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Asuka Sanshōuo
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(#) Sujet: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty12.06.17 20:41
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Asuka Sanshōuo

Informations
Année de Naissance : An 10(40 ans)
Genre :
Race : Axolotl
Statut : Libre
Métier : Prêtresse servant Motenashi
Don(s) :
Furouchouju - Kousei - Jeunesse éternelle & Régénération: Les axolotls ont la particularité de ne jamais devenir « adultes ». En effet, tout au long de leur vie, ils restent à l’état de larve. De ce fait, alors même qu’Asuka vieillit, les traits de son visage, son corps et sa peau resteront inchangés, lisses, et éternellement jeunes. Bien que son physique de vieillit pas, son esprit, lui, évolue comme chaque être. Ainsi, on peut dire que l’organisme ne fait que se régénérer indéfiniment. Cette régénération leur permet une autre prouesse, celle de pouvoir recréer des organes et des membres de son corps. Ainsi, bien qu’il s’agisse-là de quelque chose -espérons-le- d’exceptionnel, si son bras devait être « perdu » elle pourrait, le recréer. Naturellement, une telle chose n’est pas anodine : il lui faudrait plusieurs jours voire semaines pour recréer un tel membre de son corps.

Ningyo-hime - Branchies et doigts palmés : Comme une majorité des animaux marins, Asuka a la possibilité de respirer sous l’eau. Et cela grâce à des branchies situées près de ses oreilles, derrière ces dernières. Ces branchies, n’apparaissent qu’au contact de l’eau. Ainsi, si notre jeune femme ne plonge pas sa tête sous l’eau, ces branchies n’apparaissent pas. Les siennes sont d’un rouge très vif aux reflets rosés, d’une longueur très impressionnante, Elles apparaissent presque comme une couronne autour du visage de la jeune femme. Comme l’animal, elle a la capacité de les bouger. Comme les branchies, ses doigts et pieds, au contact de l’eau deviennent palmés et presque translucides, la peau devenant presque comme celle de l’animal : fine, souple, glissante et sensible. Ces transformations ne sont pas contrôlées, le simple contact de l’eau suffit. Le seul organe qui peut se montrer au loisir d’Asuka, c’est la queue de l’axolotl. Elle s’ajoute au corps humain, et débute ainsi dans le bas du dos. Bien qu’elle nécessite, encore une fois, de l’eau pour apparaître, elle ne se montre qu’au bon vouloir d’Asuka, en cas de besoin (notamment pour nager plus vite, ou quand il est nécessaire d’avoir plus de force dans ses mouvements en milieu marin)


Psychologie & Physionomie


PSYCHOLOGIE :
Asuka se décrit comme étant spontanée. D’autres mauvaises langues la qualifieraient plutôt d’irréfléchie. Et pourtant, cela est, en réalité quelque chose qui lui serait opposé. Si on peut dire, il est vrai, qu’elle réagit à ses premières impulsions et parle sans détours, on ne peut définitivement pas dire qu’elle ne réfléchit pas. Elle est au contraire très pensive et se laisse parfois emporter dans de longues réflexions sur des sujets très sérieux, comme des sujets triviaux.

Chacun s’accorderait à admettre que rare sont ceux qui seraient autant voire plus dynamique que cette jeune femme. Si elle déteste plus que tout l’inactivité, malheureusement, par nature, il lui est parfois difficile d’être très productive en milieu de journée. C’est pourquoi, au lever du jour ou à la tombée de la nuit, on la qualifie souvent d’hyperactive. Cependant, dans les moments où elle se permettrait une pause, il lui arrive, avec grand bonheur, de se laisser envahir par la contemplation de la vie, et de la nature.

Si par ce début de descriptif il peut apparaître qu’elle est sérieuse en tout point, en réalité, cette épouse sait et aime profiter de la vie et de ce qu’elle peut offrir.  De par son métier qui la rende témoin des affres du destin, elle ne peut, à chaque occasion que profiter des petits instants heureux. Ainsi, si son foyer chaleureux lui suffit à son bonheur, elle aime les jeux, les rires et les arts se trouvant ailleurs sur Migoto no Shima.

