Hebi Sachiko

Informations

▬ Année de Naissance : An 21, 29 ans. ▬ Genre : ♀ ▬ Race : Hybride de Mamba Noir

▬ Statut : Libre ▬ Métier : Travaille pour l'apothicairerie familiale

▬ Don(s) : Salive Venimeuse : Le premier don de Sachiko est un don classique chez les Hebi. Elle est capable de cracher ou de produire du poison par la bouche. Ce dernier est évidemment utilisé dans la création des produits pharmaceutiques de la boutique. Il provient essentiellement de ses crocs, alors elle pourrait réussir à empoisonner par morsure, mais c'est tout. Même si sa salive empoisonnée vous touche, elle ne pénètrera pas votre système bien qu'elle puisse vous irriter désagréablement la peau. Peau empoisonnée : Le deuxième pouvoir de Sachiko est un peu plus effrayant. Celle-ci a en effet la capacité d'empoisonner par simple contact. Le venin est alors dégagé par tous les pores de sa peau,  particulièrement virulent il peut conduire à la mort par asphyxie ou crise-cardiaque pour les plus faibles. Maintenant, un contact prolongé avec Sachiko (au minimum une poignée de main) est nécessaire pour que l'empoisonnement se réalise ! Ce n'est donc pas un don spécialement utile en cas de combats. De plus, Sachiko ne possède pas des réserves de venin infinies : Les glandes venimeuses qui parcourent son corps ne dégagent -à la journée-qu'une quantité définie de poison.

Psychologie & Physionomie

Susurre et Murmures sont tes amis.

On se perd facilement au coin d'une paire de lèvres. On donne toujours raison aux bouches mielleuses, charnues, d'un goût sucré et d'un beau rose foncé. Sachiko a toujours considéré les femmes supérieures aux hommes et ceux de par bien des côtés. Elle considère le sexe féminin comme le plus abouti et le plus réussi. Dans le règne animal, il n'y a pas une espèce qui a su prouver à ses yeux que les mâles valaient tout autant que les femelles. Elle ne compte pas dans la balance les asexués. On l'aura compris, la belle héritière Hebi est une grande sexiste, on peut même la dire « raciste ». Elle hait les hommes et il lui a fallu plusieurs années pour réussir à sourire et murmurer des mots doux, serrer la main d'un client sans un frisson de révulsion. Heureusement, l'ainoko a toujours été une ambitieuse. Sa volonté de diriger le clan Hebi battant le dégout, Sachiko apprit comme tout bon commerçant à réprimer ses émotions. Son aversion est toujours présente, mais cachée, dissimulée et enfouie, pour ne pas dire tapie dans un des recoins rocailleux de son cœur de pierre. Et, à moins d'avoir eu la malchance de croiser Sachiko lorsqu'elle n'était qu'une enfant de dix ans, vous ne vous douterez jamais que celle-ci existe ! Car s'il y a bien une chose pour laquelle la plantureuse femme aux cheveux couleur fleurs de cerisier ou bonbons colorés est douée, c'est la comédie. Sachiko ne fait que sourire. Ses paroles sont toujours les plus délicates qui soient et il ne viendrait à l'idée d'aucun de la critiquer ou d'oser lui crier après tant son visage avenant transpire de bonté. Elle semble si gentille, si polie, un vrai petit ange !! Elle arrive même à berner ses confrères avec sa grimace éblouissante et ses grands yeux mauves, prunelles d'un violet hypnotisant. Mais, vous l'aurez compris, la vérité c'est que Sachiko est un monstre d'hypocrisie.

Être diplomate est la clé de la réussite.
Roi est le client !

