Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni
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(#) Sujet: Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Empty21.03.17 23:50
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Kakumei Ankoku

Informations
Année de Naissance : An 02. (48 ans)
Genre : Masculin (♂)
Race : Bélier Bizet.
Statut : Condamné aux Mines à Vie en Fuite. Cela reste une forme d'Asservissement.
Métier : J'étais bon en Analyse et dans le domaine Économique. J'étais un Expert Comptable en fait. Maintenant, je suis "stratège" et Chef des Ashiwa.
Dons :
Immunité Psychique
Les dons de manipulation mentale ou qui permettent de lire les pensées et sentiments ne fonctionnent pas sur moi. Bien sûr, quelqu'un qui viendra à forcer et insister alors que je suis physiquement affaiblit, comprendre blesser et proche de l'inconscience, arrivera légèrement à ses fins. Néanmoins, c'est beaucoup d'acharnement pour des résultats bien maigre. Je n'ai pas de contrôle sur cette aptitude, je l'ai depuis la naissance et elle est constante, passive.
Bouclier Énergétique
Je suis capable de générer, non sans fatigue, une sorte de bouclier. Ce-dernier est une sorte de déflecteur. Il est cependant gourmand en énergie car il puisse directement dans mes forces. Plus la force qu'il doit contenir est importante, plus cela m'épuise. De plus, je ne peux le générer que face à moi, et sa forme est une demi-sphère qui ne protège donc nullement mes arrières. Néanmoins, cela reste un pouvoir utile pour se protéger ou protéger des gens...


Psychologie & Physionomie

Je semble inaccessible ? J’imagine que oui.
J’ai toujours eu de l’ambition, c’est à la fois une qualité et un défaut chez moi. Plus jeune, je me voyais à la tête du Clan. Mais je suis aussi réaliste, enfin en temps normal. Quand j’eu vieillit, j’avais compris que certaines ambitions étaient chimériques. Alors, comme une personne réaliste, je m’étais contenté de ce que j’avais. Mais les êtres vivants changent en fonction de leurs croyances et rencontres. J’ai vécu cette idée, j’ai changé.
J’étais un ainoko comme un autre. Ancré dans notre réalité et quotidien, sans remise en question de notre système ou de nos valeurs. Je suis né et j’ai grandit dans un clan réputé pour être le plus puriste et traditionnaliste des grandes familles de Migoto. Une réputation qui fait autant la force que la faiblesse de la lignée Ankoku lorsque j’y pense.

Mais une rencontre me chamboula. Des observations. Des sentiments qui restèrent non-dits ou suggérés. Alors, j’ai rallumé la flamme de l’ambition. Mais ce n’était plus une flamme d’ambition égocentrique. Non, de brasier arrogant, je me fis chandelle chaleureuse et furtive.
J’ai appris à aimer la discrétion, à apprécier de ne pas attirer les regards tout en captivant par mon silence, mes répliques rares mais « pertinente » selon mes interlocuteurs. Le silence et les arts : je les apprécie ainsi que la simple observation de la nature.
En fait, je suis un homme simple, mais un homme en quête d’un idéal, d’un rêve, d’une chimère. Je cours après une voie incertaine. Je souhaite éviter la violence sauf quant elle devient inévitable. Je suis un ainoko qui aspire à la paix, à la liberté et à l’égalité entre les gens de son peuple. Qu’enfin, notre race soit unie. Qu’elle fasse front commun pour réfléchir à comment gérer son mode de vie, son évolution, et fixe son avenir avec ces autres mondes, ces autres cultures, ce monde au-delà de nos océans.

Je suis donc un homme qui se juge comme quelqu’un qui faute par ambition, mais ne le regrette pas. Je déteste le sentiment de regrets qui m’enserre déjà lorsque je pense à ces occasions manquées, à ce passé perdu. Alors, je me contente d’observer le ciel et de replonger dans mes souvenirs. Jusqu’à ce que l’heure soit venue d’agir, de parler, de manifester.

Physiquement ? J’imagine que « banal » est un terme inexacte. Car il n’existe pas, à mes yeux, un seul hybride qui soit « banal ». Je ressemble fortement à un humain. Mon corps est très humain en soit. Ma principale trace d’hybridation, ce sont mes cornes. J’avoue avoir longtemps craint qu’on ne me les tranche. Comme je suis un « renié » du clan, même si j’en revendique toujours le nom pour les faire enrager, ils auraient put décider de me couper les cornes. Une façon de couper, de façon symbolique, mes liens raciaux.