C’est par l’intérêt pour ces arts justement, qu’elle aime se cultiver et faire travailler son esprit, afin de pouvoir l’affuter et le rendre aussi fin que possible. A force de s’intéresser à la culture d’Aochikyuu et plus précisément de celle de son île, certains se demandent si ce n’est pas la déesse de Rika qu’elle aurait dû servir, au lieu de Motenashi. Mais c’est réellement par passion et moins pour s’élever qu’elle se plonge dans les livres. En plus de voir son regard plongé pendant des heures dans les écrits du passé, elle aime s’exercer aux arts : de la calligraphie à la chanson, des arts martiaux à la peinture, et enfin, plus rarement au théâtre ou le cirque.

Ses passions, justement, sont nombreuses. Cependant, l’une d’entre elles, qui lui a fait choisir le temple de Motenashi est celle de l’altérité. C’est par amour de ses semblables et par volonté de rendre là où elle vit un endroit meilleur qu’elle se voue à l’aide et à la charité. Ainsi, elle passe la plupart de son temps au temple à aider les malades et les démunis, mais surtout les orphelins, à qui elle enseigne les savoirs basiques. Beaucoup de choses lui font beaucoup de peine, comme la grande précarité, l’injustice et l’esclavagisme, qui règne sur cette île et dans ce monde. On peut donc deviner une personne profondément généreuse et altruiste.

C’est ces deux derniers caractères qui montre sa qualité première qu’est la gentillesse. Rares sont les personnes qui, comme elle, ne veulent voir la noirceur qui nous entoure. C’est avec des yeux pleins d’espoir et de candeur qu’elle regarde avec amitié tout habitant de l’ile, qu’il soit esclave ou libre, Ainoko ou humain. Elle ne regardera qu’avec noirceur celui qui fait le mal. Elle pardonne beaucoup, et presque tout. Et il est vrai, face à ces traits, on voit en elle quelqu’un de profondément naïf et crédule. Ainsi, il est certainement facile de lui jouer des tours, au grand dam de ses proches.

PHYSIQUE :
Du haut de son mètre soixante-cinq, Asuka affiche un visage enfantin, presque poupon. Ses joues ne sont ni creuses, ni bombées, et affichent le signe distinctif de bonne santé : une coloration rosée. Aucun défaut cutané ne se présente sur sa peau claire et illuminée. Entre ses deux yeux se démarque un petit nez à la pointe douce où les cartilages naseaux se font discrets, sans monticules disgracieux. Au bout de son nez se présentent deux petites narines, à la forme presque parfaitement rondes et discrètes.  On remarque l’absence totale de rougeurs parfois apparaissant autour des ailes du nez. En dessous de celles-ci, on peut voir, comme tout être humanoïde, des lèvres. Ces derniers se révèlent fines et délicieusement roses et douces. Elles ne présentent aucun défaut, pas même le signe d’éventuelles gerçures. Son menton est à l’image du reste, lui aussi presque minuscule et fin, tirant presque en pointe tant son extrémité n’est pas épaisse. Ses yeux, quant à eux, arborés de fins sourcils taillés et parfaitement convexes, décorant avec charme les yeux noisettes et dorés de la jeune femme, pleins de vie et de vivacité. Se superposent à ses grandes iris, sur ses paupières, de longs cils infinis et nombreux.

Comme un support à une œuvre d’art, apparait, sous l’ombre de la lumière de son visage, un long et fin cou, à la peau tout aussi claire, décorée de quelques grains de beauté dans sa nuque, cachés derrière une cascade de cheveux à la couleur similaire aux fruits du châtaigner. Coupé de manière dégradée, sa chevelure est plus courte à l’avant et plus longue en son dos. Cette longue chevelure est, pratiquement tous les jours et à chaque instant, attachée par un large et long ruban, qui, s’avère être de manière générale, de couleur rouge. Ainsi, du haut de son crâne à l’orée de son coccyx s’étend une marée de cheveux, lisses et brillants. Et, contournant son visage se trouvent, cachant de fines oreilles, de larges mèches de cheveux, souvent elles aussi attachées par des rubans ou d’autres accessoires.

