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[Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse
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 :: Quand s'en vient la Renaissance :: Identités Déclarées :: Dossiers Validés :: Les Ainokos
(#) Sujet: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 17:08
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Kurohito Kakon

Informations
Année de Naissance : An 06. (44 ans)
Genre :
Race : Harpie Féroce
Statut : Libre
Métier : Grand Prêtre de Kage
Don(s) :

Kashi 下肢 – Jambes (don ainoko) || Un drôle de don n'ayant aucun trait à son sang, mais Kurohito n'en reste pas moins capable de faire appel à ses membres inférieurs de façon toute inédite. Au sol, ces dernières peuvent développer de nombreuses prouesses qu'il a su cultiver depuis qu'il s'est rendu compte de la force qui s'y trouvait. Ses courses à pieds sont devenues légendaires et il est connu comme l'ainoko ailé le plus rapide qui soit au sol, pouvant aller jusqu'à quatre-vingts kilomètres par heure en ligne droite et virer à des allures au moins égales. La puissance de ses cuisses lui permet aussi l'incroyable performance de saut sans l'aide de ses empennages à plus de cinq mètres de hauteur et ce sans élan. Ses coups à l'aide de ces amas de muscles noueux sont capable de creuser la terre, briser la pierre, voir plier l'acier et son jeu de jambes lui octroie aussi une capacité d'esquive sans commune mesure.

Kahou 家宝 - Héritage (don ainoko) || Indéniablement la progéniture de Fujimi Kakon, le premier né de la Grande Prêtresse de Taisha est autant capable qu'elle de changer la forme même de ses membres, à l'exception près que si ses jambes mutent bien en de redoutables serres capable de tenir tête à l'acier et trancher les cuirs les plus épais, ses bras ne se fondent pas dans ses ailes, lui laissant là toute leur préhension. La contrepartie de cette non fusion est que s'il se trouve bien pourvue d'une force accrue et d'une férocité dans ses assauts sans équivalents, son agilité en vol, elle, ne progresse en rien de manière significative. Sa capacité à transporter objet ou être vivant n'est pas affectée, en bien comme en mal, par le maintient de ses membres supérieurs, aussi, cette dernière tourne à peu de chose prêt autour de la limite des quatre-vingts kilos. Du reste et en bon fils, la météo n'est en aucun cas un obstacle pour lui, sauf en temps de forte tempête. La précision de son essor lui n'égalant pas aussi bien celui de sa génitrice pour passer en forêt à pleine vitesse, il n'en reste pas moins capable de filer avec adresse dans les passages les plus étroits et ce sans heurt.

Kikaikintou 機会均等 - Égalité (don divin) || Au regard de Kage, les dons ainokos sont une plaisanterie dont il ne considère en aucun cas l'utilité. Seules les capacités octroyées par un entraînement continu et drastique peuvent être juge lors d'un duel. Aussi, lorsque Kurohito est ciblé de près ou de loin par un pouvoir ou la résiduel d'un talent surnaturel, celui ci s'évanouit à son contact, purement et simplement, sans la moindre considération de la nature de ce dernier et ce, quelque soit la puissance développé ou l'élément concerné. Il s'agit d'une prédisposition étonnante et totalement inconsciente, mais à double tranchant, car le Dieu de L'Ombre-Guerre-Violence n'offre pas une telle prouesse sans le prix qui l'accompagne. Son possesseur ne pourra donc jamais être la cible d'une faculté bénéfique ou positive, les habilités de guérison, de reconstitution ou d'améliorations quel qu’elles puissent être ne pourront ainsi pas lui être prodiguées par autre que lui-même. À ce fait s'ajoute celui que dès que l'Égalité entre en œuvre, son utilisateur ne peut plus lui même user de ses propres dons et ce durant plus d'une heure.