Ma chevelure est aussi blanche que la laine du Bizet. Un beau blanc. Ils ne sont pas soyeux, mais doux. En fait, c’est un peu ridicule mais ils sont comme un mélange de cheveux et de laine. La sensation peut être étrange mais j’aime ce toucher. En fait, ma pilosité est généralement blanche et de cette sensation de laine. Cela donne à mes avant-bras et mes jambes une allure un peu singulière. La nature est peut-être bien faites, car je n’ai pas de poils et donc de fourrure de laine sur le reste du corps. Pardon ? Non, je n’évoquerais point mon intimité ! Je reste un homme et bien, réservé vous voulez. Hum, reprenons.

Ma peau est comme celle de mon animal totem : sombre presque noir. Un marron foncé que le travail dans les mines n’a nullement atténué. Sans mes cornes, peut-être aurais-je put me faire passer pour un Ramalen ou un Emerald ? Qui sait. En tout cas, cette peau sombre s’accompagne d’un regard bleu-vert, un regard turquoise.
Pour ce qui est de ma carrure…Elle est robuste. Du moins, 10 ans de travaux forcés m’ont forgé. J’étais assez frêle dans le temps, désormais mes muscles sont dessinés, mon corps porte de vieux stigmates de coups de fouets mais surtout, elle permet de voir mes muscles. Ils restent saillants, ce qui me donne parfois l’impression d’être un autre. Enfin, c’est une capacité physique qui me permet de mieux encaisser les coups, et surtout, de mieux gérer les charges et travaux de forces. Ce ne sont pas des « muscles inutiles ». Mais au fond, j’aurais peut-être souhaité ne jamais les avoir. Et qu’en pensera-t-il ? Sinon, je mesure un mètre soixante-douze pour un poids inconnu. Je n’ai pas de système de mesure de poids sous la main pour répondre et la valeur d’il y a 10 ans est désuète.

Enfin, permettez-moi de vous laisser. J’ai du travail, et je ne suis pas avare sur le sujet. Par contre, j’avoue avoir un petit défaut de « rapiat / pingre » ou encore de « gripsou ». Mais disons que mon côté « trésorier » mélangé à celui réaliste me rend très pointilleux sur les dépenses. Mes « proches » aiment en rire et me taquiner…Mais oui, je ronchonne face aux dépenses « inconvenantes » ou « inutiles ». On a tous nos tares non ?


Biographie

Hum ? Il est compliqué de partir de la fin, alors, commençons simple.

Je suis le fils du cousin de Takamori Ankoku. Pour faire simple, mon père était le fils d’un Oncle de notre chef de clan. Plus précisément, je suis le neveu de Shin Ankoku, père de Nessa Ankoku. Jusque-là, vous suivez ? J’imagine que c’est un peu complexe, mais dans l’absolu : j’appartiens donc à la branche principale. De plus, j’étais bien placé pour potentiellement hériter du statut de Chef de Famille s’il arrivait malheur à Takamori.
En dehors de ce point généalogique, il faut savoir que je suis venu au monde deux ans après la fin de la Guerre. Je n’ai pas connu cette époque sombre de la loi du plus fort. Je n’ai perçu qu’un monde évoluant toujours plus vite, et qu’il fallait réussir à suivre. Les avancées de la Science, le développement de nos technologies, l’accroissement de l’économie de l’île avec l’exploitation des criminels dans les Mines, mais surtout l’arrivage du commerce d’Ezer et d’Esclaves Humains.

J’ai étudié au sein de la famille Ankoku. Mon éducation était très spécifique, pointue, et détaillée. On attendait des choses de ma personne. On plaçait des espoirs en moi, et je me sentais assez fier, voir arrogant, à ce sujet. Plus jeune, j’étais même relativement fonceur et impétueux. J’appréciais quand les choses et les gens savaient rester à leur place.
Je devais avoir une vingtaine d’année quand j’ai commencé à me calmer, me poser. Je me suis fait plus observateur de notre société. Mon grand-cousin et chef de famille m’avait confié des responsabilités dans les comptes du Clan. Et il était de ces personnes pointilleuses alors, je ne voulais pas le décevoir. De plus, il y avait aussi Ensui qui brillait par sa maîtrise de l’économie. Il n’avait qu’une dizaine d’année, mais le clan le savait déjà brillant. A cette époque, je me disais que c’est Lui qui serait fait héritier si Takamori continuait à ne pas prendre épouse et avoir une descendance. Au fond, ce n’était pas un mal.  Et cela m’avait permis de me calmer.