Son buste s’avère être attribué de deux petits monticules de taille moyenne, ne subissant, de par la jeunesse de leur propriétaire, pas la gravité. Encore une fois, quelques grains de beauté viennent parsemer les délicates formes de la jeune femme. En dessous se révèle une taille fine, délicatement entrecoupée d’une colonne terminant joliment sur deux formes bombées. Ses bras, quant à eux, sont longilignes et peuvent apparaître comme étant sans force, à la vue de l’absence de muscles visibles.

En dessous de ses dernières découlent deux longues jambes et fines, presque maigres. Comme le reste de son corps, la peau y est immaculée et d’une douceur inimaginable. Et enfin, au contact du sol, se trouvent des pieds de petite stature, aux ongles bien coupés et souvent habillés de zori quand elle est au temple ou sinon des chaussures fermées, comme portent les femmes de Stalkarna.

 


Biographie


« Ma chère petite fille,
Depuis ce jour au ciel noir et à la pluie battante, tu as été mon rayon de soleil. En ce jour pourtant tout droit sorti des ténèbres, tu as été l’accalmie de ma vie, qui en réalité a duré pendant pratiquement quarante ans. Tu le sais certainement, je ne peux rien te cacher, mais, je me meurs. Tout doucement, la vie s’éteint en moi. Je sais que tu as tenté maintes et maintes fois de me donner un peu de ton pouvoir, en vain. Mais c’est avec un grand soulagement que je le constate. Etant comme toi, une axolotl, j’ai eu ce talent, ce don, de la jeunesse éternelle et de la régénération. J’ai eu ce don, celui auquel tu aspires tant, celui de soigner tes pairs avec tes capacités naturelles. Cependant c’est ce même don qui me tue, aujourd’hui. Je te connais, je sais que tu ne vis que pour le bonheur d’autrui. Je ne connais personne d’aussi altruiste que toi, si ce n’est Motenashi elle-même. Ne t'en veux pas, tu es une femme avec beaucoup d'autres talents.

C’est avec un bonheur sans borne que je t’ai vu grandir, à mes côtés, dans cette grande maisonnée près de la baie. Nous avons eu de la chance de vivre dans le quartier Gouka no Nana, loin de l’agitation du centre de Kyooraku No Machi, et plus encore du quartier des vices. Tu as ainsi vécu loin de la misère, protégée par les tiens, et par la branche principale de la Famille Yume. Mais malgré cette presque cage dorée que tes parents t’ont faite, dont tu as réussi à te libérer. Tu as su t’ouvrir aux autres, t’ouvrir à la différence, aux plus démunis comme aux plus grands. C’est là l’une de tes plus grandes forces : celle de l’acceptation de l’autre. Ton sourire éternel dessiné sur ce si joli visage fait tomber toutes les barrières, et réchauffe le cœur ne n’importe qui. C’est ainsi avec une grande fierté que je t’ai vue entrer dans le temple de Motenashi, et de la servir. Chaque instant de ta vie est dévoué à apaiser et embellir ce qui t’entoure.

Pas une journée se passe sans que tu aides ton prochain, sacrifiant ta propre santé et ton temps, ta patience, et pourtant : ce regard bienveillant et cette lumière émane toujours de toi. Parfois je me demande même si ce n’est pas Motenashi elle-même qui t’as enfanté, tant ta grâce et la lumière t’entoure. Nombreux ont été tes prétendants à rêver d’une proximité avec toi, jalousant cette harpie avec qui tu passais le reste de ton temps libre. Tu sais, beaucoup sont ceux ayant demandé ta main à tes parents, mais à chaque fois, tous sont repartis, déçus de savoir que jamais ils ne seront à ton bras. Aimée par beaucoup, tu demeurais pourtant inaccessible : que ce soit par ton aura, ou par la présence protectrice au regard acéré de celui dont tu étais éprise. Par ta simple présence, les alentours étaient comme baignés dans une harmonie presque providentielle. Je sais que tu espères, sans le dire, de peur d’être égocentrique, d’être choisie par Motenashi pour la représenter. Personne ne le sait, et tu le gardes comme un terrible secret, honteuse.

