Kagero Yume

Informations

▬ Année de Naissance : -5. (55 ans) ▬ Genre : ♀ ▬ Race : Renard rouge (Vulpes vulpes).

▬ Statut : Libre. ▬ Métier : Patronne du "Koi-Koi", une maison de jeux (Hanafuda et Mahjong) et  joueuse professionnelle de Mahjong.

▬ Don(s) : Kitsune-gao : Kagero peut prendre l'apparence de n'importe qui qu’elle a déjà rencontré au moins une fois, qu'il soit humain, ainoko ou animal. Le problème est qu’elle conserve sa queue de renard sous toutes ses formes et ne peux pas se changer en créature beaucoup plus grande ou beaucoup plus petite qu'elle (ni une souris, ni une baleine en somme). Kitsune-tsuki : Kagero peut temporairement posséder une personne en soufflant dans sa bouche. Durant le laps de temps où la kitsune prend possession de sa cible, Kagero ne peut plus mouvoir son corps, comme endormie ou évanouie. Elle ne reprend connaissance que lorsqu'elle cesse la possession qui peut par ailleurs être brisée avec un élan de volonté de la victime.

Psychologie & Physionomie

♦ Physique : Kagero est une ainoko qui selon les standards de beauté actuels s'inscrit dans une certaine norme : féminine et plutôt altière, de taille moyenne, la kitsune est ce qu'on pourrait appeler une belle femme car coquette et plutôt bien faite, elle a appris à mettre ses appas en avant. Pâle au point d'être livide et entretenant ce teint par l'utilisation de poudre de riz, l'ainoko a un visage étroit avec des yeux rapprochés, des sourcils minces et des pommettes hautes qui lui donne un faciès rappelant celui des renards, toujours habité d'un large sourire insouciant et espiègle. Elle a un joli visage très mobile, véritable livre ouvert sur ses sentiments quelle ne cherche nullement à cacher, avec un nez court et un peu retroussé et une très grande bouche pourvue d'une dentition solides et aiguisées, les incisives légèrement inclinées vers l'intérieur prouvant sa nature de carnivore bien qu'elle se nourrisse  également de fruits et de légumes. Cependant, elle ne dira jamais non à un peu de viande fraiche tiré d'un lapin, d'une souris ou d'un oiseau qu'elle aurait attrapé elle-même, chose qui la divertit incroyablement. Vous savez, un rien l'amuse...

Ses grands yeux d'un bleu glacier illuminent presque tout son visage, frangés de cils clairs et épais qu'elle aime à maquiller de rouge et de noir de manière traditionnelle. Ses pupilles ovales sont positionnées verticalement, légèrement elliptique ce qui lui donne une vision admirablement précise, à quelque exception près : Kagero est plutôt sensible aux mouvements et éprouve des difficultés à percevoir un individu parfaitement immobile. Elle a cependant une très bonne vision de près, et est capable de voir la nuit; pour cette raison, ses grands yeux brillent intensément lorsqu'ils reflètent la lumière. Les fortes lueurs lui sont particulièrement déplaisantes et néfastes, facilement aveuglée et désorientée par ces dernières. Son corps est allongé avec des membres relativement courts par rapport à sa taille ce qui peut lui donner une allure un peu étrange quand elle est vue sans ses épais kimono trainant au sol. Sa queue très touffue, qui est plus longue que la moitié de son corps, est longue, duveteuse et touche le sol lorsque Kagero est debout. Elle lui sert de balancier et lui tient chaud quand elle dort et s'en enveloppe. Tout comme ses oreilles, la fourrure de sa queue est d'un rose pastel, se dégradant au bout de cette dernière et des oreilles en nuance de blanc délicat. Ses oreilles sont très grandes, droites et triangulaires, particulièrement mobiles: elles expriment souvent ses humeurs du moment tout comme le fait son visage. De ce fait, l'ainoko ne sait pas mentir: tout son corps parle pour elle.

