Yasunaga Minami

Informations

▬ Année de Naissance : An 19 (31 ans) ▬ Genre : ♀ ▬ Race : Diamant de Gould

▬ Statut : Asservie ▬ Métier : Esclave de luxe, tête à claque.

▬ Don(s) : Le monde de couleurs : Un pouvoir de classification Lumière, elle peut modifier la lumière ambiante pour créer des lueurs colorées et joyeuses. Ça ne sert à rien à part assurer le spectacle. Valse avec la matière : De classification télékinésie, son pouvoir lui permet simplement de déplacer la matière à la base. La beauté de ce don réside dans sa manière d'en faire usage. Elle aime particulièrement l'utiliser pour faire danser des fleurs ou des perles autour d'elle quand elle "se donne en spectacle".

Psychologie & Physionomie

La première chose que l’on pourrait dire d’elle est que c’est une précieuse. Madame appartenait à la haute société et digère très mal la chute vertigineuse que sa famille lui a infligé.
D’ailleurs elle n’estime pas être une esclave, mais plutôt une “bonne compagnie” à avoir près de soi.
N’envisagez pas la moindre seconde de la faire dormir dans un taudis ou de lui faire faire une quelconque tâche ménagère, la demoiselle ne se laisserait absolument pas faire et ne se gênerait pas le moins du monde pour faire aller de son nez et vous rappeler à quel point elle est belle, gracieuse et douée pour converser, plaire ou tisser des étoffes.
Lui demander de servir le thé serait une des seules tâches acceptable à ses yeux, car selon elle, cela ne consiste pas en une corvée. Yasunaga juge que l’art de la cérémonie du thé n’appartient pas à des “pouilleux”, mais à des personnes distinguées, comme elle.
Tant de modestie en elle. N’est-il pas ?

Ayant du mal à rester à sa place d’esclave, elle a tendance à se croire tout permis. Elle ne se gêne pas pour dire ce qu’il lui passe par la tête où pour faire fuir les acheteurs potentiels.
Effectivement, ce joli volatile prend un peu trop la liberté de “choisir” elle-même qui sera son maître.
Elle ne se prive donc pas d’user de fourberies en tout genre pour que ceux qui s'intéressent à elle tourne les talons si elle n’en veut pas.

Mine de rien, jouer la comédie est une de ses spécialités. Yasunaga aime particulièrement se faire remarquer. Que ce soit pour sa beauté, sa grâce, ses caprices, ses capacités artistiques ou bien d’autre encore.
Capacités artistiques, oui, parlons-en.
Aimant tout ce qu’elle juge de beau, elle s’est entichée d’une passion sans vergogne pour certaines formes d’art. L’art du thé fut le premier qu’elle maîtrisa, bien qu’il ne fusse pas des plus visuel, elle l’estime indispensable dans les bonnes conduites et dans la culture de leurs vies à tous.
Elle est également douée avec la flore, aimant s’occuper des jardins, composer des bouquets, des pots pourris et tout ce qui s’y rapporte.
La jeune femme aime beaucoup la comédie, comme dit précédemment elle est devenue une excellente comédienne. Elle adore aussi faire des entrées hautes en couleur et se faire remarquer grâce à son pouvoir et ce, partout où elle va.
Mais l’art qu’elle maîtrise le mieux, sans la moindre hésitation, est celui de confectionner des étoffes particulièrement belles. C’est sans conteste ce qu’elle aime le plus faire, et quand elle s’y attelle, elle laisse parfois voir une femme douce et bien plus agréable.

Elle vous paraît exécrable hein ? Vous devez sans doutes avoir envie de la remettre à sa place, et je vous comprends, elle est loin d’être facile à vivre. Mais si nous grattions un peu tout ça, ne pourrions-nous pas découvrir quelques surprises plus agréables ?

Après tout, personne n’est foncièrement mauvais, l’on n’a, certes, pas que des qualités, mais nous n’avons pas non plus que des défauts, c’est l’antique système du yin et du yang. Yasunaga ne fait pas exception à cette règle.
Comme tout le monde, elle a de bons cotés, ce n’est pas une mauvaise fille dans le fond, le soucis est juste qu’elle ne le montre pas au premier venu et qu’il faut du temps pour apprendre à la connaître et tirer le meilleur d’elle.
Elle peut se montrer douce et aimable, elle peut se montrer attentionnée voir fragile, mais avant de voir ces aspects d’elle, il vous sera obligatoire de vous confronter à la partie visible de son caractère. Il vous faudra l’accepter telle qu’elle est, reconnaître ses valeurs et, surtout, vouloir voir ce qui se cache derrière ce caractère de cochon qu’elle arbore le plus naturellement du monde.