Tu as vécu, de ta naissance à aujourd’hui, couverte d’amour. Tes parents, bienheureux de voir enfin une fille dans la famille, t’ont éduqué avec la plus grande douceur qu’aucun enfant ne pouvait rêver. Veiller sur ton éducation a été un plaisir, et j’ai été ravie, à chaque fois, de te faire découvrir ce que tu sais aujourd’hui. Ta passion pour l’apprentissage et pour tous les arts me nourrissait de joie, car je pouvais enfin partager mon savoir et mes connaissances. Contrairement à tes frères, tu étais la seule à venir me voir avec plaisir et à m’écouter avec attention. Si ces nigauds-là fuyaient mes leçons, toi, tu venais en courant, sans garde et avec hâte, te causant souvent des blessures, ta maladresse est aussi grande que ta générosité. Heureusement que tu as ces pouvoirs, me disais-je à cette époque-là… Quoi qu’encore aujourd’hui, quand je te vois causer du désastre à n’en plus finir par de simples gestes gauches.  

Cet amour qui t’entoure et fait tant partie de toi à su trouver sa cible. A un jeune âge déjà, tu aimais regarder le ciel et la mer, finissant au loin son chemin, vers l’horizon qui t’attire tant. Cette habitude que tu avais pour la contemplation de ce magnifique paysage grandissait plus encore quand l’orage et les intempéries venaient frapper l’ile de Migoto. Ta fascination pour ce spectacle de la nature n’a jamais cessé de grandir, d’autant plus quand cette dernière t’a offert la personne que tu chéris le plus au monde aujourd’hui. Je m’en souviens encore, je te surveillais, alors que tu t’abritais sous le toit à l’extérieur de notre bâtisse, écarquillant les yeux avec un grand sourire à chaque éclat de lumière du ciel. Mais c’est alors que tu assistais avec plaisir à cette scène bruyante et chaotique que tu vis, soudainement, un objet filant à toute vitesse dans la grande eau, devenue grise avec la tempête. C’est sans hésiter que tu couru à toute vitesse, sautant par-dessus la rambarde et descendant l’escalier sinueux jusqu’à la plage. Ainsi, bravant les intempéries, et le danger de l’orage, tu sortis de l’eau avec ce que tu avais appelé à l’époque « ton cadeau du ciel », le portant, à bout de force jusqu’à chez nous. Tu n’avais pas quitté son chevet, ne le lâchant pas des yeux. Le bruit du tonnerre que tu adorais tant était totalement éclipsé par la présence de ce garçon, qui avait quelques années de plus que toi. Depuis ce jour, vous ne vous quittiez plus. Et c’est ainsi, au fil des années, que des sentiments vinrent à naitre, petit à petit. Ils ne faisaient que grandir au fur et à mesure que tu restais près de lui. Il était destiné à servir Kage, de ce fait, il devenait un grand guerrier. Et à chaque fois qu’il entrait dans l’arène, ton cœur s’arrêtait d’inquiétude, qu’il ne revienne blessé, ou pire encore. Je sais que ton amour pour lui cache un grand défaut, l’un des rares te concernant. Tu éprouves une grande jalousie à quiconque s’approchant de lui, particulièrement les femmes. Persuadée qu’il ne t’aimera jamais de la même manière que toi, tu gardes cela secret, ne disant rien, te contentant d’adresser un regard glacial à celles qui tenteraient quoi que ce soit avec lui, ton but est à chaque fois le même : les faire fuir.  