Elle se vêt avec recherche et goût, étant considérée par ses pairs comme quelqu'un ayant un excellent sens de la mode et des agencement de couleurs et de tissus; ses innombrables sœurs lui demandent souvent conseils et ses amies ne sont jamais en reste pour connaitre les secrets des nœuds d'obi, l'art du maquillage ou encore la manière de porter un kimono pour qu'il dise quelque chose de nous. S'habiller est une investiture pour elle, et une passion. Coquette et un peu narcissique, la kitsune ne porte pourtant aucun bijou; elle pense que l'élégance se doit d'être dans l'épuré, dans la maitrise de la beauté plutôt que dans l’ostentatoire. Alors, on pourrait la trouver belle, surement. Elle est jolie, à sa manière, délicate et toujours bien apprêtée sans en faire des tonnes. C'est plus son esprit que son corps qui plait à la majorité, le charisme plutôt que le physique car c'est quelqu'un de souriant, bon vivant et facile à vivre dans l'absolu. Elle est vive et toujours en mouvement, diffusant autour d'elle une aura bienveillante d'insouciante qui ne désire que s'amuser; c'est totalement ce qu'elle est, au final.

Ne vous méfiez pas tant du renard, il ne veut que jouer.
Et si vous le trouvez beau, vous ferez son bonheur.

♦ Caractère : Kagero parle vite, s'enthousiasme d'un rien et vous aurez certainement du mal à la suivre quand elle parle d'un sujet qui la passionne, comme le mah-jong ou le hanafuda, d'une nature bavarde, volubile et lunatique. L'ainoko aime tout, ne déteste rien et se considère rapidement comme l'amie de tout le monde et de personne à la fois. Tout l’émerveille, tout l'intrigue et ses sourires sont faciles et fréquents; elle aime la vie et est une jouisseuse patentée et assumée: manger, boire, faire la fête, être entourée par ce qu'elle préfère; la beauté, la joie et la facilité. La douleur lui fait peur, la difficulté la terrorise, elle qui n'a jamais vécu qu'une vie protégée. La tristesse la fait fuir, peu courageuse, d'une nature à avoir peu de détermination. Elle cherche souvent à occulter les choses ou les gens qui la mettent mal à l'aise, agissant comme s'ils n'existaient pas: elle dira juste qu'elle a oublié, avec un adorable sourire d'excuse. C'est une mauvaise menteuse, mais elle ment cependant tout le temps, pour tout et rien, un brin mythomane pour le simple plaisir de l'affabulation qu’elle voit comme une manière d’embellir certaines choses. Pourtant, ce n'est pas une manipulatrice très loin de là. Kagero est naïve et insouciante, se faisant souvent menée par le bout du nez par les autres à cause de sa crédulité qui confine à la stupidité. Elle est faible, a une volonté proche du zéro et est toujours prête à s'embarquer dans de nouvelles mésaventures. Farceuse, espiègle et pétillante, elle tient toujours ses promesses et s'efforce de rembourser les faveurs sans faille.

Pourtant quand elle sort ses éventails, c'est pour danser de joie quand elle marque un point. Quand elle prend une bouteille de sake, c'est pour la partager avec ses amis. Généreuse et dispersée, Kagero est pour la plupart des gens aussi attachante qu'insupportable car elle est infatigable, intarissable, incontrôlable. Une vraie tornade d'énergie, loyale envers ses amis, s'aveuglant en s'imaginant n'avoir aucun ennemi. Elle l'aime l'argent, la vie facile. Les jolies choses, les baisers sur ses joues pâles. Jouer, s'amuser, vivre! La belle vie, les amis, les éclats de rire! Et manger, manger surtout! Elle aime qu'on l'aime, et elle aime aimer en retour; ses amis, surtout: elle n'accorde aucun crédit à l'amour, en réalité et pense que l’amitié est la forme la plus pure d'attachement, préférant ses amies à toutes autres personnes, famille ou amantes. Amantes, oui. Les hommes lui font incroyablement peur. Kagero est en effet androphobe, bien que la situation se soit arrangé par rapport à sa phobie quand elle était adolescente, pouvant jouer à une table pleine d'homme sans partir en courant. Pourtant ne vous avisez pas de vous montrer trop proche ou même de la toucher: vous la feriez détaler en une seconde. Elle n'a aucun ami masculin et a tendance à voir les hommes comme des prédateurs, vision que lui a inculqué son idiot de père depuis qu’elle est toute petite et parce que son premier mari la battait comme plâtre.