Son physique est, comme elle prend plaisir à le vanter, fort avantageux. Une vraie poupée de luxe qui sait parfaitement bien se mettre en valeur.
Un beau visage bien taillé comme il faut, rehaussé par un maquillage bien dosé et appliqué de manière méthodique. Pas besoin de fond de teint, sa nature animale lui offre une carnation qu'elle estime parfaite, ses lèvres ne sont que faiblement rosées et rehaussées par une sorte de gloss et ses yeux rouges fardés de la même teinte.
Ce visage d’ange est ensuite encadré par une longue chevelure soyeuse et lisse d’une couleur brune frôlant de peu le noir.
Elle mesure 1m75 pour 60kilos, elle est donc plutôt fine et élancée, de toute manière son statut d’esclave ne lui permet pas spécialement d’avoir un poids plus élevé. Elle peut sans doutes déjà s’estimer heureuse de ne pas avoir que la peau sur les os comme bien d’autres sur le marché public.
Niveau vestimentaire, on ne la verra jamais porter autre chose que des kimono faits dans de belles étoffes, c’est juste impensable pour elle. Même son vêtement de nuit ressemble à un kimono de noble, c’est pour dire.

Biographie

Née en l’an 19, cette Diamant de Gould n’a pas connu la guerre, elle fait partie de ceux qui ont toujours connu ce monde tel qu’il est actuellement. Le seule chose qui diffère entre sa vision de ce monde et celle des autres ? Son passé et les conséquences de ce dernier.
Oh pardon, j’ai titillé votre curiosité ? Commençons donc par reposer le décors initial. ~ ♥

La famille Minami, à la base, et ce bien avant la naissance de Yasunaga, n’était rien. Ou du moins pas grand chose d’important. Ils n’étaient que des marchands, parmi tant d’autres, qui tentaient de vivre du mieux qu’ils le pouvaient avec ce qu’ils avaient. A savoir, si peu.
Tout commença avec des poteries, les femmes les plus agiles de cette famille confectionnaient de jolis pots, soignés et précis, avec des décorations en gravure dessus. Mais s’ils en vendaient en bonne quantité, leur prix ne leur permettait pas une vie des plus confortables pour autant.
Il leur fallait trouver mieux, quelque chose qui se vendrait à plus haut prix, qui serait d’avantage prisé sur les marchés, qui attirerait l’oeil. C’est ainsi que l’un des mâles de la famille épousa une fille de tisserand, et demanda à cette dernière d’apprendre les rudiments de cet art aux plus jeunes filles de la famille. Ce qui fut fait, et peu à peu, des étoffes plus belles les unes des autres remplacèrent les poteries de l’étalage marchand de la famille Minami.
Un équilibre fut alors instauré dans la famille, afin que tout le monde y trouve sa place, les femmes apprenaient et tissaient, et les hommes vendaient les étoffes sur le grand marché.

Peu à peu, devant l’engouement que suscitaient leurs tissus, les ambitions de la famille prirent de l’ampleur, et ils commencèrent à viser de plus gros poissons, signant des accords avec plusieurs boutiques pour commercialiser davantage leurs créations. Et cela eut le succès escompté. Beaucoup de nobles se plurent à en faire l’acquisition, certains prirent même directement contact avec les chefs des Minami pour passer des commandes plus particulières et personnalisées.
Ce fut là leur montée en flèche dans la hiérarchie, les ventes marchaient bien et la richesse de ce petit clan se vit croître à une vitesse vertigineuse, tant qu’ils se firent bien vite eux-même une place dans la noblesse.
Comme quoi même un minable peut atteindre les sommets en s’en donnant les moyens.
Ils vécurent ainsi sur leur petit nuage un bon moment, et les générations qui suivirent se virent éduqués comme des enfants de la haute noblesse, perdant peu à peu le sens de l’humilité qu’avaient pourtant les plus anciens.

C’est à cette époque que notre jolie volatile vit le jour, dans le luxe et les manières parfaites. Elle a donc toujours connu cette facette de sa famille et n’a pas eut l’occasion de se familiariser avec l’humilité, ce passé où ils se contentaient de ce que chaque jour consentait à leur donner. Non, à ce jours ils étaient devenus avares et avides d’en avoir plus, toujours plus.
L’enfant, comme toutes les jeunes filles nées dans la famille apprit donc dès son plus jeune âge les rudiments les plus importants aux yeux des siens. L’art floral, l’art du thé, le port des kimono, et bien évidement, le tissage. L’on était rien dans la famille si nous étions une femme incapable de se servir de ses dix doigts dans cet art en particulier.

Les années passèrent, Yasunaga devint un beau joyaux de femme, une Minami telle qu’ils les affectionnaient. Elle était belle, elle était douée, et elle savait s’imposer et se faire respecter. Mais la dure réalité devait bien les rattraper tôt ou tard, et vint un jour où le clan fut contraint de payer son égoïsme et sa cupidité trop accrue.