Psychologie & Physionomie

Vous l'avisez à distance et le jugez bien digne de sa mère. Les chiens ne donnent pas des chats, pensez vous à la contemplation de cette ombre plus noire que la nuit glissant sur les pavés, ses ailes plus sombre encore, bruissant tantôt, leurs plumes s'aérant dans leur reflet quasi-azurés tant la lumière environnante apparaît absorbée par ces dernières. De cette absence totale de couleur, ses cheveux cascadent, écho de son empennage dans leur indiscipline, tombant jusqu'au sommet de ses reins et s'autorisant tantôt à rendre parfois quelques rayons acier si le Soleil se montre généreux dans ses regards sur lui. Cette couronne d'encre entoure un visage d'une rare perfection, sans que la moindre ride ou marque ne vienne briser la porcelaine de ses joue, la finesse de sa mâchoire, celle de son nez plongeant ou de son menton acéré peuvent tout aussi bien rappeler d'où il provient et de qui il descend tout en épousant étrangement le monde qui l'environne.

La seule exception notable de ces traits divins se situant à la base même de ses yeux qui donneront une impression de fatigue perpétuelle sur le monde qu'il contemple, sans parler de la couleur disparate de ses iris qui témoigne de sa prestigieuse ascendance, car si l'une de ses prunelles atteste d'un améthyste d'une pâleur hivernale, l'autre s'accorde à sa toison et ses rémiges, tel un puits sans fond vous dévisageant. Néanmoins et malgré la tâche obscure qu'il incarne avec brio, l'harmonie avec laquelle il épouse l'environnement dépasse toute logique possible. Nulle part alors il n’apparaît comme étant de trop, ses impassibles expressions trahies par la lueur de ses mystérieux regards. Sa stature ne brise pas avec le commun, son chef culminant à tout juste un mètre quatre vingt non atteints, son poids s'accordant à cette dernière, ailes exclues, d'à peine plus de soixante et onze kilos.

Pour autant, les grâces de la nature poursuivent de dessiner cet homme dont la musculature dessinée atteste d'une vie d’entraînements intensifs sans qu'une seule cicatrice ne vienne ternir leur perfection, message d'un tout autre ordre que cet être renvoi inconsciemment lorsque l'on sait de qui il s'agit.  Du reste, ses poignets donnent illusion de finesse, mais il ne s'agit là que d'un des nombreux leurre dont Taisha l'aura gâté. Sobre dans le choix de ses atours, malgré la voie que sa vie a prise et ses origines grandioses, il affectionne les kimonos et hakamas ébène, les kamôns Kakon frappé de blanc sur ses tenues pour seule entorse, si l'on oublie ses légers cols et les obis qui lui ceignent la taille, évoquant une neige immaculée. En guerrier-né, incarnation même de la quintessence de ce genre dont il assure la fonction, il arbore parfois un ensemble d'armure d'un cramoisi sanguin, souvenir des manteaux couvrants parfois celle qui l'enfanta, comme une annonce faite de métal que ses ennemis ne parviendraient pas même à tacher de leurs humeurs le fer qui le couvre parfois, celles-ci se confondant alors avec sa protection.

Il est à noter qu'il ne la revêt qu'en de très rares occasions et qu'il fut vu ainsi uniquement en période de conflit, préférant de loin la sobriété de ses tissus en société ou dans l'arène même de son temple. Afin de mieux représenter le Dieu qu'il sert et apaise, il joue de masques et mempo divers, certains évoquant quelques démons dormants des enfers de Kage, d'autres l'héritage qu'on lui prête par le biais de son géniteur, mais cela n'intervient que lorsque la douceur de son visage doit laisser place à l'image qu'on attend du rôle qui est le sien. En toute circonstances enfin, on peut voir les deux uchigatana embusqués dans leur saya onyx et prolongement de son être, Tsume 爪 et Kuchibashi 嘴, trônant à sa ceinture et dont on prête leur conception à Yasujiro en personne.