Sachiko est une forte tête. Les crédules donnent à sa silhouette frêle au teint si pâle une image de poupée de porcelaine et c'est un vrai tort, car derrière la vraisemblable faiblesse se cache un roc. Sachiko n'en démord pas facilement, elle ne change pas d'avis à tout bout de champ et prend très à cœur ses idéaux. Elle est capable de faire tuer ou torturer si nécessaire et sa tendresse n'est là que pour cacher l'aridité quasi désertique de son cœur. Maintenant, Sachiko est intelligente. C'est une personne calme, qui ne s'énerve que trop rarement. En clair, c'est une excellente manipulatrice. Ce qu'elle cherche : Toujours le mieux pour elle comme pour le clan et cela indépendamment des conséquences ou des méthodes à employer. De cette façon, elle est tout à fait prêtre à ravaler sa fierté. S'il faut baiser les pieds d'un autre pour obtenir de quoi voler plus haut, Sachiko le fera, elle est à ce point opportuniste. À quoi bon jouer les orgueilleux si le résultat est médiocre ? Sachiko préfère se plier à l'avis de son prochain pour peu que cela ne desserve pas son clan. Quand on veut être bon en business il faut savoir céder la main. Ça marche comme ça les affaires. Être le perdant n'est pas forcément une erreur. Ce n'est pas un métier facile le service ! Les clients sont exigeants et des fois on est pas mieux traité que les asservi. Néanmoins, si tel est le prix à payer pour que ceux-ci se droguent, deviennent des "addict" et commencent à déverser tout leur argent dans votre coffre; eh bien soit, n'est-ce pas minime ?

Profit étant le maître mot, se faire réfléchi n'est pas une option !

Si on n'est pas capable de réfléchir posément on ne peut pas devenir chef de clan. C'est ce que Sachiko s'est osée à exprimer à haute voix une fois. À Yurika, elle ne trouve aucune qualité. Entre les deux sœurs, la situation est explosive. Une féroce jalousie s'est installée, même si Sachiko refuse strictement de reconnaître qu'elle admire sa cadette, qui a su se dresser de manière si prompte au milieu de toutes les critiques. Elle, la favorite, se sent menacée par Yurika et sa féroce envie de progresser. Cela l'aide toutefois à se concentrer sur ses propres objectifs : faire de l'argent et protéger le clan. Ce sont les seuls rêves de Sachiko, elle ne s'en autorise pas d'autres, n'en aura jamais d'autres. L'amour ? Chimère, elle ne veut pas d'homme même s'il lui faudra se marier un jour. L'amitié ? Ça n'existe pas, l'hypocrisie est la seule réalité. C'est ce qu'elle se répète tous les jours afin de ne pas céder à la pitié ou la compassion. Sachiko aime se croire dépourvue de faiblesses, elle rejette constamment le moindre de ses défauts. Son utopie ? Devenir une ainoko de fer qui ne réagit que par logique.

Être conscient de tes faiblesses te sauvera.

Ashiya. Voilà ce qui résume en un mot le problème pour Sachiko. Ashiya est l'asservi qui la sert depuis l'enfance. Les deux ont grandi ensemble et sont rapidement devenus inséparables. Avec Ashiya, Sachiko n'est pas la femme polie, c'est la gamine capricieuse, l'enfant imbue d'elle-même. C'est l'adolescente qui pleure, rage et jalouse. Avec Ashiya, Sachiko se sent libre de faire confiance et de confier ses secrets. Il est son esclave et son confident, son plus fidèle allié. Elle éprouve à son égard une malsaine affection que connaît parfaitement le reste du clan. Il est son plus grand soutien et parallèlement son entrave la plus imposante. Ashiya insinue sans le vouloir le doute dans l'esprit des anciens. Est-ce qu'une personne aussi attachée à un simple esclave peut faire un bon chef ? Si Sachiko l'affirme, les autres sont sceptiques. En vérité, il aurait mieux valu qu'elle se sépare de son brun de garde du corps, c'est un fait. Le souci c'est que Sachiko, du haut de son petit mètre 60, en est tout bonnement incapable ! Alors pour convaincre les esprits, elle rappelle à tu-tête qu'il n'est qu'un objet. Et c'est vrai, à ses yeux il n'est qu'un objet, mais un objet précieux.

Nous prions chaque jour les divinités de Migoto,
Taisha et Igaku en particulier, sont nos alliés.