Leur soif d’argent et de pouvoir les conduirent à faire des erreurs, trop d’erreurs.
La famille de la jeune femme, dans l’ombre du clan lui-même voulut s'intéresser au marché des esclaves, c’était prisé et si on chopait des perles rares, il y avait amplement moyen de se faire d’avantage d’argent.
Sauf que ceux de la famille qui s’aventurèrent sur ce domaine se tournèrent vers les mauvaises personnes, et même si l’offre était on ne peut plus alléchante, il était évident que cela ne pourrait pas fonctionner. Le marché noir des humains inexistant, l’un des pires, et des plus dangereux pour ceux qui s’y aventuraient… Mais aussi celui qui rapportait le plus gros pactole tant ces “esclaves” étaient rares et prisés par certains gros bonnets.
A vouloir voler trop près du soleil, il est évident que l’on finit par s’y brûler les ailes. C’est hélas le sort qui s’abattit sur la famille. Ils furent trahis par leurs contacts et ces quelques individus entraînèrent dans leur chute la famille entière, mettant, au passage, à nu d’autres affaires étouffées par les tête principales de la famille, y comprit de grosses dettes d’argent qui n’étaient pas épurées et qui, réunies, dépassaient de loin la fortune des Minami.
C’est ainsi que tout le clan fut réduit en esclavage pour répondre de cet affront et payer ses dettes.

C’est ainsi que les délicates ailes de Yasunaga se retrouvèrent affublées de chaînes qu’elle ne comprenait pas. Pourquoi se retrouvait-elle mêlée à tout cela ? Qu’avait-elle fait pour mériter un tel châtiment ? Pourquoi devait-elle payer des dettes ne lui appartenant pas, alors qu’elle n’avait rien demandé à personne.
Elle était bien, elle, dans son petit confort, dans son petit luxe et ses bonnes manières. Elle venait d’être promise à un riche et voici que l’on venait briser son petit confort, son petit bonheur.
Il allait de soit qu’elle le vécu fort mal, sa fierté et son ego en prirent un violent coup, et elle n’en devint que plus exécrable encore. Non, elle n’avait rien à payer. Elle n’avait personne à servir. On la servait elle et non l’inverse !

Et la voici donc, aujourd’hui, esclave de haute gamme, mais esclave quand même.  gée de 31 ans, sur le marché depuis environ deux ans, mais sans le moindre maître encore, faute d’un caractère exécrable que son vendeur n’arrivait plus à supporter. Repoussant tous ceux qui s’intéressaient à elle, par le biais de diverses ruses, elle se retrouvait à présent menacée d’être vendue au rabais, telle une moins que rien, si elle ne se montrait pas plus docile. Elle allait devoir courber l’échine devant le premier venu, et cela ne lui plaisait guère. Non, elle, Yasunaga Minami, ne courberait l’échine devant personne. Du moins pas indéfiniment, juste le temps de sauver sa peau sur le marché.
Elle estimait que son futur maître aurait intérêt de lui porter le minimum de respect qu’elle méritait, elle restait fille de noblesse non mais ! Elle n’était pas n’importe qui ! Du moins, c’est ainsi qu’elle voyait les choses, et le retour à la réalité allait faire très mal selon le maître sur lequel elle tomberait.

Informations IRL

▬ Pseudo : Deyuka
▬ Âge IRL : 23 ans
▬ Comment avez-vous connu le forum ? : Une bitch du pseudo de Massya ♥
▬ Code du Règlement : On est là pour s'amuser !
▬ Qui a créé les Ainokos ? : Taisha

Désolée pour le double post, c'est juste pour dire que j'ai terminé ma fiche ! ♥

Gomen pour les pavés QAQ Et j'espère ne pas avoir massacré cette petite perle d'amour haha ! ♥

*va s'asseoir sagement dans un coin*

Bienvenue... J'aime beaucoup ta fiche moi.. Même si ta yasu ne réconciliera pas Idriss avec les femmes XD

Alala...Je ne sais jamais si j'ai envie de lui en mettre une : ou de lui faire un câlin à cette Yasunaga
Une fiche bien sympathique. En plus, on a une logique sur comment des tisserands peuvent avoir été approché en douce pour le marché des Inexistants : Yoirou Inken n'aime pas la concurrence ^^

En tout cas, rien à redire belle damoiselle aux grands caprices

Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. Et enfin, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique. Merci d'avance ^^

De plus, sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci. Sache que le modèle proposer de codage n'est pas obligatoire, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mit à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.

Le staff te souhaite la bienvenue!

Idriss ; Merchii // ... Nan mais Yasu c'est pas un bon exemple hahah ! Elle est trop égocentrique xDD

Kyoku : Ahaaaah, intéressant pour l'info de Yoiru ! Ça pourrait vouloir dire qu'il serait en partie responsable de la chute de Yasu, et peut-être donner un chouette truc en rp si j'ai un jour l'occasion de rp avec ~

Merci pour la validation j'ai hâte de jouer Yasu ! >w< En attendant j'vais remplir les autres parties