Plus serein, je fus plus apprécier au sein du clan. Ma vie tournait autour de notre famille et de ses affaires. Je connaissais peu de choses de la vie des « manants » en quelque sorte. Les esclaves de la demeure, je les traitais avec sympathie pour le travail bien fait et n’avais pas à me plaindre de leurs labeurs. Au fond, le temps m’a affiné, rendu meilleur, bonifié comme un bon alcool.
Puis, je l’ai rencontré. Il était encore jeune mais déjà adulte. Dix ans nous séparaient, juste dix petites années : rien d’important pour des ainokos. Mais il y avait d’autres frontières. C’était un homme, et je n’avais jamais osé dire pleinement mon attirance pour ces-derniers. Il était asservi, j’étais libre. Cela ne devait pas importer…il me suffisait de l’acheter et de le garder prés de moi, caché, qu’on ne sache jamais. Comme le tabou « d’aimer un objet » le veut. Au pire, j’aurais put essayer de le faire affranchir.

Mais je n’étais pas son maître. C’était un cousin lointain qui l’était. J’aurais put abuser de ma place au sein du clan pour le forcer à me le vendre…Mais je trouvais ce comportement arrogant, et dédaigneux de la nature d’être vivant, d’ainoko, de celui qui avait sut attirer mon regard. Son maître pensait même, quelle idiotie, que son esclave avait utilisé son don d’hypnose sur moi. Non, j’étais bien attiré et obsédé par lui…Mais c’était car j’avais put lui parler, car j’avais apprécié son caractère, son verbe, sa nature. Son don, probablement a-t-il essayé de l’utiliser je l’ignore. Juste, il est impossible qu’il ait fonctionné sur moi.

J’avais la trentaine et cette relation me travaillait. Je commençais à vraiment observer notre monde, nos lois. Envoyer nos criminels aux mines : oui. Cela faisait une main d’œuvre et évitait d’avoir à penser à des lieux où confiner ces êtres. Exécuter les plus dangereux : normal pour la sûreté ! Nous sommes un peuple insulaire avec une surface restreinte à gérer.
Néanmoins, l’asservissement commençait à me sembler désuet, d’un autre temps. Enfin, partiellement. Je comprenais celui des humains…Une façon de rappeler que nous étions la race « dominante », vainqueur de la guerre. Un moyen de garder un contrôle et le peuple humain sous domination. De rester une « peur » dans le cœur de la majorité de leurs habitants sur les terres, car nous étions une « Sanction ». Mais celui des Ainokos ? Un crime léger : payer avec une peine de travaux d’intérêt généraux pendant un temps de mois à année, puis être libéré ne suffirait pas ? Pourquoi punir toute une vie un acte souvent accidentel ou naît d’un passé miséreux ? Et pire, pourquoi condamner une descendance entière ?! Rare sont les demandes d’affranchissement après tout…La logique était, à l’époque, de prévenir. Une menace sourde, le poids d’être responsable de l’asservissement de sa lignée une honte et donc, on évitait de finir dans la criminalité. Mais notre monde actuel, où le clivage entre richesse et pauvreté est si grand : est-ce la solution ?

J’en fis part à celui que j’aimais. Nous ne pouvions nous voir qu’en douce, en secret, mais je profitais de ces instants. De ces discussions. Mon esprit brûlant…je compris vite que mon chef de clan ne partagerait jamais mes opinions. Son conseiller, son jumeau, serait aussi sourd à mes demandes. Alors, mon plan se mit en marche. Je trouvais des soutiens au sein du clan, je commençais à croître en influence. En parallèle, je prévoyais un plan pour déchoir Takamori. Il était homme, ou plutôt est, une personne qui respecte la notion d’image, de société. Je travaillais à apporter la honte sur son image, à le faire chuter, salir son nom. Vu son caractère, il se serait retiré de lui-même pour ne pas pénaliser le clan. Et aurait refusé d’annoncer un héritier, car il était la Honte qui se retirait…J’aurais eut mes chances ! Cela devait se passer ainsi !