Le corps délié, des jambes galbes pour des hanches plutôt fortes et une poitrine imposante, Sachiko est une ainoko à la silhouette dense. Elle a de longs cheveux et de grands yeux, une peau de neige et un nez droit. Les anciens de la famille complimentent toujours sa beauté et ses rondeurs qui font d'elle une femelle apte à porter plusieurs enfants, ainsi qu'un bon parti à marier. De son côté, Sachiko aurait préféré être plus mince et plus grande. Elle se trouve un peu tassée, un avis que partage Yurika du haut de son mètre 75, mais pas son père à son plaisir. Elle aime prendre soin d'elle et n'hésite pas à affirmer son corps, chassant ses complexes pour ne se focaliser que sur ses qualités. La déesse Taisha, créatrice de tous les ainokos, l'aura voulue plus « humaine » qu'hybride d'apparence. Elle ne possède donc pas d'écailles sur le corps bien qu'elle mue normalement. (Son épiderme étant "humain" la mue de Sachiko est courte, mais se produit plus souvent dans l'année. La peau se met alors à peler comme lorsqu'on a un vilain coup de soleil.) En revanche, sa langue est fourchue, effilée et noire à l'image de son espèce : le mamba noir. Enfin comme tout Ainoko qui se respecte, Sachiko se rend régulièrement aux temples pour prier les déesses Taisha et Igaku qui sont les favorites au sein de la famille Hebi. Elle les respecte grandement et tente de suivre du mieux possible leurs enseignements. Sachiko cache également une forte attirance pour le culte de Kyouki. Elle ne comprend pas ce qui lui plaît tant chez la déesse des « plaisirs » et essaie de rejeter sans succès l'appel que celle-ci exerce sur elle. Cela n'est peut-être pas sans rapport avec l'aversion qu'elle voue au genre masculin...

Biographie

Sachiko réajusta son long manteau noir sur ses épaules. Dehors, il pleuvait à cordes drues. Comme souvent à l'approche du mois d'Arano, Seisui nourrissait la terre de ses eaux. Sous peu, les plantes s'éveilleraient et la terre reprendrait une odeur de fleurs et de plantes fraiches. Les animaux se réjouiraient et, avec la chaleur, les reptiles sortiraient de leurs tanières, ce qui signifiait un accroissement important du travail des Hebi ainsi que la reprise des affaires. L'Ainoko glissa sa main le long d'une porte en bois de pin humide et tapa. Des pas se firent entendre, glissants et bientôt, derrière le parapet d'entrée, le familier visage de Misaki se dessina. La couleuvre à corps humain mais tête de serpent lui céda le passage d'un mouvement, ses grands yeux jaunes souriants pour elle. Misaki était la troisième sœur de son père et une de celles qui lui était le plus proche en âge. Les deux femmes s'entendaient très bien. Sachiko appréciait particulièrement le désopilant humour de sa tante. « Que veux-tu, j'ai la langue fourchue » plaisantait-elle souvent en se moquant d'un vieux dicton populaire que lui avait enseigné son asservi, Esteban. Et, c'était vrai qu'elle avait la langue fourchue ! Dans tous les sens du terme. Sachiko lui adressa une moue complice et pénétra dans l'herboristerie d'un pas fluide, trempant au passage le sol boisé de la petite boutique. Misaki siffla Esteban et le colosse brun, dans un geste expert qu'avait forgé l'habitude, vint aider l'invité de sa maîtresse à se sécher. Le pauvre avait les mains gelées et irritées à force de nettoyer le palier d'entrée, mais malheureusement pour lui, Sachiko comme Misaki considéraient que c'était là un mal bien moindre.

-Qu'esst-ce qui t'amène ici très chère nièce ? -lâcha Misaki, intriguée.-

Sachiko donna sa veste à l'esclave sans attendre, pressée de se débarrasser de ce fardeau de soie imbibé d'eau. Au moins le tissu avait eu le mérite de la conserver au chaud et au sec. Elle n'aurait pas aimé tremper ses vêtements, d'autant plus que la robe-kimono qu'elle portait actuellement était un cadeau de son père. La richesse ne manquait pas aux Hebi, mais les marques d'affection familiales avaient depuis longtemps disparu. Les anniversaires étaient bien sûr fêtés avec ferveur autour de grands repas et par de nombreuses prières ou offrandes adressées aux déesses du foyer et de la fertilité, Motenashi et Igaku, cependant les présents n'étaient jamais de la partie. "Le meilleur moyen d'enseigner aux jeunes la valeur de l'argent" avaient affirmé ses grands-parents. Soit, elle ferait bon usage de leur conseil le jour où elle deviendrait mère. Sachiko souffla sur le bout de ses phalanges pour se réchauffer. La poussiéreuse pièce était pleine à craquer de bocaux remplies d'herbes médicinales et plantes rarissimes que l'on ne pouvait trouver qu'à l'étranger -au coeur des huit nations- ou encore dans les coins reculés de Mimori. Les obtenir était donc un vrai calvaire, heureusement les Hebi avaient de bonnes connexions et les Tenshi n'hésitaient pas à les fournir en produits si cela avait un intérêt scientifique, ou autrement dit pour but de faire avancer la recherche. Misaki avait également deux-trois contacts parmi les commerçants du port. Fascinée par l'aspect de certaines feuilles oranges et bleues et bercée par la forte odeur de tomates et d'épices qui régnait Sachiko en oublia presque de répondre à sa tante.