Un simple titre peut définitivement changer l'idée que l'on se fait d'un homme. On l'attend distant, il n'est que timide amabilité polie. On le pense grinçant et cynique, il se montre ouvert et chaleureux. On le croit vile et traître, il se trouve honnête et franc. Et pourtant, il ne fait aucun doute à personne qu'il est l'incarnation même de L'Ombre-Guerre-Violence. Derrière chacun de ses gestes, de ses mots, des coups d’œil qu'il jette parfois, on peut deviner sans mal toute la restriction qu'il s'impose en toute circonstance, toute la maîtrise dont il use à chaque instant pour contenir la créature qui dort en lui. Son charme apparent, la flamme délicate qu'il incarne cache en son sein le brasier virulent dont il est l'écueil soigné. Depuis qu'il fut hissé à son rang, de cette si simple façon faisant encore écho de nos jours et depuis si longtemps comparé au destin terrible de chacun de ses prédécesseurs avant lui, il est le sourire tranquille qui progresse au centre de l'arène de son temple, auréolant d'une assurance inconsciente.

Et alors que l'on distingue la mère et le fils se tenir face à face parfois, confrontation même de Taisha et Kage, il est étrange de constater à quel point le fruit ne s'est pas éloigné de l'arbre, sinon dans son apparence aimable. La chaleur de ses sourires glace le sang, sa douce présence évoque celle du trépas imminent, le miel de sa voix volant au vent ne sont qu'autant de promesses d'un carnage immédiat. On craint les deux Kakon de façon différentes, mais en proportion identique, si tant est qu'il apparaît ironiquement comme infiniment plus sociable. Certains les verrons comme identiques, d'autres les distingueront que les deux faces d'une même pièce, les derniers choisiront de les croire opposés en tout. Tous autant auront raison tout comme ils se noieraient dans l'erreur. Il est cependant un fait que tous s'accordent à penser, c'est que le bon garçon aime sa mère, de toute les fibres de son âme et d'un sentiment filial impeccable mêlé d'une fierté immense, à des années lumières de celle qu'il montre alors qu'on le dit digne descendant de son illustre géniteur.

Le prodige se tenant derrière ce fait improbable, si l'on sait comment la Dame eut éduquée son marmot à distance porte un nom simple : Hakyu. Il n'est pas d'être autre que le lièvre asservi qui s'approche de l'image d'un père aux yeux dichromatiques du harpie et celui-ci est pour la plus grande partie responsable de l'homme qu'il est devenu. Un temps, l'esclave fut autant sa nourrice, son tuteur, son mentor, son ami, son grand frère, son partenaire de jeu et d’espièglerie, tout ces aspects se retrouvant dans la psyché de Kurohito par le seul miracle de cette éducation. La seule chose qui n'est pas de l'amour dans le regard du Grand Prêtre à propos du serviteur est une curiosité qui lui reste encore imprimée à ce jour : l'incompréhension de cette colère qui ne lui aura jamais échappé à l'évocation ou à la vu de celui qui fut le Maître des Kakon. Ainsi, le merveilleux domestique de celle que l'on appelle Rengu dorénavant façonna sans le savoir le jeune homme à l'image d'un être aimant de son prochain, stable et mesuré.

On en vient parfois à se demander ce que Kage aura pu trouver dans ce garçon, mais il est une chose qui parvient, d'une simplicité déconcertante, à provoquer le monstre tapit justifiant à lui seul le choix du frère jumeau de Kyouki. Car l'amour inconsidéré qu'il voue à certains êtres comme la Kokuren ou Hakyu, ou bien encore Asuka, cette âme-sœur et amie qui devint sa femme et ceux là ne sont que les plus haut représentants d'un ordre qu'il serait sage de préserver du moindre mots blessant à leur égard. Car l'insulte, subtile ou évidente, suffit à faire disparaître la gangue affable du bellâtre et alors l'évidente légitimité de son titre apparaît au plus aveugle. De ceux qui insistèrent de trop devant lui, il ne reste plus rien sinon, pour les rares survivants, que des coquilles à jamais brisées. Cependant et à l'exception de ces cas précis, il n'en reste pas moins qu'au cœur du temple inquiétant de sa divinité tutélaire, Kurohito est une lueur atypique entouré de mille guerriers dont il personnifie pourtant l'apogée.


