Particularité physique: Le jeune homme est
un castra, il lui manque donc une partie de son anatomie masculin. Ce qui lui donne un corps souple et fin. Il possède un système pileux peu développer, il n'a donc pas de barbe, de poil sur le torse. En fait il ne possède pas les caractéristique secondaire propre au jeune homme, sa masse musculaire est moins importante , et sa voix reste plus aiguë que la normale. Il ne possède pas non plus de pomme d'Adam apparente.
Il a aussi des yeux vairon,
un bleu et un vert.
Sinon au niveau physique le jeune homme est quelqu'un de beau, tout en courbe et en douceur. Sa peau est pâle et douce, bien entretenue. Il ne possède pas beaucoup de cicatrice, la seul qu'il possède se trouve sur son genoux droit. Et une autre dans sa nuque. Sinon sa peau est douce au toucher, c'est qu'il en prend soin. Son corps est légèrement musclé, un corps former par la danse. Oui il a un joli corps qu'on a envie de briser... Sa peau ne bronze pas facilement, c'est pour cela qu'elle garde sa beaucoup de porcelaine.
Ces cheveux au contraire sont d'une belle couleur ébène, ces cheveux mi long qu'il attache souvent en queue de cheval...
Niveau caractère le jeune homme est quelqu'un de
docile. En fait il a toujours apprit a obéir. Le jeune homme est quelqu'un qui aime faire plaisir. Par contre il est incapable de faire la cuisine, il a le style pour tout faire cramer. Oui ou alors rendre la plus simple des nourriture complétement immangeable. Le jeune homme adore les vêtements féminins, il aime les vêtements qui moule bien son corps, qui bouge autour de lui. Il aime quand il peu bouger souplement , les vêtements en cuir, en soie.. Bref il aime les belles chose, les bijoux , les peintures sur le corps. Le jeune homme est un artiste dans l'âme, castré tout jeune pour gardé sa douce voix, il chante comme un ange. Il danse aussi très bien,mais ce qu'il préfère, c'est dessiner sur le corps des autres, les habillé... Bref il aime rendre les autres beau, il a un faible pour le maquillage également.
Même si le jeune homme est quelqu'un de généreux, d'ouvert, il a aussi une partie plus sombre en lui. Il a un faible pour la douleur, celle qu'il reçoit. La douleur physique lui donne l'impression de vivre, il peu par exemple passer des heures a danser, jusqu’à s'écrouler. Il est un peu maniaque et perfectionniste, il ne supporte pas quand quelque chose ne vas pas. En fait il veut toujours être parfais, servir correctement ces maitres.
Même si il cherche souvent a le caché, le jeune homme a très peur des femmes, il ne supporte pas qu'une dame touche son corps. En fait cela le rend malade et lui donne envie de hurler. Mais il a apprit depuis longtemps a se taire et a laisser a les femmes faire ce qu'elle veulent.
« Ton nom gamine ? »Je lève doucement le regard pour observer l’homme, je ne comprends pas ce qu’il me dit, cette langue semble tellement étrange… Il doit voir que je ne comprends pas puisqu’il reprend en Himerien.
« Ton nom ? »
« Idriss Ad-Dîn »Je réponds d’une voix douce, j’ai une voix légèrement féminine, si douce…
« Ton âge ? »« 14 ans »Je le vois froncez les sourcils, alors qu’il se tourne et me fait aller dans un coin, ou se trouve deux autre jeune d’à peu près mon âge. Dans la foule je cherche ma mère, je sais qu’elle a fait le trajet avec les femmes. Je ne sais combien de temps j’ai attendus, mais au bout d’un moment, une belle hybrides est arrivée. Elle est venue me lever le menton, elle m’a regardé en silence, alors que je tremblais comme une feuille, mais je n’ai pas fuis. L’ainoko a souris avant de s’éloigner...
Je me suis ensuite retrouver dans un étrange endroit, ou se trouvait pas mal de jeune… C’est là qu’a commencé ma nouvelle vie, ma nouvelle formation. Il y eu d’abords l’inspection physique, la personne qui m’ausculta fronça doucement les sourcils.
« Depuis combien de temps ? »« J’ai été castré à onze ans Monsieur. »Je me souviens encore de ce moment, de cette douleur. J’étais encore si jeune mais le sultan et sa favorite n’ont pas voulu que je perde ma voix. J’ai toujours eu une voix d’ange, il faut le dire j’ai été éduqué pour cela. J’ai toujours reçut une formation artistique assez poussée… J’étais un esclave de distraction, on m’a appris à danser, à chanter, à maquiller mes maitresses. J’étais un esclave de Harem, je devais m’occuper des femmes, mais surtout de la favorite.