Mais je fus trahit. Trahit, découvert, et pris de vitesse. Mon plan tomba à l’eau avant même d’être abouti. J’ignore qui, mais quelqu’un apprit l’existence de mon idée, de mes plans. Cette personne trouva mes soutiens, et fit pression sur plusieurs d’entre eux qui alors me trahirent pour Takamori. Ils furent pardonnés, moi, je fus dupé. On monta ses preuves m’accusant. Toutes sans exceptions étaient fabriquées ! Mais les témoignages, la finesse digne de mes talents dans la manipulation des chiffres : tout était calculé pour me faire « voleur » pour me faire « traître ».
Mes derniers soutiens m’abandonnèrent alors, ignorant de la Vérité. Je fis la Une du Kitaï durant le court mois de mon procès. Et surtout, ce fut la dernière fois que je pus l’apercevoir. Emprisonné, puis jugé, et enfin, envoyé aux Mines…j’y découvris un autre univers.

Le travail était physique, laborieux. Les conditions tout justes vivables. Boire ? Manger ? Il fallait le mériter. Il fallait remplir ses quotas d’Ezer. J’avais été assigné à un groupe de mineur en charge d’un secteur spécifique. Enrai Hagetaka en faisait aussi partit…Il était craint et fuis, on racontait qu’il avait déjà tenté de s’évader aussi : y perdant ses belles ailes.
Avec le temps, je découvris et sympathisais avec certains. La garde Kirie Nakiri était attentive à ce que nous réalisions notre devoir, mais veiller à ce que nous ne recevions pas trop de coups. Une femme de justice. Amasa, nombre d’entre nous avons assisté depuis nos cellules à la nuit tombée les sévices qu’elle subissait. Parfois, je me retrouvais à l’infirmerie à cause d’un Garde à la main lourde, je l’y retrouvais alors ainsi qu’un infirmier asservi : Haneki Tenshi.

Mais plus les années passaient, plus assister à ces conditions devenaient difficiles. Le traitement d’Amasa empirait. Yurui, le messager, semblait comme détruit par le poids de sa chaîne nommé « servitude ». Enrai m’apprit son histoire, l’histoire de sa fille et désormais, de ses petits-enfants qui ne méritaient pas cela, lui oui selon ses dires, mais pas sa chair et son sang. Kirie nous protégeait comme elle le pouvait, sans éveiller les soupçons de ses pairs. Elle découvrit aussi la vérité sur Moi, et fut outré. Elle arrangea pour me faire « chef » d’une équipe de minage. Enrai était mon « second ». Nous étions en équipe avec deux êtres dangereux, deux Meiroo si spéciaux. J’étais le seul à traiter avec eux, et mon plan se mit en place.

Kirie devait mal fermer les portes des Meiroo, elle devait ensuite s’arranger pour envoyer son collègue faire le tour des cellules. La menace devait être neutralisée, et nous devions profiter de ce temps pour nous enfuir. Yurui par la voie des airs, nous : par un tunnel que nous avions préparé. Les jumeaux devaient ensuite poursuivre leur route, et nous la nôtre. Mais les choses se compliquèrent lorsque le jour J arriva. Amasa fut brutalement battue, au point que son Maître allait la tuer. Face à cela, Kirie ne put se retenir et stoppa son collègue : le tuant. Les jumeaux profitèrent de cette cohue pour faire comme bon leur semblait, semant chaos et destruction. Face à la situation, nous avons donc agit. J’ai pris Amasa et fuis. Yurui et Enrai s’enfuirent de leur côté. Kirie fut blessé mais pas tué. Et la folie que les gens connaissent s’abattit sur l’Île avec les Jumeaux fous. Si j’avais sût qu’ils étaient aussi dangereux. On racontait sur eux que seuls leur don et leur formation militaire les rendait dangereux ! J’ignorais qu’ils étaient des tueurs en série : on les exécute normalement !! Je pensais à des méfaits comme les miens : à tord. Une erreur pour laquelle je m’en veux encore.