-Sssachiko ? -réitéra-t-elle.

-Je préfèrerais parler dans l'arrière-pièce. -précisa brusquement Sachiko.-

Misaki ravala sa langue fourchue et fit signe à Esteban de garder la pièce principale.

-Sssuis-moi.

La couleuvre retourna au comptoir de son herboristerie. Elle indiqua ensuite à Sachiko de la rejoindre derrière, puis fit rouler le pan de mur à qui elles faisaient dos sur le côté. Le système était le même que celui des portes en papier de riz. Le battant céda le passage à un couloir sombre qui menait sans doute au sous-sol, là où se tenait la chambre personnelle de Misaki. Celle-ci sans mari et sans enfants avait préféré s'installer en solitaire. Elle prétextait devoir veiller sur l'herboristerie au cas où quelques crèves la faim viendraient vandaliser l'échoppe, cependant Sachiko savait qu'en vérité elle détestait sa mère, Maria. Comment-ne pas la comprendre ? Le regard de Sachiko se posa involontairement sur le bras manquant de Misaki. Du beau membre de chaire et d'écailles olives ne restait qu'un reste de moignon noirâtre résultat d'une confrontation directe avec le don de sa chère génitrice. La douleur avait du être effroyable. Une vague de sueur parcourue Sachiko. Cette sorcière... Le boyau sombre s'étendait sur plusieurs mètres éclairées par ci et là à l'aide de petites torches enflammées dont les lueurs formaient un étrange jeu d'ombres fantomatiques. Le sol était pavé, mais les murs, eux, terreux. Sachiko ne pouvait s'empêcher de se demander à chaque visite si Misaki n'avait pas peur que tout s'effondre. Elle atteignait toutefois toujours la tanière de sa tante avant d'avoir pu formuler la question.

-Désolée je n'ai pas fait le ménage.

Misaki tira la seule chaise du petit bureau qui occupait la pièce circulaire et partit faire chauffer une tasse de thé vert, le préféré de Sachiko. Elle ajouterait discrètement beaucoup de sucre comme à l'habitude. Sa nièce avait tendance à prétendre aimait ça amer, mais c'était des balivernes. Elle n'était pas dupe.

-Ce n'est rien. -affirma Sachiko.- Je reviens de notre deuxième apothicairerie, celle près du complexe hospitalier, à Anjuu.


Misaki lui jeta un coup d'oeil. Elle eut un sifflement dédaigneux. Sachiko savait qu'elle comprenait parfaitement sur quoi ou plutôt qui, la discussion se porterait. Les Hebi possédaient trois boutiques importantes, l'herboristerie de Misaki, la principale apothicairerie dans le quartier de Torikae et celle près de l'hôpital. Le duplexe familiale était lui situé à Yuufuku, évidemment.

-On n'aurait jamais dû laisser cette grosse truie à la tête de la deuxième boutique. C'est de la folie. -geint Misaki.-

-Tu sais très bien que mère est derrière tout ça, c'est soi-disant pour l'entrainer aux affaires. -Sachiko soupira tout de même.- Et puis, Yurika a le conseiller avec elle...

-Tu ne devrais pas te reposer sur ce crétin, il a beau être mon deuxième frère et se prétendre fidèle à ton père, je suis sûre qu'il rêve de se faire Maria. J'en ai les oreilles qui sifflent.

-Tu n'as pas vraiment d'oreilles, Misaki. -Rappela-t'-elle avec amusement.

-Juusssstement ! Je ne me fais pas berner par ses sornettes de serpent à sonnette.