La favorite était une femme violente, une femme qui prenait plaisir à me torturer, comme si elle passait ces nerfs sur moi, plus d’une fois elle m’a frappé, ou fait couler de la cire chaude sur le corps. J’ai été heureux de la quitté, même si ce nouveau monde me faisait peur.
« Tu as des problèmes à cause du manque de magie ? »« Non monsieur, j’ai toujours vécut sans magie. »C’est vrai que l’absence de magie me fait un peu étrange c’est comme si on avait enlevé une nouvelle partie de moi, cela m’a fait aussi mal que l’ablation de mes bourses, mais je peux le supporter, mais à présent qu’il m’en parle. Je comprends un peu mieux pourquoi certain humain semblait complétement perdus, et pleurait comme des enfants. Tiens d’ailleurs je n’ai pas encore pleuré moi.
Une année passa et j’appris à mieux maitriser la langue de l’île, je suis assez doué en langue. J’aime tellement apprendre de nouvelle langue, cela me permet d’apprendre de nouveau de chant. J’aime beaucoup cette vie qui est la mienne, les ainoko sont sévère mais juste, j’apprends beaucoup de chose... J’adore le fait qu’on m’apprenne à prendre soin. J’apprends le maquillage, l’habillement. J’apprends même à coudre…
Une année sans avoir de nouvelle de ma mère, pourtant je me souviendrais toujours de cette journée ou l’un de mes instructeurs viens me chercher pour me conduire près d’une femme, elle se trouvait dans un petite chambre d’un hospice.. Un mouroir, son visage était couvert de sueur, elle était couverte de blessure.
« Voilà ce qui arrive quand un humain n’obéis pas. »Je ne comprends pas pourquoi il me montre cela parce que moi j’obéis toujours à ce que l’on me dit, mais la femme poussa un gémissement et prononça mon nom… C’est à cet instant que je la reconnus et que je suis tombée à ces coté et que je lui ai pris la main. Ma mère, ma mère qui avait été si belle, je peinais encore à la reconnaitre, à reconnaitre son visage sous ces cheveux court…
« Maman. »La femme ouvrit les yeux et un sourire apparus sur son visage. Je me souviens de sa beauté, celle-là même qui a séduit le sultan qui nous a réduits en esclavage. Ma mère était une Himérienne tombée amoureuse d’un nomade du désert. Je me souviens des quelque première année de ma vie, celle que j’ai passé dans le désert, j’ai appris à cette époque à monter à cheval, a prendre soin de ces animaux. Ma mère était heureuse et pleine de vie, jusqu’à ce que notre clan se retrouve pris dans une querelle, et réduit en esclavage. Ma mère belle comme le jour fut prise pour le harem du sultan et moi comme esclave des femmes... La vie étais difficile, mais douce à la fois, je n’ai jamais souffert de la faim, du froid… Si j’ai souffert je taisait mes souffrance à ma mère pour ne pas l’inquiéter… Jamais je ne lui ai dit que la maitresse touchait mon corps, et riait de ma peur… Jamais je ne lui ai dit que c’est elle qui a demander ma castration, qu’elle y avait assisté, jamais je ne lui ai parler du dégout que la maitresse m’inspirait…
« Pardon. »Sa voix me tire de mes souvenirs, alors que je lui souris. Oui nous avons été envoie sur l’ile à cause d’un faute qu’elle a commise en étant trop vielle. Le sultan, notre maitre est mort alors qu’il culbutait une de ces femmes… Et c’est son premier fils qui reprit le harem, se débarrassant des personnes qui le dérangeait.. Entre autre moi et ma mère…
« Ce n’est rien Maman, tu peux te reposer je vais bien. J’apprends beaucoup de chose. Et puis il n’y a rien à pardonner. »Je sentis sa main se relâcher dans la mienne, elle venait de pousser son dernier souffle… Etrangement je n’ai pas pleurer, je suis juste rester immobile pendant de longue heure, sa main dans la mienne.. Jusqu’à ce que l’instructeur ne vienne me redressé…Pendant plusieurs mois je suis resté muet. Je continuais à bouger mais j’étais mort à l’intérieur…
J’aurais pu rester ainsi, mais je me repris surtout grâce à une jeune blond, un esclave comme moi, bien plus rebelles et fonceur. Je me reprit, continuant à apprendre… Le temps passa et je parvins à mes dix-huit ans, j’avais appris à m’occuper du corps des ainoko.. Je l’avoue ma nature profonde me poussait plus vers les hommes, et pourtant on m’apprit aussi comment satisfaire les femmes...
Une nouvelle année s’écoule, et a présent je suis prêts à être vendus, dans quelque jours je vais passer aux enchères, j’espère juste que j’aurais un maitre bon…