Je puis trouver Ensui, mon cousin. Je lui demandais son aide, non sans complication. J’étais prés à payer ce qu’il souhaiterait, mais Amasa avait besoin de soins, et nous, avec Kirie à l’hôpital et les jumeaux fous, nous avions besoin d’un pied à terre. Il vint me fournir quelques adresses. Des logements miteux de Tsumi, qu’il avait acheté et utilisé pour quelques unes de ses affaires illégales, ou pour loger des combattants du Kareru qui lui devait beaucoup. Nous avons au moins réussit à nous réunir, et Kirie nous rapporta un fait étrange qu’elle avait apprit à l’hôpital durant sa convalescence.

C’est ainsi que nous avons découvert l’existence de Zoku et Genryuu. Ce-dernier devint notre mécène. Et grâce à Zoku, qui avait un passif dans Tsumi mais qui connaissait bien les coins insolites de Migoto aussi, nous avons découvert les souterrains des Ruines. Enfin, un réseau de galerie plutôt. Cela me rappelle tellement les mines que j’en rirais jaune. Nous avons travaillé à consolider ces fondations, et encore aujourd’hui seul quelques salles sont « sûres ».
Avec Zoku et Genryuu, nous avions prévu de faire réfléchir la population au Marché. C’était une façon provocatrice, choc, mais rien de si étonnant de la part d’un air excentrique comme ce vieux « Tengu ». Jamais je n’aurais crut à ces explosions ! Yurui tenta de sauver Genryuu, en vain. Il fut même blessé. Moi, je ne pus que protéger Zoku et nous faire partir.

Désormais, notre groupe est limité. Ensui a été clair sur le fait qu’il ne me trahirait pas mais ne nous aiderait pas d’avantage. Amasa se remet à peine de ses lourdes blessures. Kirie a démissionné de son poste de garde des mines et travaille comme garde du corps pour particulier nous donnant des informations ici et là. Enrai s’occupe des soins du groupe…Mais Yurui était celui qui avait le plus de facilité à approcher les asservis pour parler de notre groupe, nos idées. Notre réseau est ébranlé, et nous manquons de partisan pour avancer, pour nous décider.

Pourtant, mon attention et mon regard se porte sur des plans de la Caserne…Yurui, nous ne te laisserons pas. Et ceci, même si je ne peux m’empêcher de déglutir à la vue des fiches d’observation laissé par Yurui avant sa capture. Parmi les ainokos qu’il a approché…Il est là. Et pourtant, pourtant, j’ignore comment les choses se passeront. Se passeront-elles même ? J’ai échoué à le libérer, comment peut-il encore croire ? Mère Taisha, parfois, je me dis que vous êtes bien dure avec vos enfants…


Informations IRL

Pseudo : Lou Ainsel / Takamori / Master ^^
Âge IRL : 25 ans, mais j'approche des 26 *soupire*
Comment avez-vous connu le forum ? : Je l'ai fondé !
Code du Règlement : Ok, by me !
▬ [b]Qui a créé les Ainokos ? Moi ? *sors* je me valide <3


Ainoko Asservi(e)
Kakumei Ankoku
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Actif : Ralenti ? Mais bien là ! ♥
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(#) Sujet: Re: Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Empty22.03.17 0:34
Comme il est beau

Les Ankoku son quand même subblime
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(#) Sujet: Re: Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Empty22.03.17 0:49
Ahahah !
Merci bien ^^

Mais j'étais plus fin et chétif avant mon passage aux mines XD
12 ans à casser de la caillasse, ça forge le corps aussi Very Happy lol
Ainoko Asservi(e)
Kakumei Ankoku
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(#) Sujet: Re: Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Empty22.03.17 9:40
Nyaaaaa, trop heureuse de voir Kaku parmi nouuuuuuus. Son histoire est trés triste mais trés jolie en même temps.
Je me hâte de finir celle de Teru et j'arrive !

Kakumei-san...."le fixe doucement"...Attendez-moi.
Ainoko Asservi(e)
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Actif : En cours
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(#) Sujet: Re: Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Kakumei Ankoku ▬ Révolutionnaire Honni Empty04.04.17 17:20
Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. De plus, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. Les langues que parlent ton personnage, tes autres comptes si tu en as, tes périodes d'absence, l'âge et autres petites informations utiles rapidement aux joueurs, et qui concernent ton personnage !
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup   ...

Sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci.
Nous avons aussi les Dépôts de Missives pour les rps de type "épistolaires". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage ^^
A noter que les modèles proposés de codage ne sont pas obligatoires, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.


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