Biographie

Je suis l'ironie de ce monde, l'ombre de ce que nous fûmes avant Taisha et le fils de celle qui incarne notre lumière. Je suis la lame qui file aux quatre vents, le gardien des défunts et celui qui garde en paix leur Gardien. Aux portes des enfers je me tiens, non pas pour en ouvrir les battants, mais pour les maintenir aussi closes que possible, restreindre l'être suprême qui ne souhaite que pénétrer notre réalité pour arracher les liens retenant vos âmes à leur fragiles enveloppes pécheresses. Depuis la poussière de l'Arène, j'engage les miens à transcender le statu même de guerrier pour reposer celui qui signerait notre fin à tous si nous en faisions autrement. Il n'est rien que vous ayez à craindre de nous, car les prêtres de Kage sont en réalité les seuls et véritable gardiens de cette vie que vous menez et il n'est rien de plus que je souhaite protéger.
Kurohito Kakon, durant son discours d'investiture face aux Treize.

Tu es né premier de celle qui représente ma mère, dont je suis le dernier aux côtés de mon frère. L'amour qui t'a vu créer fut ce qui m'attira chez toi, l'ombre et le secret vivant autour de ta genèse. On te pense le sang pure d'une légende vivante et d'un maître défunt, mais tu es le bâtard inconscient d'un esclave et de cette prostituée incapable d'avouer à tous cette réalité alors qu'elle avait déjà passé l'âge que tu as aujourd'hui. Mais de cette union contre toute les convenances que les tiens entretiennent d'une culture volée à ce que vous n'êtes pas, tu as émergé, vigoureux, criant à la vie que je combats à chaque instant et sous le regard disparate de cette génitrice dont tu héritas des prunelles, dans l'ignorance de ton géniteur et la fierté flouée d'un fou qui réside à présent dans ma demeure. D'aucun de ceux-là ne te soignèrent pourtant, la plaisanterie de ton existence voulant que ton parent fut celui qui te haït en premier lieu pour t'aimer au moment ou son bras allait t'offrir à moi.

Aussi, né dans ce chaos de sentiments, partagé entre lueur et obscurité, tu fus choyé un temps. Amusante farce que celle de la vigilance lointaine de ta parente qui n'aura finalement jamais été proche de toi tandis que celui qui ignorait encore celui que tu étais veillait sur ta personne comme au trésor même de son existence. Dans ce monde qui avait quitté la délicieuse mélodie de la guerre depuis six années seulement, tu fus élevé dans un cadre martial et dans l'esprit de protection des tiens, quand bien même ton sang et ton clan évoquait la main gauche de votre amusant petit conseil. La conscience de la vie et de la mort te fus inculqué avant même que tu n'eus l'âge de parler et lorsque ce fut le cas, tu débutais déjà de manier les lames de toute les tailles que ton corps menu pouvait porter. Le lièvre imprima sur toi cette douceur de façade, t'inculqua le sentiment même que tu éprouves depuis à la vu de cette femme qui ne fut jamais vraiment là à tes côtés.

Instruit comme un digne représentant de la crème des assassins et des meurtriers, tu auréolais d'une lueur étrange, acceptant le trépas et le fait de le causer intentionnellement comme un rouage de la création…  Je ne pouvais dès lors plus t'ignorer. Tu regardais tant de tes aînés avec une admiration innocente sans te trouver ignare pourtant des arts dans lesquels ils étaient versés. Quand bien même Fumiji tenta-elle de te préserver que tu fus contemplatif des envolées perdue à jamais de Aido. Malgré sa si terrible aura, tu t'émerveilla de l'intelligence et de la précision de la psyché de Hayete et quand bien des rumeurs tentèrent-t-elles de t'évoquer l’infâme usurpatrice de Tenkei qui t'aurai volé ton dû légitime, tu ne la distingua pas autrement qu'une sœur, bien qu'elle ne t'accorda jamais cela, ne distinguant au titre de sa famille que celui dont elle partageait le créateur… à raison, il fallait dire, mais de ce secret se définissait ton essence.