Je me souviens encore de tes questionnements et de tes craintes, quand tes parents t’ont annoncé votre mariage futur. Tu étais à la fois ravie, mais aussi terrifiée. A jamais vous étiez liés, ils avaient presque exaucé ton rêve… Seulement, les sentiments ne sont pas partagés. Alors encore et toujours, tu nourris ton amour pour lui, espérant un jour qu’il soit réciproque… et que bien sûr, il ne trouve pas bonheur ailleurs. Chaque jour, tu agis en amie proche, comme tu l’as toujours été, mais aussi en bonne épouse, ne voulant pas faire honte à l’héritier des Kakons, membre de l’une des grandes familles de Migoto. Tu te demandes encore aujourd’hui la raison de ce mariage arrangé, mais il m’est impossible de te la révéler. Je me souviens des rêves, que tu me racontais sans cesse, ceux que tu fais quand tu dors seule, et que tes fantasmes prennent le dessus. Ceux où ton cher mari, Kurohito, te prend dans ses bras, et te révèle un amour immodéré. Tu ne te dis pas dupe, que jamais une telle chose arrivera, mais courageuse, tu te satisfais de ce que tes rêves t’offrent. Je sais que tu ne veux pas le lui dire, de peur de briser le lien qui vous lie… Avouer une telle chose serait à tes yeux qu’un caprice, la preuve d’une égocentricité sans limite. Je te le dis encore : cesse de toujours penser aux autres.

La seule chose qui te console, et te fais oublier ta peine, c’est ton service auprès du temple de Motenashi. Ta passion dévorante pour celui qui partage ta vie est remplacée par ta constante envie d’aider ton prochain. A peine levée, tu t’affères au travail, oubliant aussitôt ce qui te ronge. Toutes tes journées sont bien remplies, quand tu ne t’occupes pas du temple et de ses atours, tu enseignes à l’orphelinat, et occupes les enfants y habitant. Chacun d’eux est l’enfant que tu n’as pas eu, fruit d’un amour hypothétique de Kurohito envers toi. Tous t’aiment, certains sont certes turbulents, mais comme une mère, tu pardonnes et aimes et éduques chacun avec la même ferveur. Tes connaissances et ta réputation te font quelqu’un d’apprécié, à ce que j’ai entendu. Beaucoup te disent future Grande Prêtresse de Motenashi : c’est à peine si tu caches ta joie quand tu entends ces mots.

Et ensuite, une fois rentrée, tu te plonges dans les parchemins et autres sources de connaissance. Parfois, tu te promènes en ville et admires l’activité et l’agitation de tous ses habitants. Rires et loisirs y font place, et c’est avec plaisir que tu aimes faire partie de ce charmant environnement. Tu y connais beaucoup de monde, notamment dans le quartier Yuufuku. Chacun à sa manière, tous les habitants aiment passer du temps avec toi… et ce, même les délinquants, profitant de ta naïveté et de ta gentillesse pour te soutirer tes richesses. Parfois je me demande comment Kurohito ne meurt pas d’inquiétude te sachant en ville… Peut-être ne le sait-il pas ? Enfin… Heureusement que rien de grave ne t’es arrivé.

Et puis enfin, tu t’adonnes aux arts, à la peinture que tu aimes colorées et dépeignant la nature et les scènes bucoliques. Tu admires ceux qui de leur pinceau réussissent à reproduire un paysage avec précision… Et de ce fait, tu essayes de les copier depuis toujours, devenant, à ton tour, une artiste à part entière. Parfois même je te voyais sortir de ton atelier couverte d’encre et de pigments, tant ton art est passionné. Tu te veux poète aussi, mais c’est bien là le seul art que tu as dû mal à dompter, parmi d’autres dans lesquels tu excelles. Ainsi, tu t’exerces à la danse, ainsi qu’à la musique… Ton chant me manquera… Quand bien même tu n’aimes pas la violence, je sais que tu adores particulièrement les disciplines martiales, te gardant en forme tout en améliorant la précision de tes gestes. Tu aimes te voir, quand cela t’est possible, via le reflet de l’eau ou d’un métal suffisamment lisse, exécuter un à un les gestes et mouvements de l’escrime de Taiyotsuki, des gestes de défense et des techniques de bôjutsu. Je t’ai vu copier des mouvements de celui que tu regardais avec admiration et crainte dans l’arène de Kage. Avec attention et précision, tu répétais sans relâche ce qu’il faisait lors de ces combats, seule, dans notre dojo. Une fois qu’une technique était maîtrisée, tu passais à une autre, et cela, des jours et des heures durant. Avec humour, parfois, tu reprenais même ses habitudes et recopiait son regard et son faciès qu’il arborait quand il combattait.