Romantique plutôt que sensuelle, Kagero n'aime pas vraiment les relations physiques, leur préférant la délicatesse de l'amour courtois, de la séduction un peu sans objet, désintéressée. Ce qui se trouve après la séduction ne l'intéresse pas et si elle est toujours incroyablement flattée par les compliments d'autrui, l'ainoko ne va jamais plus loin. Ce genre de choses a toujours eu quelque chose d'un peu magique pour elle et le vulgaire du corps vient détruire cette féerie qu'est l'aspect platonique. Oui, Kagero n'aime que ce qui est platonique, dédaignant le sexe qui selon elle fait mal et est vulgaire, uniquement à but reproductif. Dans un tout autre registre, elle aime manger et ses friandises préférées sont le tofu et les azukimeshi, les haricots rouges sucrés. Elle est préférentiellement nocturne mais ce n'est pas une obligation. En réalité il s'agit surtout d'une ainoko méfiante qui préfère la tranquillité et la quiétude de la nuit pour sortir.

Il semble pourtant que que rien ne puisse satisfaire Kagero, toujours à la recherche d'une chose qui lui manque, faisant un vide en elle, sans qu'elle puisse mettre le doit sur ce que c'est.

Biographie

Il est des enfants qui ne connaissent ni la faim, ni la soif, ni le délaissement. Ces enfants vivent parmi les leurs sans savoir ce qu'est la guerre qui fait rage entre ainoko et humains,s ans comprendre les enjeux de ces déchirements. Pendant que d'autres perdent tout, eux jouent avec des cerf-volants colorés, entourés de leurs frères et sœurs, couvés par les regards inquiets de leurs parents, habités par des craintes qu'ils ne peuvent pas comprendre. Kagero Meiroo faisait parti de ces enfants-là, ces privilégiés qui ne connurent jamais la souffrance ou la violence. Elle grandit dans une famille extrêmement nombreuse - ses parents faisait une portée de trois petits tout les sept ans, par principe; elle a donc plus de vingt frère et sœurs et on se moque parfois de cette branche de la famille en disant que tout les Meiroo sont frères de Kagero - et soudée. Prunelle des yeux de son père, petite préférée de ce dernier, elle fut couvée plus que de raison, gâtée et choyée.

Il l'emmenait souvent avec lui pour lui faire rencontrer le beau monde de l'île tout en évitant soigneusement de lui expliquer quoi que ce soit sur la guerre ou les choses déplaisantes de la vie, en faisant une enfant sage bien qu'agitée, curieuse mais incroyablement naïve. Jouant à toutes sortes de jeu avec sa grande fratrie, Kagero se trouva un petit talent pour les cartes. Hanafuda, Kabufuda, Karuta, Oicho-Kabu, KIngo ou encore Hiki-Kabu... elle apprit toutes les règles religieusement, entrainant frères et sœurs comme un maitre de cérémonie haut comme trois pommes. Son astuce et son talent pour les jeux de cartes étaient réels au point que sa mère, celle qui portait plus ou moins la culotte dans le couple, décida de laisser cette enfant parmi tant d'autre faire ce qu'elle voudrait de sa vie quand elle grandirait. Il avait bien asse de rejetons pour tous les caser dans des familles nobles et suivre de vieux accords.

L'ainoko commença le karuta de compétition alors qu'elle n'avait que quatorze ans, gagnant de nombreux tournois juniors avant de percer dans le milieu et se faire une petite réputation. Avec seulement vingt-cinq cartes, elle mémorisait à la vitesse de l'éclair pour enchainer plus de cent poèmes sans faillir. Nul doute que dans ce domaine, la petite riait loin, grandissant en beauté et en assurance au fil des années. Son père disait d'elle qu'elle était un génie du jeu de cartes, sa mère qu'elle était une simple dilettante. Mais Kagero vivait sa passion, tout simplement. Son père, très protecteur, l'abreuva à cette période de récit terrible sur le sexe opposé car il n'avait aucune envie que sa petite préférée se marie; il chercha alors à instiller en elle la peur des hommes, ce que cet idiot réussi avec brio. Kagero n'eut jamais de petit ami, ne chercha aucune compagnie masculine en dehors des parties de cartes et tandis que son paternel s'en félicitait, le mal était déjà fait. Heureusement, elle était bien trop insouciante pour comprendre le fond du problème, aveuglée par sa passion pour les jeux de cartes.

L'arrivée dans l'âge adulte ne changea pas beaucoup de chose pour la jeune kitsune qui vivait entourée de ses frères et sœurs et menait une existence protégée, loin des réalités. Son père écartait systématiquement toute demande en mariage la concernant, manigançant dans le dos de sa femme au besoin.C'est à cette époque qu'elle rencontra une jeune ainoko cerf qui deviendra sa meilleure amie dans le futur, Hotaru Kakon. Elles avaient un peu sympathisé les fois où elles s'étaient croisées dans une maison de thé qu'elles fréquentaient toutes les deux, et Kagero avait initié la jeune biche aux subtilités du Hanafuda. Une période bénie, faite de loyauté et de découverte entre deux tournois. L'aprentissage de l'amitié indéfectible, qui ne grandira que plus grandie encore des terribles évènements qui allaient bientôt se jouer... car un jour, le père de Kagero ne put refuser une demande en mariage.