Ainsi éloigné des tiens, tu n'en fut pas moins émerveillé par leur rémiges de nuit, leurs alules sombres et le bruissement délicat, si rare de leur sus-alaires. Ton vol, à leur image, devint gracieux, silencieux, mais tes ailes étaient celles d'un guerrier des cieux, pas de celles d'un espion et bien vite, tu le conçus. Je te cru au bord de sombrer dans les mêmes entrailles obscures que tes pairs lorsque ton père diminua ses attentions à ton égard. Mais le fait aurait été sans compter tes autres tuteurs, t'inculquant sagesse, modération, respect et humilité et surtout et avant tout : cette petite chose des Sanshōuo, famille vassale et secondaire des Yume, nommée Asuka. De quatre ans ta cadette, ce fut au cours d'un exercice sous forme de jeu qu'elle fit irruption dans ta vie, tandis que tu filais, concourant avec un tenshi aux plaisirs d'une course aérienne et qu'une tempête ne vous surprennent, toi défiant les éléments tandis que ton avisé concurrent rebroussait sagement son chemin.

Tu étais bien moins habile dans les cieux alors et Arashi ne te regardait sans doute pas aussi aimablement qu'à ce jour, te poussant jusqu'aux flots où je pensa alors t'accueillir auprès de moi. Ce ne fut pas le cas, bien entendu. Cette hybride ridicule d'axolotl te trouva parmi les courants et te porta au rivage alors que tu approchais la dizaine de vos années et qu'elle n'avait que la moitié de ce nombre et les bras bien faibles. Shukumei devait avoir aussi quelques bienveillances à ton égard, t'offrant là autant celle qui sauva ta vie qu'elle incarna la lueur du chemin que tu risquais d'entreprendre dans la solitude menaçant de t'accaparer. Les années passèrent où je te découvrais mille talents, défiant les plus solide combattants alors que l'enfance te tenait toujours, pour impressionner ton amie, mériter la fierté dans le regard de ton prétendu aïeul ou celle qui brillait au loin dans les iris dichromatiques de ton authentique créatrice.

Tu en faisais autant pour mériter le respect des tiens, leur prouver que tu étais digne de leur sang que tu pensais partager, chaque lame que tu tenais entre tes mains s'incarnant progressivement en des terminaisons même de tes bras, des aigushis aux wakizashis en passant par les tachis pour que viennent à toi les katanas et que tu finissent par jeter ton dévolu sur les uchigatanas. L'acier même apparut ton allié le plus fidèle, aucune lame ne préservant longtemps ses secrets, tant tu t'échinais à les percer dans les plus petits détails, surclassant chacun de tes maîtres comme si trancher était aussi simple pour toi que le fait de respirer. Partageant ton temps à parfaire tes talents, t'inspirer de tes aînés, t'ouvrir à tes cadets et t'adonner au plaisir de cette amitié avec celle qui fut ton salut et devint ta plus fidèle admiratrice. L'adolescence te prit et tu passas à l'âge adulte tandis qu'on te pressenti pour me servir, me satisfaire dans ce lieu qu'on désigne comme mon temple.

L'ironie de l'identité de celle qui pressa ta candidature fut pour moi un divertissement cuisant, une mère jetant ainsi sa progéniture dans mon arène ou le sang répond au sang. Je n'ai pas pour don celui de lire dans les esprits, ni même la volonté de m'abaisser à cela, ce geste ne trouva ainsi aucune explication à mon jugement, mais je n'aurai guère pu saluer mieux ce dernier qu'en t'accueillant auprès de moi pour ce premier essor. Je compris très tôt cependant que la motivation sous-jacente à notre réunion était la simple culture de tes dons qui auraient dû servir un tout autre dessein que celui de subsister éternellement entre les murs de mon domaine. Ô, tu fus accueillis comme il se devait, risée de mes serviteurs, battus dans l'ombre de ces derniers, lorgné avec mépris pour ta triste condition, jalousé pour ta prestigieuse ascendance, raillé pour l'injustice de ce soit-disant destin qui t'avais été arraché à la tête d'une famille.