Le temps me manque, j’aimerais tant pouvoir t’écrire plus, te dire à tel point de toutes, tu es celle que je préfère dans la famille. Tu es ma chair, mon sang, et à mes yeux, tu es mon héritière. Je veux que tu saches que jamais je ne t’abandonnerai. Je suis dans ton cœur. Ton futur sera certainement semé d’embuches, mais ait confiance en nos dieux, et n’oublie pas de prier Taisha, en plus de Motenashi. Je sais que je n’ai rien à craindre de cela mais soit honnête avec toi-même et saches une chose, que je ne t’ai jamais dit : Peu importe ce qui se passe, je suis persuadée que Kurohito est celui qui à jamais, restera à tes côtés. Je le sais, je le sens. Si toutes les forces du cosmos viennent à s’effondrer sur toi, il sera ton port dans les horreurs de la tempête.

Je t’embrasse, je t’aime.
Ta grand-mère. »




Informations IRL

Pseudo : Asuka ira très bien~
Âge IRL  :
Comment avez-vous connu le forum ? : Un membre m’en a parlé~
Code du Règlement : « On est là pour s’amuser ! »
Qui a créé les Ainokos ? : Taisha, notre grande et superbe déesse~


Ainoko Libre
Asuka Sanshôuo
Ainoko Libre
Asuka Sanshôuo
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty12.06.17 21:40
HAN ! Un petit dragon marin scandinave *-*
Bienvenue parmi nous ! Jolie fiche. Bon courage pour la validation !
Ainoko Asservi(e)
Akari Jigoku
Ainoko Asservi(e)
Akari Jigoku
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Âge IRL : 30
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Multi-Compte : Jaïa Kadoka - Nara Raion - Seigi Yume - Yokkyû Meiroo
Actif : Oui
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty12.06.17 22:22
Heya, bienvenue a toi!

En espérant que tu t'amuses bien avec nous!
Ainoko Libre
Habane Satoshi
Ainoko Libre
Habane Satoshi
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty12.06.17 22:47
J'aime bien l'animal choisit o_o
Humain(e) Asservi(e)
Idriss Ad-Dîn
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Idriss Ad-Dîn
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty13.06.17 10:40
L'animal choisi, le personnage, l'histoire, le joueur derrière tout ceci, tout est parfait Asuka Sanshōuo C7631d09241c31bb0e357ba4c877d726, j'aimais déjà ce forum avec tout ces gens gentils dedans, mais je l'aime encore plus maintenant !
Ainoko Libre
Kurohito Kakon
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty13.06.17 19:56
Merci tout le monde ! J'ai hâte de pouvoir jouer avec vous ! Asuka Sanshōuo 1062484677
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty14.06.17 9:07
Bonjour et Bienvenue ♥

Je passe rapidement pour t'informer que je lirais ta fiche dans la fin de journée : je n'aurais pas le temps avant désolée T_T
Je reviens donc vers toi au plus vite pour ta validation et je m'excuse pour l'attente !

*gros câlin*
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty15.06.17 22:05
Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. De plus, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. Les langues que parlent ton personnage, tes autres comptes si tu en as, tes périodes d'absence, l'âge et autres petites informations utiles rapidement aux joueurs, et qui concernent ton personnage !
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup ...

Sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci.
Nous avons aussi les Dépôts de Missives pour les rps de type "épistolaires". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage ^^
A noter que les modèles proposés de codage ne sont pas obligatoires, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.


Le staff te souhaite la bienvenue!
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Nailah Kaijuu
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(#) Sujet: Re: Asuka Sanshōuo Asuka Sanshōuo Empty
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