Aussi loin que Sachiko puisse s'en souvenir, les relations familiales avaient toujours été complexes. Lorsque ses parents s'étaient unis, les Sato étaient la deuxième famille de serpents la plus importante de l'île après celle des Hebi. Le mariage entre Zetsu Hebi, le fils aîné et Maria Sato, la fille aînée, s'imposa donc naturellement. Au début, la nécessité de s'enrichir aidant, les époux avaient travaillé main dans la main ainsi que leurs nombreux frères, sœurs, oncles, tantes et cousins. Cependant, une fois fortune faite, l'harmonie du groupe se brisa. Maria en particulier changea de politique. Elle parvint à s'imposer suffisamment pour voler la place de dirigeant à Zetsu et pour couronner le tout se refusa à procréer davantage. Si cette décision est aujourd'hui toujours désapprouvée, son don de putréfaction est suffisamment effrayant pour maintenir les langues liées. Mais qu'à ne cela tienne, Sachiko était bien déterminée à reprendre la famille en main et elle n'allait pas attendre la mort de Maria pour le faire. Durant toute son enfance, cette dernière s'était montrée agressive envers Sachiko. Zetsu de son côté, la favorisait clairement. Il alla jusqu'à lui offrir un asservi, Ashiya ce qui finit de creuser un ravin infranchissable entre elle et Yurika. Il y eut bien vite trop de différences et de non-dits pour que les deux soeurs puissent s'entendre. Officiellement désormais, ce qui les retient de tous s'entretuer -outre la loi-, c'est leur nombre restreint et la nécessité d'apparaître soudée aux yeux des autres habitants de Migoto. Pour des raisons évidentes la famille se tient donc encore correctement et se serre normalement les coudes en affaire.

-Elle nous espionne. -déclara Sachiko avec rage.-

Misaki haussa un sourcil inexistant.

-Bien sûr, ce n'est pas nouveau, tu ne le savais pas ?

-Non tu ne comprends pas, c'est pire que d'habitude. Elle prépare quelque chose.

-Un sale coup ? Ce ne sera pas le premier.

-Oui, mais cette fois je compte bien lui mettre des bâtons dans les roues et j'aurai besoin de ton aide.

-Tout ce que tu voudras.

Misaki ajouta son moignon de bras.

-Tu sssais à quel point je l'aime.-finit-elle avec ironie.-

Sachiko serra le poing à cette vue. Sa vie avait été pour la majeure partie constituée de mensonges. Cela ne semblait pas prêt de changer, pis ça devenait de plus en plus dur de démêler les nœuds. Un vrai jeu de pouvoir existait au sein de ce petit clan et Sachiko du haut de ses 29 printemps comptait bien en ressortir seule gagnante.

-Parfait, alors. Parce que cette vipère a déjà prévu de nous évincer.

Informations IRL

▬ Pseudo : Lily.
▬ Âge IRL : 21 ans.
▬ Comment avez-vous connu le forum ? : Grâce à mon ami. En tout cas, je l'aime beaucoup et je remercie sincèrement les administrateurs qui ont pris du temps pour me parler et m'aider avec mes idées !! ^^
▬ Code du Règlement : Ok, by Master
▬ Qui a créé les Ainokos ? : Ok, by Master!

Voici pour vous aider à mieux cerner ce qu'est la famille Hebi

Présentation de la Famille Hebi:

Bonjour ^^

Nous en avions discuter ensemble, et l'idée d'une famille qui aspire à devenir une secondaire, sous la "tutelle" officielle des Tenshi me plait beaucoup. Et puis, son côté magouilleur et ses conflits internes la rendent très intéressante.
Avec le complément en spoiler, la biographie est désormais plus complète au final. Et on comprend mieux le cadre dans lequel ta demoiselle a grandit ^^

Dans tous les cas, soit la bienvenue officiellement (et plus par MP seulement lol ) sur Migoto !

Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. Et enfin, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique. Merci d'avance ^^

De plus, sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci. Sache que le modèle proposer de codage n'est pas obligatoire, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mit à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.

Le staff te souhaite la bienvenue!

Je suis trop trop contente !! Merci beaucoup *w* !!!

Fiche Abandonnée

"Tu es parti(e)...Laissant mes pages incomplètes."

Bonjour.

Bien que la fiche soit complète, bien que tu fus validé, nous n'avons pas eut de tes nouvelles lors des relances, et nous avons dû supprimer ton personnage.

Il est certain que ce ne fut pas de gaieté de cœur, sachant qu'autant le staff que tes partenaires de rps te regretterons.

Néanmoins, sache que si tu nous reviens, un Mp de contact au staff nous permettra de ressortir ta fiche de présentation.

Il te restera juste à faire un petit paragraphe inventant la vie de ton personnage, en équivalence de la durée de ton absence parmi nous...

Ceci afin de rejoindre à nouveau les joueurs du forum.  

Cordialement,
Le staff qui espère te revoir.