Et toi, tu souriais parfois à tout cela, sans jamais ne subir plus que de petites ecchymoses, comme si tu montrais déjà là la seule chose que tu autorisais que l'on te fasse, parant les coups qui auraient pu te soustraire une partie de ton flux vital. La rancune ou la colère désertaient si tant tes traits que je désespérai de te voir briller comme je l'eus cru à ta naissance. Mais si froide était ta lame, il ne fallut qu'un temps pour que la lice en mon nom reçue tes premières offrandes. Ainsi, lorsque bafoués étaient les noms de ceux que tu portais en ton cœur, tu m'invitais si pleinement, si passionnément, que mes desseins pour toi m'apparurent le plus clairement du monde. Tu restais encore en ce temps un matériau brut, manquant de précision, si bien que je te confia à tes prédécesseurs, les marteaux briseurs d'une époque aujourd'hui révolue, remplacés par la fureur de tes lames à présent. Mais nous étions loin de cela alors.  

La conscience de ce que tu abritais en ton sein te vins très tôt, ta première vie arrachée gisant à tes pieds, celle d'un camarade ayant eut le mot de trop et ta chance qu'il ne fut pas d'une famille aussi prestigieuse que la tienne. Tu ne te complaisais jamais dans ces actes libérateurs pourtant, renouant avec la bête que j’appelais en toi et au contraire de certains membre de ta propre famille pourtant. En te voyant ainsi, acceptant et combattant ta part d'ombre, la laissant parfois prendre le dessus dans le seul souhait de ne jamais te laisser déborder par une trop grande restriction menaçant de te submerger, à terme, je compris alors la mécanique des actes de cette Rengu, maline petite fille. Au demeurant, je te vis éloigné des tiens, de ce frère maudit et de sa sœur jumelle qui ne put que pleurer sa trahison. Tu n'étais déjà plus un Kakon que de nom alors, sinon l'un de mes gardiens, l'un de mes plaisirs.

Et malgré tout cela, tes lèvres esquissaient toujours ce sourire, voguant parmi les ombres qui me personnifiaient, sans jamais y sombrer et sans pour autant les fuir. Hors de mon Temple, ton cœur vacillait, l'amitié d'antan te liant à la petite Sanshōuo mutant, se transformant et ta grande peur de voir votre lien déchiré par ton désir grandissant à son égard. Au loin, je ne pouvais manquer le regard du père, le vrai, celui qui partageait ton sang, préoccupé par ses propres maux, ses propres doutes, mais toujours témoin de ce que tu devenais et ton guide en si tant de choses. Ce fut à lui que tu parlas des changements qui t'affectaient, de cet amour qui naissait. Ce fut à lui sur qui tu déversas ta ire alors que ta mère te refusait le premier rôle des obsèques de cet amant qui n'avait jamais été ton géniteur et que le lièvre haïssait. Ce fut lui qui t'appris à te servir de tes jambes, trouvant amusant ce point commun entre vous, sans que cela ne lui évoque rien pourtant.

Hakyu fut bien des choses pour toi et je ne sais guère en quoi tu te serai façonné s'il n'avait pas été présent à tes côtés. Ta vingtième année fut celle où on te fit sortir de tout jeu politique, ton amie de toujours pour qui tu concevais une flamme sincère s'étant vu rejoindre les ordres de ma sœur Igaku, Shukumei fut de nouveau l'acteur d'un tour bien heureux pour toi. J'eus toujours crainte de cette chance qui t'accompagnais parfois de façon si éclatante, ignorant presque que dans ce terreau pouvait fleurir un être comme tu le devenais… Ainsi, double fut le symbole du mariage arrangé qui vous unis, rapprochant symboliquement Kakon et Sanshōuo, Kage et Igaku, dans une image dont personne n'aurait voulu si cela n'avait pas été cette Asuka et sa si grande douceur et Kurohito, toi, et son infinie dignité.