Le crépuscule d'une vie vient parfois sans crier gare, comme cet Hikari qui obtint la main de Kagero en mettant son père au pied du mur avec une sombre histoire de chantage et de corruption; il demanda la main de la jeune ainoko en échange de son silence et les Meiroo se virent obligés d'accepter. Kagero épousa donc un hybride de Kabutomushi, un scarabée rhinocéros. Terrifiée par sa large stature et les récits que son père lui avait fait des mâles dans son enfance et adolescence, la kitsune refusa de le laisser consommer le mariage et il du la prendre de force, achevant de la terroriser. Il continue en lui interdisant de sortir trop souvent, désapprouve sa passion pour les jeux; Kagero lui désobéit quelques fois pour aller dans quelques maisons de jeu, contraindre d'abandonner la compétition. C'est à cette période qu'elle apprend à jouer pour de l'argent, dépensant de fortes sommes, ce qui rendait son mari fout de colère... plusieurs fois, il la battit comme plâtre, la faisant garder la chambre des jours entiers avant d'être remise. Il lui éclata l'arcade, lui brisa le cubitus - par inadvertance; elle disait à sa famille qu'elle avait fait une mauvaise chute - et la frappant au visage. La kitsune dissimulait ses bleus sous de la poudre de riz épaisse, terrifiée par ce qui arriverait si encore une fois, elle désobéissait à son époux...

Ses seules consolations étaient son amie Hotaru qu'elle parvenait encore à voir sans lui dire ce qui lui arrivait, mais la  biche n'était pas dupe, et Makina, une jeune esclave au service de son époux avec qui elle pouvait jouer au Hanafuda. L'humaine et elle jouaient des heures durant, quand son mari n'était pas là, ce qui ravissait l'ainoko; elles discutaient jusque tard dans la nuit, finissant par se lier d'amitié malgré leur différence de statut et d'âge. Peut-être naturellement, parce que Kagero craignait les hommes plus que tout, elles s'embrassèrent une fois dans l'inimité d'une partie ou aucune des deux ne parvint à gagner. Et même si la kitsune savait que c'était mal, que c'était interdit... embrasser le front, caresser doucement les cheveux de cette jeune fille lui donnait la force nécessaire pour fermer les yeux sur sa relation avec son époux. De la tendresse contre les coups, des sourires timides contre des cris. La bonté comme rempart contre la violence. Makina était son ange gardien et elle se raccrocha à elle, désespérément... jusqu'à ce que son mari apprenne qu'il était cocu et ne la lui retire.

A daté de ce jour, Kagero ne joua plus jamais au Hanafuda.

"Rend-la moi, pitié... je ferai tout ce que tu voudras...", avait-elle supplié, pliée tête au sol devant son mari dans une révérence profonde. Tout ce qu'il voudrait, oui... juste pour la revoir... pour caresser à nouveau ces doux cheveux, pour rejouer avec elle... Kagero était prête à tout. Son mari voulait des enfants et en échange d'une promesse fallacieuse - Makina avait déjà été revendue - l'ainoko se laissa faire, comme si elle n'était qu'un objet. Elle voulait tellement la revoir, naïve et crédule de penser qu'elle pourrait la retrouver. Il la laissa maintes fois brisée de leurs étreintes forcées, vidée de toute envie de se défendre... jamais Makina ne revint, mais jamais Kagero ne tomba enceinte de son mari, malgré les efforts de ce dernier. Sans Makina, Kagero sombra dans la dépression et ne fut bientôt plus qu'une poupée docile au sourire forcé, se rendant peu chez sa famille, prétextant être souvent malade. Seule son amie Hotaru sut, alors que la kitsune craqua et lui raconta tout parce qu'elle refusa une partie de Hanafuda avec elle. Et sa réputation de championne de Karuta disparu au fil des années, comme si elle n'avait jamais touché une carte. petit à petit, elle s'étiolait... mais c'était sans compter sur la détermination de celle qui devint sa meilleure amie.

