Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. De plus, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. Les langues que parlent ton personnage, tes autres comptes si tu en as, tes périodes d'absence, l'âge et autres petites informations utiles rapidement aux joueurs, et qui concernent ton personnage !
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup ...

Sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci.
Nous avons aussi les Dépôts de Missives pour les rps de type "épistolaires". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage ^^
A noter que les modèles proposés de codage ne sont pas obligatoires, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.

Le staff te souhaite la bienvenue!

Merci beaucoup Master ! Et effectivement je vois le genre... Word est un sacré coquinou hoho cette expression du XVIe siècle Bref, merci bien !

Tu es validééé, félicitation ♥
Tu sais ou je t'attends, avec Ai-nounet ♥