De ce tableau contre-nature, vous fûtes tout deux les plus dérangés, car on vint nombreux vous présenter respects, trouvant votre union porteuse de mille promesses… Mais tu ne pouvais concevoir brusquer ta bien-aimée, jurant qu'elle ne te voyait autrement que comme son si précieux confident, son modèle et rien d'autre que son plus cher ami… Au comble de la plaisanterie venant le fait qu'à ce jour, vingt de vos années plus tard, tu ne connais toujours pas la douceur d'une femme, dévoué que tu te trouves être pour ce petit bout d'ainoko sans importance… Si tu savais. Ta naïveté m'aura toujours amusé. Ô, fous furent ceux qui osèrent porter leur regard sur la beauté dont elle était porteuse, te félicitant sur ce mariage que tu devais consommer avec ravissement, selon leur propos. Tes yeux se creusèrent de cette situation impossible, unit à celle que tu aimes sans jamais oser te déclarer, vivant votre amitié dans cette demeure qui devint la votre.

Tu libérais ta frustration dans l'Arène, en mon nom, tes prouesses toujours plus inégalables… Kanazuchi… Je crois que c'était comme ceci qu'il s’appelait, mais qu'en sais-je… C'était peut être Tettsui ou Tsuchi… Je n'ai jamais porté d'intérêt longtemps à ceux qui furent  défaits. Il n'en reste pas moins le fait que tu l'évinça à l'aube de ta trentième année, l'un des Grand Prêtres ayant tenu le plus longtemps jusque là. Un titan indomptable qui t'eut tout appris et que tu défias après qu'il eut annoncé pour te tester que ta belle méritait amant plus vigoureux que toi. Pour ces simples mots, cette perche tendue, il en paya de sa vie et tu devins miens, plein et entier, sans regret de ce que tu avais commis, jurant à tout ceux qui se tenaient là que le nom d'Asuka ne serait jamais sali par aucun autre d'entre eux. Ton investiture eut lieu après cela, face à ta propre mère et aux onze autres pour qui tes prunelles n'eurent aucune attention, tant ta seule génitrice fut la cible de toute la démonstration de ta fierté à cet instant.

Il n'est aucun de tes prédécesseurs qui dura à mon service si longtemps ou même assez pour mériter ma faveur… Ou si peu de temps… Cela fait bientôt quinze des années de votre ère que tu incarnes l'Indéfectible, porteur de ma parole sur le champ de bataille, que tu prend vie sans en éprouver le moindre mal, que tu éprouves parallèlement à cela un amour si pur qu'il t'empêche de flouer un prétendu lien, que tu ne vis que pour voir la même fierté à ton égard, trouvée dans les yeux du lièvre, dans ceux de la harpie. Quinze ans à frapper à coup sûr, tenter de briller au nom de tes frères et sœurs qui t'ignorent encore, malgré la flamme que tu éprouves à leur égard, tout ce temps employé à me contraindre, à me plaire, à m'offrir le sang de tes ennemis, de ceux de cette île. Tant de jours, de mois à tenter d'incarner un digne Grand Prêtre parmi les autres qui portent ton titre, représentant mes délicats frères et sœurs et l'ironie se situant que l'être le plus dangereux qui soit, la quintessence du combattant, le guerrier absolu s'avère si doux.

Mais fou celui qui se fierait à cette première image que tu es capable de renvoyer, avisé celui qui passerait au-delà de cette gangue, décelant l'incarnation désinhibé d'un assassin de sang froid pour qui la différence entre la vie et la mort ne tiens qu'à une frontière si ténu que la tristesse où la mélancolie d'une perte ne tiens qu'au fait de lui dire au revoir ou adieu. Depuis que tu es mon choisi, mon champion et même bien avant cela, il n'est aucune des nombreuses blessures que tu obtins qui ne parviennent réellement à marquer la surface de ta peau. Trop rares furent ceux qui eurent le privilège de voir ton sang couler, aucun n'en conçu la moindre victoire sur le long terme, tes maîtres tombants les uns après les autres sous leurs défis mutuels, puis de ta propre main en ce qui concernait le dernier. Les événements qui frappèrent Migoto ne te touchèrent en aucun cas, te contentant comme tu le faisais de survoler les drames, frapper où ton regard trouvait une cible et repartir dans la nuit.