Hotaru discuta avec son mari, Tenma Kakon, avant de se rendre en personne chez les Meiroo pour dénoncer les violences que le mari de Kagero lui faisait subir. Sans avoir besoin de preuves, les innombrables frères de l'ainoko débarquèrent dans la demeure Hikari, créant un petit scandale. Ils demandèrent à s'entretenir avec la chef du clan, Kaede Hikari, et récupérer leur sœur. Les choses se firent à la manière de Kaede, dans un étrange calme et Kagero réintégra la famille Meiroo après un divorce rapide et sommaire. C'était Hotaru qui l'avait sauvé, alors qu'elle-même gardait le silence... l'amitié qui les unissait grandit de plus belle à mesure que Kagero soigna ses plaies de cœur et de corps, comprenant qu'elle ne reverrait plus jamais Makina. Elle aimait Hotaru comme une sœur et à l'annonce du décès de Tenma, il y a environ quatre ans, elle se rua auprès de la biche pour lui offrir son soutien inconditionnel. Elle fut là au plus fort de sa déprime, la veillant et lui souriant simplement, l'écoutant comme son amie l'avait fait pour elle. C'était le moins qu'elle pouvait faire.

Hotaru faisant son deuil, Kagero reprit ses passions en main, cherchant d'autres jeux que le Hanafuda; les cartes lui rapellaient trop Makina et leurs parties tendres et complices. Elle découvrit le mahjong et au bout de quelques années à étudier ses mécanismes, la kitsune devint joueuse professionnelle : la preuve étant que cette année, Kagero empocha le titre de championne de l'île en première ligue, retrouvant toute sa popularité et son sourire insouciant. Elle et son amie Hotaru passèrent affaires ensembles, la biche lui louant un local à côté de sa maison de thé que Kagero transforma en une maison de jeux qu'elle appela "Koi-Koi", du nom d'une figure particulière de Mahjong. Sa famille ayant d'excellents rapports avec celle des Yume, ils lui proposèrent d'épouser quelqu'un... une femme, Hebikougen Yume, fraichement veuve. Kagero n'accepta que parce que Hebikougen était une femme.... son père avait omit de lui dire que l'ainoko était un hermaphrodite séquentiel, pour être sûr que le mariage se fasse... elles ne se sont vues qu'une fois, le jour de leur mariage et depuis vaquent à leurs occupations dans une certaines tranquilité née de l'ignorance l'une de l'autre.

Informations IRL

▬ Pseudo : Basterd.
▬ Âge IRL : 32 ans.
▬ Comment avez-vous connu le forum ? : par les admins.
▬ Code du Règlement : Ok, by Master
▬ Qui a créé les Ainokos ? : Ok, by Master

Fiche terminée! =D

Tout est conforme.
Une histoire qui mêle le drame à l'innocence. C'est vraiment joli.

Quand je vois des mots comme Karuta, je ne peux que penser à ce sublime manga "Chihayafuru" *_*
Sinon, "Koi Koi" est aussi un terme utilisé en Hanafuda. C'est volontaire le fait qu'elle est choisit un mot qui rappelle le Mah-Jong et l'Hanafuda ? ^^

En tout cas, tout est bon alors :

Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. Et enfin, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique. Merci d'avance ^^

De plus, sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci. Sache que le modèle proposer de codage n'est pas obligatoire, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mit à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.

Le staff te souhaite la bienvenue!

Merci beaucouppp! Oui je viens de découvrir ce manga, je suis devenu fan! Et en effet ce n'est pas un hasard, comme le Hanafuda est une partie de sa vie mais qu'elle ne peut plus y jouer, et puis... Koi signifie aussi l'amour, après tout! ... merci pour cette validation super rapide comme l'éclair! Ca va me changer de jouer une Libre après un Asservi! XD

De rien <3

Je me disais que cela devait être volontaire
Tu connais le chemin si tu as besoin que je fasse le sous-forum du Koï-Koï o/

En tout cas, Chihayafuru est un très beau mangas
Pour le Hanafuda, la scène dans Summer Wars est sympa avec aussi ! Mais je crois n'avoir jamais trouvé de manga qui parle de ses règles et tout.
Côté manga de Mah-Jong, y'en a des géniaux. Du mignon "Saki" au sombre "Akagi" *_*

Brefouille : déjà la passion des jeux japonnais de ton perso pouvait que me plaire mais alors associé aux côtés "Kitsune" a une histoire aussi sympa : je suis comblée perso ! ^^