Et si à ce jour, les tiens pourraient souhaiter te récupérer, cela ne se fera pas de ton vivant, car je n'accepterai de me défaire de toi que lorsqu'un nouvel Indéfectible se présentera. Et alors, j'oublierai ton nom, Kurohito Kakon et je poursuivrai ainsi, au travers les ages. Mais au moins, tu m'auras bien amusé.


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Ainoko Libre
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 17:29
Bienvenue monsieur le grand prêtre
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 18:02
Bonjour, estimé régent des Yume.

J'en profite pour prévenir que je n'ai pas encore retouché mes images, celles ci devant refléter par mes iris disparates le patrimoine génétique dont je suis l'honoré dépositaire.
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 20:27
*heavy breathing*

J'ai lu toute ta fiche et je dois dire que c'est bien ouej ! J'ai beaucoup aimé ce que j'ai lu, franchement bravissimo ! Pour moi tout est bon, et j'ai bien hâte de rp avec mon cher fils *pleure*

Bon courage pour ta validation !
Ainoko Libre
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 21:13
Ohoh mon GP est enfin arrivé, j'espère que l'on s'entendra bien What a Face
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 21:18
Super perso pour une belle plume *-*
Un nouveau GP ! Cool !
Je viendrais te demander un lien avec Seigi (GP de Seisui) ^^

Bon courage pour la validation !
Ainoko Libre
Yokkyû Meiroo
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty06.06.17 21:46
*Pleure dans les bras de sa maman aimante et démonstratrice du sujet, tout ému des gentilles réactions qu'il a eut*

Je me suis vraiment fait plaisir sur cette fiche et sa narration Divine (dans le sens premier du terme, n'y voyez pas la prétention ou quoi). Du coup, j'ai vraiment crains d'avoir manqué ma cible et écris n'importe quoi. Faut croire que non, ça me touche sincèrement.
Ainoko Libre
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty07.06.17 11:05
Super fiche et superbe avatar, ça donne envie de mordre dedans tout ça XD

Je vais aller secouer les miches de Master pour qu'elle mette son nez dans tout ça Smile
Re bienvenue à toi !

Edit : Tampopo détestant le GP de Kage, car elle est maudite de Kage, il nous faudra un lien, obligé !
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty07.06.17 14:15
*Saute sur Teruki*

Je veux bien dès qu'il sera en règle, mais avant ça, je t'ai envoyé un mp sur le compte Botan il y'a un ptit temps que tu n'as pas dû voir x)
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty07.06.17 15:37
Je peu aider pour le vava si besoin ^=^
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty09.06.17 10:58
Fiche Validée

"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Migoto tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur Migoto no Shima et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.
Nous te demanderons aussi d'aller Recenser tes dons ainsi que Recenser ta race si tu es Ainoko. De plus, peu importe ton groupe, si tu peux aller recenser ton Métier cela serait pratique.

A tout cela, s'ajoute le fait d'éditer ton Profil. Tu remarqueras qu'il y a de nombreuses informations à y entrer. Les langues que parlent ton personnage, tes autres comptes si tu en as, tes périodes d'absence, l'âge et autres petites informations utiles rapidement aux joueurs, et qui concernent ton personnage !
Merci d'avance en tout cas, de prendre le temps de remplir tout ça. Même si, je le sais, ça fait un peu beaucoup ...

Sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci.
Nous avons aussi les Dépôts de Missives pour les rps de type "épistolaires". Le lien de sa boîte est à mettre dans son profil soit dit au passage ^^
A noter que les modèles proposés de codage ne sont pas obligatoires, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mis à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.


Le staff te souhaite la bienvenue!
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(#) Sujet: Re: [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse [Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse Empty
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[Terminé] L'ironie d'une ombre radieuse
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